La rando des potos du fofo

eldorado a écrit:Y'a pas, Sergio, cette planche me plaît vraiment beaucoup ! Et le style du personnage aussi...
Bien vu !


A+,
Eldorado.

si c'est ressemblant, c'est un pur hasard
du moins avec un peut d'aide de papy qui m'a dit que tu était grand
du moins plus grand que lui
le reste, je l'ai imaginé, et de toute façon c'est la machine que tu aimes
je suis cotant si ça te plait
et pour Marco
j'aimerai bien les faire moi même c'est dessins mais je ne suis qu'un armateur
je dessine pas mal, mais je ne sais pas donner vie à la planche
comme on peut le voir plus haut
dommage
allez quelques ligne avant d'aller se coucher

Bon, ce n'est pas aujourd'hui que je vais poursuivre la rando des potos mais il va falloir que je trouve du temps pour la finir, nom de Zeus !  
ça fait un bail que je n'ai pas écrit une ligne, alors ça risque d'être dur de relancer la machine   ... maiiis, je n'ai pas dit mon dernier mot  

eldorado a écrit:Y'a pas, Sergio, cette planche me plaît vraiment beaucoup ! Et le style du personnage aussi...  
Bien vu !


A+,
Eldorado.

il est vrai que depuis que l'on se connait mieux
après cette rencontre au pays des Bigorneaux de cet été
je l'avoue c'est ressemblant
un pur hasard mais pile poil dans le milles
et j'ai hâte que l'on se retrouvent un jour
a+sergio

Yo mon Spider !   ça farte ?  

ce qui me déçois le plus
c'est que Marco a retrouvé gout à la mécanique
et j'en suis quand même contant
mais ici !!!!!
qu'allons-nous devenir ???????
les potos sont en radent avec leur belles vintage
     

ça va venir mon Sergio mais c'est pas sur commande, tu t'en doutes. Là, je crois que j'aurais l'inspiration pourrie si je me forçais à écrire pour écrire  

Je pense que si je me vidais la tête avec la 175 XLS, cela donnerait le "carburant" indispensable à mon imaginaire.
Déjà que c'est coton d'écrire sur des personnes réelles que je ne connais pas (ou très peu pour deux d'entre elles, hormis le fait qu'ils sont très sympas et généreux  ), alors je ne veux pas utiliser des recettes ou des ficelles pour terminer ce récit à l'arrache (moyeu  ).

Comme me le disent les "anciens du fofo : " Roule, Marco ! " ... et je ne suis pas loin de penser que c'est ce qui me manque pour puiser l'inspiration à la Joe bar team (dont je me sens assez proche, comme pas mal de motards ou ex ).
C'est que, demi-siècle aidant, mes souvenirs de jeunesse s'éloignent inexorablement  

Salut Marco , Sergio et Les Monomaniaques.

Tu as raison Marco.

Fonce sur la révision de Ta XLs , peaufines tes réglages , et fait la rouler , pour qu ' elle soit préte pour le passage de Ton Demi Siécle.

Son doux Ron Ron va te donner l'inspiration pour reprendre ton homérique récit.

N 'en profite pas trop pour nous mettre la misére avec ta machine traitreusement kitée  

Soigne bien la partie arrière de ta machine . Nous ne risquons que voir cette dite partie  
Pas trop de belgom , quand même .Sinon , on va être ébloui.
Même avec nos Climax teintées , on va être handicapé 

A+
Papy Gadin

Ben ça alors   tu as lu dans mes pensées les plus secrètes  

J'ai bien l'intention de me fabriquer une machine à rêve, donc une machine de guerre telle que je n'osais la rêver lorsque j'étais ado    
Je pourrais rouler avec une 250 Husky voire une 175 IT (qui n'est qu'une sorte d'ultraDTMX), mais non ! J'préfère me monter une XLS en TT ... parce-que je suis vacciné XLS (j'adore les autres 125 trail Honda, surtout la sublime SL, mais mon coeur penche pour la XLS, c'est comme ça ...).
Mais si un jour j'organise une belle rando dans mon fief du 47, les bilouts qui auront eu le courage de venir ne verront pas toujours le feu arrière de ma future 175 XLSS (pour SuperSport) car ils le montreront aux autres en l'enfourchant  
Là, y aura matière à créer un autre récit de rando, en partie basé sur une certaine réalité (mais passée par le prisme déformant de l'imagination galopante du Marco, je vous rassure !  )

Au fait ! Je ne vous l'ai peut-être pas dit mais les décors naturels (100% !  ) dans lesquels se meuvent nos protagonistes de l'arsouille la plus monstrueuse qu'un timoniste digne de ce nom ait jamais vécue, ben ces décors existent TOUS aux quatre coins de mon cher Lot -et-Garonne.
Mon département possède cette particularité d'être le carrefour géographique de ceux qui l'entourent (Lot, Dordogne, Tarn-et-Garonne, Gers, Landes ...) avec leurs paysages : elle est pas belle la vie ?  

Le village de Lacaroumieux est lui-même un patchwork de sites remarquables qui ont pour nom Vianne, Tournon d'Agenais, Dune, Fourcès (Aïe, dans le Gers   ... mais de peu), etc ...

Bon, d'ici quelques jours il va y avoir envoyage de gros gaz sur les rudes pistes du 47 : accrochez-vous à votre slip kangourou car ça va ballotter velu dedans !  
J'sais pas si nos timonistes vont la finir indemnes c'te rando de feu  
" Qué séra, séra " comme dans la pub OMO de la grande époque (aucune allusion sexiste, hein !)

non non pas de problèmes il y a juste des nœuds
qui ont été dans l'eau

Pour les timonistes qui voudraient relire peinard l'histoire de la rando des potos du fofo (devenue celle de Lacaroumieux : lieu de leurs homériques exploits   ), je donne rendez-vous sur mon blog :
http://lacaroumieux-village.blogspot.fr/

Ya presque toutes les histoires du Marco (à l'exception de celles, irrémédiablement perdues   d'un autre forum "timono")

Bonne lecture et surtout : bons rêves  

Salut Marco.

Merci pour ton Blog. je viens de passer un bon moment de lecture gourmande et picaresque sur ton blog.

Avec ce petit bain de joie de vivre , la journée commence bien.  

A+
Papy Gadin

  

Bon, aujourd'hui c'est mon dimanche de repos avec un vrai temps de Toussaint (en retard  ) : ch*é !  
Pluie glaciale et froid au programme alors pas envie d'aller me geler la bielle dans mon abri n°1 : mes belles Honda attendront encore un p(n)eu ...

Maiiis ! Il me semble qu'il y a une histoire de rando (virtuelle pour le moment  ) à terminer, s'pas ?  
Et si j'en avançait un poil le récit, mmmh ?  

Bon, je vais me réchauffer avec ma douce et je reviens ... ou pas  

Salut Marco.

Tu as raison , ne prends pas froid .
Reste au chaud , au prés de Ta Douce.
Mais , continue , ( Tel un Cervantés du PtiMono ou un Dumas du PtiHonda ) au fond de ton ésprit fécond à imaginer la suite de ton oeuvre littéraire.

Je continue , à scruter l'avancement de ton récit sur ton blog.

a+
Papy Gadin

Merci cher Padin
mais comme promis, ce sont les potos de ce fofo qui auront la primeur de la suite (et fin ?) de ce récit.

J'ai juste des problèmes de connexion à résoudre et un débit qui n'est pas haut, pas bas non plus d'ailleurs, c'est plutôt un cheveu de débit. Ch'uis en bout de ligne et le dimanche je suce les tuyaux  
Bon, on va essayer de faire avec ...

En fait, là c'est pas le réseau qui déc*nne mais ma clé WIFI qui surchauffe   ... c'est bien le point faible de mon installation. Un peu comme les pédales auto en plastique de mon nouveau vélo : de la daube que je vais vit' fait remplacer par des Shimano.

Mais je m'éloigne du sujet   sans doute parce-que j'ai peur de manquer d'inspiration ?  

Ahhh..., l'angoisse de la feuille blanche...
Le seul remède que je connaisse à cela, c'est de considérer que le public lecteur sera bienveillant...
Et nous le sommes !...  

Au plaisir de te lire et à +,
Eldorado.

Ok ! ça marche mon cher Eldo. Faites chauffer les bouilleurs, on y revient.

" Hé les mecs, c'est pas le Marco qui nous a foutus dans cette galère ?! "

Qui avait proféré pareille injure à l'égard de notre hôte d'un jour ? Lequel sentit aussitôt une langue froide et humide lui parcourir l'échine.
" Allez le gascon, au charbon ! " C'était bien sûr le ch'gars du ch'nord qui avait si bien résumé la volonté générale ( "Garçon, c'est ma tournée ! " ) de timonistes passablement agacés par la tournure des événements.

Il faut dire qu'une pluie froide recommençait à ruisseler sur les casques et à s'immiscer subrepticement dans le moindre repli de leur anatomie, arrachant des ruades dignes d'un Lipizzan du cadre noir de Saumur.
On commençait à se le geler sévère, quoi !

Nôt' pôv' Marco, assailli par mille regards le transperçant comme autant de balles explosives, prit donc son courage à deux mains, si vous l'voulez bien aurait dit le regretté Lucien " Jeunesse", et kicka dans un silence religieux qui ne le resta pas longtemps !
Pour se donner un semblant de courage, il dégaza le cylindre de sa Belle à grands coups de poignée virle, éructant des BRRROOOOAAAMM ! à te faire fuir tous les animaux de la création, y compris ceux qui croyaient passer une retraite peinard dans ce coin du sud -ouest ...

Il fallait se la jouer trial pour entrer dans l'onde pure de Jeannot de La Fontaine (qui méritait bien son nom dans ces circonstances "humides"), pardon, dans ce torrent en furie. Mais après, il valait mieux mettre du gros gaz pour fendre les flots impétueux jusqu'à la berge salvatrice que l'on apercevait là-bas, au loin, à quatre lieues, heu non, mètres !
Le Marco débrancha donc le reste de ce qui fut jadis un cerveau primaire, pour ne pas dire primate, leva le luc de la selle et plongea littéralement dans l'eau bouillonnante et noire comme l'encre d'un léviathan ...

Aussitôt, la force des vagues, manquèrent l'envoyer par le fond mais le bougre avait de la ressource lorsque son scoubidou jouait au tire-bouchon. Il attaqua la traversée dans une longue diagonale de fou (et non "du") en se calant sur les cale-pieds bien en arrière et en remettant une grosse louche d'accélérateur à particules hydriques en priant tous les saints du paradis, qu'étaient des potes, pour qu'il n'y ait pas un obstacle sournois style souche ou trou maousse pour le faire voltiger dans le bouillon ...
Mine de rien, l'autre rive fut en vue au moment où ses compagnons d'infortune l'en perdirent ... de vue !

Ils ne purent ainsi point se délecter de son atterrissage grotesque après le franchissement de la butte qui constituait la séparation de corps entre l'eau et la terre qui fut autrefois ferme. Un demi-tour involontaire faillit d'ailleurs le replonger dans l'enfer des eaux troubles mais la XLS décida pour lui qu'il valait bien mieux s'affaler dans la boue liquide et fangeuse, n'ayons pas peur des mots, d'un rivage pas paradisiaque pour un rond.

là-bas, au loin, les timonistes commençaient sérieusement à s'inquiéter. P*tain, mais qu'est-ce qu'y fout ce gland ?! (ils croyaient peut-être que notre gascon était généreusement pourvu par Mère Nature ?).
C'est vrai quoi ! S'il s'est noyé cet abruti (par les femmes et l'alcool), comment qu'on va retrouver notre chemin dans cette jungle sudiste ?!!!
La peur donne des ailes aux plus timorés d'entre nous et c'est dans un ballet surréaliste que tous nos gus se lancèrent comme un seul homme dans les flots rugissants. On eut dit des hors-bords fendant le courant !
L'intérêt de cette désorganisation apparente, c'est qu'ils roulaient tous de front. On aurait pu croire qu'ils risquaient de s'accrocher et de se noyer ensemble, mais ce fut un phénomène stupéfiant qui apparut comme un drôle de miracle.

Lorsqu'un lascar perdait le contrôle de sa machine, il rebondissait contre l'épaule du motard le plus proche et se retrouvait de nouveau bien en ligne comme par enchantement. Et ce sont ces boules de flipper qui abordèrent ce qui aurait pu ressembler à une plage sans les masses d'eau déferlante. Les éclairs qui zébraient à nouveau les nues sombres ajoutaient une touche de suréalisme à un tableau déjà chargée comme un baudet.
Olive fut le premier à parvenir à faire mordre ses tétines dans le talus, son salut ! Padin, profitant de l'aubaine cala ses roues sur celles de l'infortuné et comble de l'outrecuidance, se retrouva prestement sur le bord avant lui.
Mais Eldo, qui avait flairé le bon coup, ne fut pas en reste et sa roue avant chopa l'arrière-train de celle de Padin : un coup de gaz millimétré et hop ! Il était sauvé.

Nico, pour sa part, rusé comme une compagnie de renards, avait avisé une grosse souche qui ressemblait à l'intérieur d'une gigantesque cuillère et il avait réussi à déclencher un wheeling en plongeant droit sur cette souche. Le reste ne fut qu'une formalité une fois dans ce vélodrome naturel.
Sergio ayant pris le soin de débrancher son cerveau, l'avait suivi comme son ombre et entamé les mêmes actions sans comprendre où il était allé chercher cette compétence extrême. Sans doute dans ce flot d'adrénaline qui engloutissait tous nos protagonistes, la peur est un aiguillon puissant !

... (to be continued)

Ah !!! enfin quelques lignes à lire
la voilou, elle est repartie notre rando
merci marco

De rien, homme de la lande romantique  

Mais dis-moi. J'ai dû louper un épisode car je vois que tu as un nouvel avatar (qui me plaît bien  ) : où peut-on voir la photo "en grand" ? Et est-ce une autre proposition que la "SL gold" ?
Celle-là semble orange, mais je me méfie des petites photos ...

Non tu n'as rien raté
je suis un peu comme toi en ce moment , je fais la Marmotte
cette photo est issus du web
aucun mérite , mais j'espère que l'uns des trois projets et défis que je me suis lancé
ressembleront à ceci
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je vous réserve une petite surprise dans quelques jours
un peu de patience
mais je crois que toi tu vas baver de jalousie
la je crois que j'en ai dis trop
a+sergio

En parlant de SL (qui me fait effectivement baver de jalousie   mais bon, j'ai qques XLS/XR à restaurer avant, alors  ), je regrette de ne pas avoir photographié la SL endurisée de JPLL pour s'aligner sur les épreuves classiques d'enduro : une splendeur  
Et honnêtement, il ne me serait jamais venu à l'idée (mon cher Johnny) de faire de l'enduro avec une SL  

je l'ai retrouvé en plus grande
belle machine