Dakar 2011 ...

On aime ou pas ce genre d'épreuve, moi j'aimais bien jusqu'à cette année ou les reportages ont ete a mes yeux plus bas que tout !
quasi rien sur les amateur, comme dab, mais cette année, plus que tout !
celui qui n'a pas entendu les mots "Wolkswagen" et "BMW" en auto n'a rien compris, pour les moto, il fallait arracher a Holts et ses vannes a 2 balles le nom de KTM (qui ne doit pas backchicher suffisamment )
quand a l'es miss france qui a démontré ses compétences mécaniques ...
Bref, vraiment decu cette année !!

C'est vrai que les médias ont été très timides sur cet évènement
Un mot sur l'antique Bultaco, sinon, que du Coma, Despres et...basta!
Une remarque: la 71ème place d'une modeste 250 XR Tornado

Toby a raison, ce qui faisait l'ambiance au Dakar, c'était les "Poireaux"...

C'est malheureusement ce qui arrive quand tu transforme une aventure humaine en entreprise commerciale..

Avant, tu prenais des hommes, tu les mettais là, où c'est impossible; et il le faisaient quand même..

Maintenant, ce n'est plus que de la mise en scène.. les étapes sont calculées pour les heures de diffusion sur les TV et pour que la "logistique" puisse suivre.

Les sponsorts, les moins cons, finiront par ne plus financer cette mascarade et se tournerons vers autre chose; enfin, j'espère..

Ca va se tasser, les jeunes autour de moi n'en ont rien à foutre (ils ne regardent déjà plus la TV, "trop naze et y'a internet", je cite. Et j'abonde)

Bonsoir mes bilouts !

Moi le Dakar a été bigorné par l'apparition du GPS : les pros ont commencé à se suivre comme des moutons et l'incroyable suspense des débuts s'est mué en autoroute à moutons suceurs de roue. Aucun intérêt ou presque ...
J'ai quand même bien aimé les motos d'usine, en particulier la Honda bicylindre, la FuZée de Jean-Claude Olivier mais aussi les bitzas très sympas.

Mais par la suite, je n'ai jeté qu'un oeil distrait sur les résumés de F2 jusqu'à ne plus rien suivre quand le grand cirque a quitté l'Afrique.
Et puis pour moi le Dakar c'était ce fou de Sabine avec ses étapes marathon dans les tempêtes de sable : ça faisait peur mais ça avait une sacrée gueule !