mes timonos XLS

Bon, on y retourne : branle c*n de baba, tout le monde en tenue de combat !

Notre jeune motard celtique n'en menait pas large au milieu de cette meute de fauves sanguinaires. Il s'attendait à être dépecé vivant et ses restes jetés en pâture aux enfants de Poséidon, en contrebas.
L'italien tout de rouge vêtu prit soudain la parole :

"Elle sort d'où cette chiotte ?!" Le terme n'était pas très élogieux mais on sentait quand même un respect difficile à dissimuler dans le ton de son organe viril.
"Du Mans, pauvre pomme !" ne put s'empêcher de lui rétorquer, presque malgré lui l'intrépide Sergio qui s'en mordit aussitôt des lèvres gercées par l'angoisse.
"Houlà ! Moi je dis, ya déclaration de guerre sur ce coup ! Là on va voir si tu les as aussi bien accrochées à ton slip kangourou !
Tu passes devant et nous on te suit. C'est simple, si tout le monde te passe, le dernier à te doubler t'envoie dans les décors avec ton tas de boue. T'as pigé la manoeuvre ?"

Gloups ! Un peu qu'il avait pigé nôt' Sergio et il n'en menait vraiment pas large en cet instant solennel où sa vie se jouait sur un coup de dé.
Mais un sentiment d'injustice trop longtemps refoulé jaillit dans son cerveau en ébullition et la peur fut chassée sur le champ par une sainte colère. Ils allaient voir ce qu'ils allaient voir ces bikers d'opérette !
On va les emmener gentiment sur notre terrain de jeu préféré et on verra bien s'ils ne vont pas s'envoler dans quelque ravin ...

Serge rabattit la visière de son casque, il rajusta la jugulaire et appuya nerveusement sur START.
Un son monstrueux de puissance contenue vint chatouiller les tympans de motards qui pourtant en avaient entendu d'autres.
Tous sursautèrent pour ne pas tressaillir, à moins qu'ils continrent un bondissement incontrôlé car nul ne put l'attester par la suite ...
... mais on s'en bat remarquablement le steak car le Serge ne nous a pas attendus pour enclencher la première dans un KLONK ... et ben mêm' pas ! ... dans du velours, de la soie, de la gaze diaphane, un truc de ouf tant il y eut du moelleux dans le verrouillage de la vitesse :
jamais vu ça !
Et lorsqu'il ouvrit les gaz pour ébrouer la boîte à canassons, on entra subitement dans du grandiose : la roue arrière patina sur la poussière du parking comme seul un dragster sait si bien le faire et aussitôt l'esplanade fut envahie par un épais nuage enveloppant amoureusement nos protagonistes de la baston stupéfaits !

Mais Serge ne les avait pas attendus, sa roue arrière ayant accroché le bitume bien abrasif de la route avait propulsé la RCB vers le premier virage, un gauche vicelard bien gras qui sauta à la gueule de notre apprenti pilote bien plus vite que je le tape !
Le celte sauta sur les freins et n'hésita pas à balancer son camion, comparé à sa CBS, dès le point de corde atteint en se déhanchant à s'en faire une luxation et en priant pour que les gommards soient à la hauteur.
Jamais, au grand jamais, il n'avait pris une courbe resserrée à cette vitesse. Et pourtant la moto gardait sa trajectoire comme si elle avait pris un rail !

A la sortie, il ouvrit jusqu'à mi-gaz et passa deux rapport à la volée pour sauter aussitôt sur les freins et se prendre la bulle dans la visière tant le ralentissement instantané fut violent ! Là y avait un lacet à droite qu'il valait mieux ne pas louper sinon il se satellisait direct dans la grande bleue, au milieu de rochers accueillants pour le motard suicidaire ...
Là, il retomba en prem's et se coucha carrément sur le bitume chaud pour virer au plus court et absorber cette épingle car après, il y avait une ligne droite longeant une sorte de fjord que la route devait contourner.

Et derrière ? Derrière, une fois l'effet de surprise et le nuage de poussière dissipés, la chasse s'était vite désorganisée dans un chacun pour soi réjouissant pour tout adepte de la geste motardesque.
La Kawa avait bien failli embrocher d'entrée la CB qui lui avait grillé la politesse en basculant vers le premier virage, alors que la GT avait failli fumer son embrayage en voulant imiter, la jalouse, le départ majestueux de la RCB !
En définitive, les deux les plus sobres et efficaces furent l'anglaise et l'italienne qui avaient anticipé le truc et viraient au plus court sur le couple dans le premier gauche avalé sans coup férir.

Là, tu te dis, ça va être de la baston bien classique, bien sanglante : on connaît bien le récital du Marco qui nous l'a déjà servi !
Perdu ! Lecteur de peu de foi. Je t'ai dit qu'on était dans de l'exceptionnel !
J'en veux pour preuve que si tu tends l'oreille et que tu fais preuve d'un peu d'imagination, tu vas ouir une sorte de son sur-aigu déchirant l'atmosphère déjà saturé par les vrombissements des bécanes susnommées.
Une flèche d'un blanc immaculé déboucha sur l'esplanade à une vitesse supersonique et se becqueta en un battement de cil les trois dernières brêles du peloton qui, sur le coup, parurent à l'arrêt !

Enfer et putréfaction ! On dirait bien une Yam OW31 ! Comme diable est-ce possible ? Une 750cc deux-temps de Grand Prix sur route ouverte, les Chevaliers qui en avaient pourtant vu d'autres et des gratinées, n'en revinrent pas.
Mais de se faire enrhumer de la sorte ne lui convint que moyennement : ils remirent une pincée de gaz, hsitoire de rester dans la course, quoi ..
Pendant ce temps, l'italien et l'anglais se rendaient d'aimables politesses en frottant à chaque virage et en se frayant un passage sur la bonne trajectoire à grands coups de bottes généreuses. Ya pas à dire, rien ne vaut un bon vieux pilotage à l'ancienne !
Il faut dire qu'avec ces deux pachydermes, l'agilité était en terre inconnue, la souplesse aussi d'ailleurs. Alors il fallait impérativement prendre la bonne trajectoire pour pouvoir faire parler le couple de leurs supers berlingots au plus tôt dans la courbe.
Il en résultait une sensation bestiale où nos deux puristes avaient l'impression grisante d'avoir le luc installé sur un ressort géant.

Un peu plus loin, la Yam fondait sur les deux comme la misère sur les pauvres, entraînant dans son sillage une Kawa, une GT et une CB à la queue-leu-leu qui jouaient à se prendre l'aspi pour remonter vers la tête de la course.
Le virage en épingle fut un grand moment de bravoure : la Yam, forte de ses énormes disques avant planta un freinage d'autant plus monstrueux que son pilote avait été singulièrement optimiste quant à la vitesse d'entrée en courbe. On n'était pas sur un circuit, ici, quoi !
La Kawa ne put éviter de shooter dans le luc de la Yam ! Heureusement, les deux pilotes étaient de sacrés équilibristes car personne ne tomba mais ils durent tirer tout droit, laissant filer la CB qui s'était infiltrée à la corde et se payait un intérieur propre sur la GT.

L'entrée de la ligne droite suivante fut un festival d'accélération : personne ne voulait être décroché ! ça hurlait à la mort, ça couinait à la lune, ça vociférait gravement, ça barytonait dans tous les coins. Bref, ça envoyait la purée à la sauce GP !
On se retrouva vite avec quatre bolides de front sur une route étroite comme un rail SNCF et une seule trajo pour la prochaine épingle.

Au même moment, les européennes étaient sur le point d'opérer le point de jonction avec la RCB qui, aussi merveilleuse machine qu'elle fût, n'avait pas encore délivré son mode d'emploi à un Serge en surrégime. Le pauvret s'était déjà fait quelques grosses chaleurs rattrapées de justesse par des pneus Bibendum d'endurance retaillés qui collaient à la route comme des chewing-gums tout frais !
Les deux barbus lui caressaient amoureusement le dosseret et ils commençaient déjà à étudier les ouvertures ...

Pitin ! Ya pas que le Serge qu'est en surrégime : ya aussi le Marco la tronche comme une pastèque mûre et la toux pas belle
J'vas m'reposer un p(n)eu moa

@ peluche (j'espère que le début de baston vous aura plu ... et l'arrivée intempestive de la OW31 aussi )

j-imagine le serge en slip

houai!!!!! j'imagine aussi la fameuse yam ow31

bien racé la machine

il me semble si mes souvenirs sont toujours présent
que M Coluche a battue le record du monde kms lancé sur ce genre de machine
une 750 OW35 ancienne machine de PATRICK PONS
un super record à l'époque 252,87 kmh sur l'anneau de Nardo en Italie

De retour d'un repos même pas réparateur (grognon l'Marco) pour m'apercevoir que mon histoire n'a apparemment plus beaucoup de succès
Bon, pas grave, je la terminerai pour Sergio et Spider quand je serai en meilleur état et dans de meilleures dispositions intellectuelles (j'ai le casque et ça commence à me brouter ).

Pour Sergio, la Yam OW31, je la voyais plutôt comme ça :

Celle engagée par Sonauto sur le Bol d'or 1978 avec Patrick Pons et Christian Sarron

Oups!
Pas eu le temps de la lire...

oui maco celle de Coluche c'est l'ancienne de Patrick PONS
tu as raison pour les fans ils ne se bousculent pas au portillon
tu n'as plus aussi d’admirateurs qu'avant surement
moi je reste Fidèle
continue pour le peu qui suit
merci, sergio

Moi ,aussi j'aime toujours lire tes narrations
Mais ...bon! C'est comme à la téloche ....c'est toujours pendant l'action qu'il y a l'interlude

Salut Marco.

Toutes mes félicitations pour ton récit , je me régale.
Voici la Yam de Coluche pour son record du km lancé :




A+ pour la suite des aventures de Sergio.

Papy Gadin

Bon, d'accord, j'ai exagéré un tantinet, je dois l'avouer Mais je vous ai dit que la grippe commençait à me rendre grognon : j'suis pas aussi performant qu'avant et ça me broute

Passons à autre chose. La fièvre me faisant délirer, j'ai été légèrement optimiste sur la sept et demie Yam car je vous ai carrément présenté la version factory c-a-d usine avec son sigle OW31 contrairement à la version client, la TZ 750 :


Pour ce qui est de Coluche, je n'ai jamais su quoi penser de son "record du monde". La seule certitude à son sujet, c'est sa passion sincère pour la moto qui lui a coûté la vie.

Plus d'jus pour avancer l'histoire, pardon pour les aficionados.

En revanche, ce sujet prend un tour assez surprenant, trouvez pas ? On s'éloigne de nos ch'tits vélhondas, non ?
Mais on va y revenir, plus haut, plus grand, plus fort, j'vous l'garantis

En attendant, je laisse les lecteurs assidus sur leur faim en plein milieu de leur baston (car je suis sûr qu'ils se la sont appropriée, les canaillous) complètement surréaliste avec une pincée de brêlons échappés des circuits.
En mêm' temps z'êtes obligés à rien, hein ! C'est onirique en plein c't'histoire à rouler debout (sur les freins), mis à part pour Serge qui lui commence à avoir sérieusement chaud aux miches avec la meute infernale prête à le jeter comme un vulgaire déchet de l'humanité.

Dormez en paix braves gens, les blousons noirs ont déposé les armes pour ce soir ...

Un gauche bosselé se présentait sous les pneus expérimentés de Serge et il voulait en profiter pour tenter de décramponner les deux andouilles qui lui reniflaient le fion depuis trop longtemps à son goût.
Il le connaissait tellement par coeur, ce virage à angle droit, qu'il lui était déjà arrivé de fermer les yeux, calé sur la trajectoire. Ce petit instant d'éternité représentait à chaque fois une jouissance extrême, mais il lui avait fallu de longs mois de reconnaissance de chaque centimètre de bitume avant d'être capable de réciter le nombre et la position exacte des gravillons, des rides, des trous, des compressions, des creux et des fissures composant la particularité de cette courbe lente où tu pouvais pourtant te vautrer sans comprendre ce qui t'arrive.

Mais il possédait cet endroit avec une petite CBS, pas avec un monstre échappé des anneaux ! Il soigna quand même son entrée en visant le point de corde comme s'il était au guidon de sa mini chignole et à la tâche sombre, il balança le mastodonte sur la trajo qu'il avait découverte en priant pour que les deux clowns ne prennent pas son aspi.
Il savait d'instinct qu'il pouvait se faire déboîter en sortie de courbe si on parvenait à s'abriter derrière son dosseret en se décalant franchement sur sa gauche et en ouvrant les gaz en même temps que lui.

Dès le repère de la touffe d'herbe passé, il ouvrit comme un sauvage pour éviter de se faire fumer et la manoeuvre fonctionna quelques instants car il ne vit nul museau de brêlon sur son côté gauche. Il avait réussi à piner le rital et le rosbif !
Mais, alors qu'il allait crier victoire, une sorte de flèche le passa sur la droite avec près de vingt bornes de mieux !
Au freinage suivant, il vit s'échapper une Yam blanche avec du bleu ... Sonauto !

Du coup, sous l'effet de la surprise, notre Sergio rendit la main deux secondes, le temps de retrouver ses esprits, mais aussitôt la Norton et la Ducat' le déboîtèrent, entraînant dans leur sillage la CB, la Kawa et, à une longueur plus loin, la GT.
En une fraction de seconde, le jeune s'était retrouvé bon dernier ... c'est vous dire l'intensité de la bourre !

Il remit gaz en grand et se coucha derrière l'énorme bulle de la RCB pour faire parler les chevaux car il savait qu'une ligne droite de près de deux kilomètres pouvait lui permettre de faire jouer la puissance phénoménale de cette Honda d'endurance.
En effet, un coup d'oeil éclair vers le compteur ... chiasse !!! C'est vrai qu'ya qu'un compte-tour ... bref, l'aiguille de ce dernier montait, montait, montait et le paysage semblait se figer.
Le train des brêlons entassé à la queue-leu-leu sur la droite de la route pour profiter de l'aspiration des uns et des autres lui laissait un mince couloir pour passer avec près de trente kilomètres/heures de mieux en pointe : une véritable honte mais là, il avait compris qu'il détenait l'arme absolue ... si l'on exceptait c'te Yam qui caracolait en tête, loin devant !

Soudain, son attention fut attirée par deux silhouettes familières qui se découpaient admirablement tout en haut de la falaise de craie blanche, devant un ciel sans nuages : une paire de poulets perchés sur leurs BM qui semblaient s'intéresser pour la belle arsouille qui se déroulait devant leur regard connaisseur.
On voyait bien qu'ils faisaient chauffer leurs tracteurs pour ne pas louper une miette de cette course sur route ouverte.
Hé, c'était pas tous les jours qu'ils pouvaient bastonner avec des camarades de jeu à la hauteur !

A peine le CB fermant la marche était-il passé que les deux pandores décollèrent dans un ensemble parfait pour se placer aussitôt derrière le peloton.
La Yam avait déjà emmanché la courbe ultra-rapide droite en bout de piste et le petit train s'y engouffra à son tour, calé derrière un Serge prudent car il ne connaissait pas les réactions de ses slicks retaillés.
On entrait dans une portion d'une dizaine de kilomètres qu'Azim avait baptisée le tourniquet tant effectivement ça tournicotait dans tous les sens.

Il fallait d'ailleurs bien connaître l'endroit sous peine de se faire des chaleurs dans cet enfer du pilotage.
Le revêtement était très mauvais avec un goudron qui s'en allait parfois par plaques, des nids de poules comme des autruches, de véritables bacs à graviers.
C'est bien simple, ça secouait tellement fort qu'il fallait éviter à tous prix de se retrouver avec la langue entre les dents sous peine de la sectionner net dans les plus brefs délais !

Et le pilote émérite de la OW31 ne le comprit que trop bien car il rendit la main pour rester sur ses roues. Les autres furieux le rejoignirent rapidement car ils n'avaient visiblement pas de famille, alors que les piou-piou les avaient ramarrés avec une facilité déconcertante.
Tout ce beau monde s'attendait à tous moments de tomber sur un barrage routier avec mitraillette et tout le saint frusquin, ce qui avait fait singulièrement baisser le rythme de la balade ...
Mais contre toute attente, les représentants de la loi en profitèrent pour les déboîter et leur montrer comment on reste sur la route, fut-elle dégradée à l'extrême !

Passé l'inévitable instant de stupeur, les bikers se ressaisirent et en remirent une couche que n'aurait certainement pas renié Monsieur Ripolin lui-même.
Je passe sur les chaleurs, les coups de sang, la glaciation des veines, les yeux exorbités, les "j'm'y meeeets !!!", les "trooop faciiiiiileuouille !", les "putinputinputiiiiin !", les gloups, les OOOOUFFFF !!! ... car il y eut du grandiose pour ne pas dire du sublime !

Et que dire lorsque les deux gendarmes mirent leur cligno à gauche et allèrent béquiller leurs BMW fumantes et cliquetantes pour s'en griller une ? Les autres auraient bien pu en profiter pour s'échapper, non ?
Bein non ! Tout ce beau monde se retrouva autour de nos deux avions de chasse réglementée pour commenter à chaud une baston qui s'était avérée royale.

Et notre Serge dans tout cela ? Le loupiot fut adopté à l'unanimité par toute la bande et adoubé par le pilote Yam. Un certain Christian Sarrron ...

Bon, ça, c'est fait avec les faibles moyens du bord, certes, mais j'y ai mis du coeur à l'ouvrage.
J'espère que mon Sergio s'y est vu

Me concernant, je vais faire une sieste car la grippe n'est pas complètement finie

Bon, hé ! Maintenant, il faut que je songe à créer l'histoire de la rando sauvage des potos du fofo à Lacaroumieux

Mais là, je pense prendre mon temps et ne pas utiliser la technique du one shot.
Pour cette grande première, je compte prendre des notes, faire des fiches, créer une trame, bref, opérer un véritable travail de fond.
Après, je rédigerai, vous présenterai un brouillon qu'il vous sera possible de commenter, de critiquer voire de proposer des pistes afin que je puisse améliorer ma technique.

Qu'en dites-vous ?

moi j'suis OK!!

spider a écrit:moi j'suis OK!!

Mis à part Spider qu'est un vrai racer dont la célérité n'est plus à démontrer, ya pas de réponses en cette fin d'année.
Vous subirez donc mes écrits sans qu'ils passent sous vos fourches caudines : je ne tiendrai compte que des éventuels commentaires faits a posteriori
Ces derniers me permettront sans doute de m'améliorer pour les textes suivants
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En attendant, j'ai une santé à reconquérir, un abri à recouvrir et des brêles à remont ... (Berthe ! ça se finit pas en "ir" ) ...er; à commencer par la XRat's de papynico qui se morfond dans mon petit garage

Héhéhé ! Avant d'aller me baquer pour pioncer un pneu, j'ai recopié l'histoire de Sergio et son pote Azim dans mon blog LACAROUMIEUX VILLAGE.
Comme ça, au moins, on n'est pas gêné par les posts insanes qui entrecoupent cet exceeeellent récit (enfin, pas tant que ça au vu des réactions peu nombreuses ).

Allez, bande de loirs : ATCHAO y hasta la vista !

Marco a écrit:Bon, ça, c'est fait avec les faibles moyens du bord, certes, mais j'y ai mis du coeur à l'ouvrage.
J'espère que mon Sergio s'y est vu

Me concernant, je vais faire une sieste car la grippe n'est pas complètement finie

A donf!!!!!!! ah oui j'ai kiffé
super encore encore, cette dernière banderille
était d'un suspense, a nous collé le luc sur nos fauteuils
j'attends le prochaine aventure avec impatience
repose toi bien mon billoute
passe de bonne fêtes
pour ma part je part sur Bordeaux pour les fêtes et ne pourrais commenter tes écrits
à 2013 avec pleins de nouvelles idées
amicalement Sergio

Belle imagination ('')
peut tu nous la faire en B.D ('')
Bravo

MERKI cher Routard

Heuuuu ... pour la BD, j'y songe de plus en plus mais là ya encore comme un blocage
Je n'ai pas fait de "Mickey" depuis une éternité et j'ai moins de facilité à dessiner qu'à écrire.
Mais pourquoi pas un essai dans le courant de 2013 ?
Ya Sergio qui est aussi sur les rangs pour tenter de mettre en images mes histoires improbables

Bon, avant j'ai l'histoire de la rando (virtuelle) des potos du fofo à créer pour le premier trimestre 2013 et elle va bien occuper mon temps libre.
En effet, je souhaite pour l'occasion faire évoluer le style " one shot brut de décoffrage " que j'ai utilisé jusqu'à présent vers le style "BDcriture" (je viens de créer un nouveau néologisme ) que j'aimerais devenir ma signature.

De plus, cette histoire aurait une portée hautement symbolique pour ma pomme puisqu'elle introduirait la présentation du village de Lacaroumieux et de ses environs immédiats dont je dois figer les contours
Voir des bilouts comme PapyGadin, Sergio, Eldo', Spider ... bastonner avec Rick, papynico, Huma, Riton, Modif et j'en oublie une pelletée, dans les décors de mon sud-ouest natal va me donner à coup sûr de sacrés pets d'adrénaline !

... en attendant peut-être une "vraie rando organisée en vrai" vers Fourcès le village gersois dont la place ronde se rapproche le plus de celle de Lacaroumieux qui s'en inspire très librement

Bon, alors très bien. C'est commack, vous l'aurez voulu !

AAAAH mes gaillards blased about life dans cette fin d'année (damnée ?! ), vous ne réagissez plus dans le grand n'importe nawak ?!!
Z'êtes bientôt mûrs pour aller hanter des supports de "beaufs sévèrement burnés" si vous y prenez pas gaffe

Allez, je secoue le cocotier et je relance de dix (mille ! Non mais ! ) : moi, pour 2013, faut que je goûte aux joies ineffables du trial
Depuis le temps que je pleurniche dessus, faudrait ptêt ben que je me sorte les doigts du luc et que je me donne les moyens de m'y mettre, nom d'une grosse tafi*le informe !!!

Fini de chouiner : de l'ACTION nom de Bleu !
Et VIVE LE TRIAL HONDA !

On va se refaire la guerre DTMX / XLS version saute mouton : TY versus TL, ça vous dit ?

Des Honda trial, mes bilouts sidérés, ça donne les tofs de PapyGadin (un peu plus en avant dans ce sujet), mais c'est aussi ça :

ça vous cause ?
... pas encore ?

Alors ça ?

... c'est pas du beau quatre-coups, preûtêtreux ?

Salut Marco ,désolé de ne pas avoir répondu plutôt :j'avais séance de mécanicage
Bah! C'est vrai que ce sont de belles machines....mais je pense que si ce n'est que pour faire de la ballade même trialisante :c'est trop (beau ,clinquant ....)
Du coup je n’oserais même pas aller jouer dans les cailloux avec

pour la BD voici quelques piste

Bon, Ok, j'édite ce message parce-que je m'aperçois avec stupeur que ce micro-forum rempli de bilouts sympas représente une sorte de havre de paix pour moi.
Je continuerai donc à vous briser consciencieusement les noix en 2013 : tant pis pour vous !