Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Démat mon Sergio
Mouais, les prix demandés pour les TL des 70's sont hors concours pour le bas-peuple et ça n'arrange pas mes démangeaisons lorsque je vois une merveille comme celle de Fred, pardon, Barbouillon (de grand talent ) : j'la kiffe
D'ailleurs, je me demande à combien de Timonos restaurés il en est ... j'préfère pas le savoir finalement.
Bon, comme on ne boxe pas dans la même catégorie, perso, je me contenterai amplement de mes rénovations, pour ne pas dire mes rafraîchissements partiels
Cela-dit, je suis assez content de ma dernière acquisition, je veux parler de ma New-XR, car à 250€ le bout, si le moteur n'est pas foutu, je crois avoir fait une bonne affaire Le vendeur m'a donné en plus un bas-moteur XLS avec un stator que je dois tester, alors
Et pour mes envies de trial, je me demande si une base XLS ne serait pas une bonne idée
Après tout, je ne vais pas me mettre à la compète et ce que je recherche, c'est une brêle de balade, pas de pur franchissement
J'ai d'ailleurs une paire de pneus trial quelque part : il faut que je vérifie leur état
Alors, pour compenser le manque de TL dans mon Timono park, un bitza XLS trial ? Pourquoi pas ?
Je me pencherai AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH ... sur la question quand j'aurai rénové mes deux brêles actuelles (XLS et XR)
Mouais, les prix demandés pour les TL des 70's sont hors concours pour le bas-peuple et ça n'arrange pas mes démangeaisons lorsque je vois une merveille comme celle de Fred, pardon, Barbouillon (de grand talent ) : j'la kiffe
D'ailleurs, je me demande à combien de Timonos restaurés il en est ... j'préfère pas le savoir finalement.
Bon, comme on ne boxe pas dans la même catégorie, perso, je me contenterai amplement de mes rénovations, pour ne pas dire mes rafraîchissements partiels
Cela-dit, je suis assez content de ma dernière acquisition, je veux parler de ma New-XR, car à 250€ le bout, si le moteur n'est pas foutu, je crois avoir fait une bonne affaire Le vendeur m'a donné en plus un bas-moteur XLS avec un stator que je dois tester, alors
Et pour mes envies de trial, je me demande si une base XLS ne serait pas une bonne idée
Après tout, je ne vais pas me mettre à la compète et ce que je recherche, c'est une brêle de balade, pas de pur franchissement
J'ai d'ailleurs une paire de pneus trial quelque part : il faut que je vérifie leur état
Alors, pour compenser le manque de TL dans mon Timono park, un bitza XLS trial ? Pourquoi pas ?
Je me pencherai AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH ... sur la question quand j'aurai rénové mes deux brêles actuelles (XLS et XR)
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
T'ain ! La vision idyllique de la TL Bials de Fred (Barbouillon pour les intimes de ce fofo ) m'a foutu un coup de blues
En fait, j'idéalise tellement une restauration de moto que j'en reste bloqué. C'est sans doute pour cela que depuis trois ans, je démonte, nettoie avec frénésie, ponce, gratte, trempe, polis, "polishe", peins (à la bombe aérosol ) et que dans la foulée je redémonte, stocke, réfléchis en boucle, recherche désespérément (sur LBC), cède à titre gracieux, rachète le même modèle, etc ...
Mon fantasme de "resto' de ouf", je le vois malheureusement se réaliser sur d'autres meules, dans d'autres mains autrement plus expertes que les miennes (pitin ! On est revenu au bon vieux temps de Caliméro, là ).
DONC ! Ben en ce début 2012, foin de bonnes résolutions : faut que je me secoue la paillasse !
Je vais donc tenter de me concentrer sur ma New-XR pour la faire tourner tout simplement afin qu'elle soit prête pour le printemps (pile poil en même temps que mes lombaires "réparées) et ... et ............ eeet : cela me laisserait le temps, tout le temps de voir comment réaliser cette fameuse resto' de ouf" sur ma Belle XLS.
Je vous avouerais que je compte sur mes amis timonistes de ce forum et sur ceux des autres forums de Timono pour m'accompagner et m'aider dans ce projet
La date-butoir pour une brêle magnifique qui tourne comme une montre-suisse ?
Disons mi-septembre 2013 car le samedi 28/09/2013, j'ai quand même l'intention de monter sur la capitale de la Gaule (même si, dans un coup de blues de circonstances, je croyais avoir renoncé à cet improbable défi).
______________________________________________________________________________________________________________________
Bon, en attendant, une ch'tite histoire vécue par le Marco en 1991 ou 1992 (j'ai la mémoire qui flanche, je n'm'souviens plus trrrès bien) :
C'est parti :
J'avais renoué avec un pote motard un peu falourd et nous avions d'abord recommencé à rouler ensemble à vélo, lui sur son Peugeot de Bourgeois à la robe blanc nacré, moi sur le Gitane de mes quinze ans et cela nous avait donné l'envie de refaire du deux-roues ... à moteur.
Ce gus-là, quand je repense à lui, j'ai des sentiments contrastés car il m'a autant porté chance que malheur.
J'ai vécu grâce à lui de grands moments de moto mais j'en ai aussi bavé car son entourage était assez "toxique".
Lui, c'était plutôt le ravi de la crèche qui ne voyait le mal nulle part alors que son père, par exemple, portait une magnifique ramure qu'un cerf dominant de la forêt de Fontainebleau n'aurait pas reniée ...
Bref, une crevette qui faisait un demi-quintal tout mouillé et son mètre-soixante les bras levés mais qui avait un coup de gaz redoutable et cette faculté incroyable de débrancher son cerveau dès qu'il mettait le luc sur une selle en skaï
La vision d'un nez long en lame de couteau qui dépassait de son intégral m'est revenue lorsque j'ai vu le dessin des tronches du Joe bar team : on peut croire que le dessinateur avait croisé cet olibrius
Mais je l'aimais bien ce gazier car il faisait partie de ces mecs improbables qui pouvaient transformer sans le vouloir une journée banale en événement exceptionnel !
Nous décidons, allez savoir pourquoi, de refaire un périple qu'il avait effectué un ou deux ans auparavant (chinois : ça, c'est fait) en compagnie de son beauf' et d'autres enduristes complètement fondus (cela aura une influence indirecte sur notre journée ).
Ma Belle XLS était assurée et j'avais gardé mes petits gants en cuir gagnés à une loterie dans un bouclard de moto de Bordeaux - Bastide, du temps où j'étais étudiant, mais aussi mon casque intégral "enduro replica" (homologué : pour les âmes sensibles) acheté à la même époque à Auchan-Lac (je l'ai toujours ! ), mes bottes d'enduro Stil'Martin (je me souviens plus du nom du bouclard moto, trop loin pour mon zaïzaï, mais le patron barbu était un fou de trial, de brêles italiennes et de vieilles anglaises qui puaient bon l'huile )
Bref, avec un vieux jeans bien graissé par mes entretiens mécaniques et le fameux blouson qui servit de "frein" dans une aventure ultérieure (racontée un pneu plus haut dans ce remarquable sujet ) pour m'éviter le grand saut, j'étais paré à virer ... dans le n'importe nawak comme d'hab'
Mais mon collègue n'était pas en reste ! Comme je n'étais pas particulièrement amoureux de lui, je ne me souviens pas de sa tenue.
Juste qu'il avait pu récupérer ses bottes d'enduro (aux semelles crantées, par opposition aux semelles lisses des cross pour mieux glisser), de merveilleuses Soubirac au cuir solide et épais.
Il pestait contre son beauf', le beau Maxou à qui, entre parenthèses parce-qu'il y a prescription, j'aurais bien piqué la copine quelques années plus tôt si je n'avais pas fait la rencontre de ma vie du côté de Casteljaloux (Aïe, chérie, pas sur la tête ! Tu sais bien qu'il n'y a que Toi, voyons ).
Le Maxou était un bellâtre au corps musclé par du body-building, qui roulait en Golf GTI tunée (de tuning) comme une vieille pùùùte et pratiquait l'enduro à un excellent niveau régional.
Bien sûr, il nous prenait de très haut, son beauf' et moi. Et il lui avait emprunté ses Soubirac pour aller faire une rando, mais il les avait laissées humides et boueuses dans un grenier sans aucun égard pour leur propriétaire
JJ (mon pote au nez de Cléopâtre) avait récupéré ses bottes dans un sale état, avec de surcroît une souris crevée dans l'une d'icelle.
Il avait passé une demie-journée à remettre en état ses grolles et les avait abondamment lubrifiées à la graisse de phoque malgré son hétérosexualité autoproclamée
Mais un petit détail assombrissait déjà notre projet de balade : JJ n'avait plus de meule !
Pas d'panique ! Son beauf' Maxou le magnifique allait pouvoir se dédouaner pour les bottes "pourries".
C'est ainsi que JJ se retrouva au guidon d'une 125 DTMX qui avait permis à Maxou de faire ses premières armes en enduro quelques années auparavant (non Môôôssieur, je ne la referai pas ).
Pour la rendre discrète, il avait bourré le silencieux de paille de fer style tampon Jex et ma foi, cela s'avéra efficace ... trop même, mais j'extrapole
Moi, de mon côté, j'avais un problème récurrent de ralenti à 2.000 trs/min passés qui posaient quelques pitits prroblèms dans le trialisant.
Mais bon, on est des tafi*les ou bien
Nous voila partis gaillardement vers de nouvelles aventures depuis mon logement de Bon-Encontre, plein Nord ("Le Nord, toujours le Nord" aurait dit le professeur Tournesol).
Plein nord ?!!! Ben là on commence fort dans le n'importe nawak car pour attaquer le coteau et sa falaise de calcaire blanc, il faut emprunter ni plus ni moins que le chemin de croix jalonné de calvaires, source de nombreux pélerinages chrétiens.
Que le Seigneur tout-puissant nous vienne en aide et qu'il ne nous foute pas entre les pattes l'un de ces pèlerins sur ce chemin étroit tout juste pavé de bonnes intentions fort louables !
Petit aparté : un an plus tôt, un pèlerin qui faisait route par le chemin de Saint Jacques de Compostelle, avait voulu monter jusqu'à la statue monumentale de la Vierge du coteau. Pour ce faire, il avait emprunté ce fameux chemin de croix et il fut mal récompensé de ses dévotions car il glissa, tomba et se fit une double fracture ouverte de la jambe.
Il dut ramper sur les coudes pour cherche de l'aide à la première maison : un calvaire à l'envers
Et oui, ce chemin était un poil technique mais pour les trialistes du dimanche que nous fûmes, ce n'était pas vraiment un écueil et nous arrivâmes (z'avez vu comment je manie les temps ) sur le plateau de la Rocal qui domine majestueusement la vallée de Garonne.
Mais comme JJ n'en avait rien à secouer et que le temps nous était compté, nous mîmes gaz (expression Marcolienne) sur le chemin de tracteur en bonne vielle terre garonnaise ... avec ses ornières en prime.
On passe par des chemins coupant les coteaux du bon-encontrais que je ne connaissais même pas et on s'enquille la fameuse montée impossible de Saint Amans. Celle-là est intéressante à plus d'un titre : si tu te loupes, t'atterris direct dans le cimetière
Mais au dessus du boulevard des allongés, ya une petite plateforme d'herbe verte sous l'ombre complice de beaux noyers et parfois, dans le temps, de fort belles nymphes en tenue d'Eve perfectionnaient leur bronzage : fallait avoir l'oeil vif et rapide comme l'éclair pour se le rincer car on déboulait sévère pour prendre l'élan nécessaire à la grimpette ... de la côte, qu'est-ce que vous allez imaginer ?!!
Bref, avec ces c*nneries, j'vais pas avoir assez d'élan et je pédale de manière grotesque avec l'énergie du désespoir pour tenter d'atteindre le sommet au milieu des rochers et des racines traîtresses OUUUUUFFF a y est
On serpente au milieu de chênes majestueux en longeant une barre rocheuse que je n'oserais sauter puis on bifurque vers une sorte de chemin bordé d'immenses cèdres qui dut accéder à un château sans doute disparu, quand je manque de m'empèguer mon collègue qui a planté brutalement sans aucune raison valable.
Ha ? Ben si : il est paumé ça commence bien
Et là, il prononce les mots que je redoutais secrètement qu'il prononçât : "Heuuu .... je crois qu'il faut descendre par là pour reprendre la bonne route "
Enf*iré va ! Le "par là", c'est une pente de fou, un pré en pente raide utilisé par des chèvre (là, c'était nous en l'occurrence) mais pas par des vaches, pas folles pour deux sous à l'époque !
Misère de ma vie ! Avec mon pseudo ralenti, j'ai pas un pélo de frein moteur moi
Mais quand faut y aller, faut y aller ... surtout que l'autre artiste, il t'as dévalé tout ça en sifflotant grâce à sa technique de trialiste et les capacités TT de la DTMX.
GOSH ! J'y vais .... j'y vaiiis ... j'yyyyyyyy vaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! J'm'y mets
T'ain ! La belle tôle avec glissade interminable et plantage de bâton, pardon, de guidon avec figure de toupie magnifique.
Mais l'honneur est sauf : personne ne m'a vu (à part toi quelques vingt ans plus tard alors là aussi ya prescription )
Je descends tant bien que mal jusqu'à ... quoiiii ?! Une haie ?!!
Et je retrouve mon JJ en contrebas d'un ensemble fossé / talus, sur le BON chemin. Oui mais moi, j'y suis pas encore : faut que je descende dans ce fossé en rappel et que je remonte deux mètres plus haut pour atteindre le chemin
Et là, en plus, ya cet ahuri qui m'attend et qui ne comprend pas mon hésitation.
Mais moi, je sais que si je me sers du frein moteur, ce dernier va s'emballer et je vais m'empaler direct dans le talus.
Ok ! Opération de la dernière chance : je me fous au point mort, moteur éteint et je dévale la pente en roue libre au fond du fossé je tire sur le guidon comme un désespéré et je remonte de l'autre côté comme une balle pour empoigner les freins et tout bloquer avant de traverser le chemin et me gaufrer dans je ne sais quoi de l'autre côté
Ben ça a marché ! Sauf que l'autre JJ m'a balancé le genre de réflexion énervante qui te donne l'envie de lui faire boire le contenu de son réservoir !!!
- " Pourquoi t'es descendu moteur éteint ?! C'est hyper dangereux !"
- "Ta gue*le et roule !!!"
Nous voila repartis sur des chemins de tracteur, au milieu de bois profonds, de vignes caillouteuses, de chemins creux formant des tunnels de verdure. Les kilomètres défilent dans des décors de rêve, on est bien, la rando est super sympa ...
Bientôt, nous reprenons la route quelques kilomètres pour traverser le Lot par un pont suspendu surplombant une gorge étroite et nous nous enfonçons au milieu d'un labyrinthe de genêts bien piquants ... que t'as pas envie d'expérimenter un "tout droit" dans le coin !
La terre est devenue carrément rouge sang et les châtaigniers, innombrables, ont remplacé les chênes noirs. On est dans les prémices du Périgord ...
"A m'ent donné", on se retrouve dans une forêt touffue qui sent la mousse et l'humidité et le chemin se transforme subitement ou plutôt il laisse place au lit d'un ruisseau, presque un torrent tant il est pavé de rochers noirs et luisants. Et c'est là dedans qu'on doit jardiner !
Clocloc, clocloc, clococ : je dois réviser mes notions succintes de trial pour franchir une à une toutes ces pierres casse-gue*les ... et tout ça, en descente biiiiien sûûûr
M'en fous ! J'm'en sors pas si mal finalement : on dirait presque (de loin dans le brouillard à la tombée de la nuit) un trialiste, ma foi.
Soudain, le rideau d'arbres se déchire et une vision majestueuse s'offre à mes yeux ébahis !
Un château médiéval trône sur une colline, entouré par un village en pierres du plus bel effet
C'est le célèbre (dans le coin ) château de Bonaguil, édifié par les soins d'un fou complet, le noble Bérenger de Roquefeuille.
Cet énergumène avait fait le c*n à la Cour de François Premier qui l'avait envoyé méditer dans ce coin paumé d'Aquitaine.
L'autre, ne sachant pas quoi faire de ses dix doigts, s'est mis en tête de fabriquer un château-fort à l'époque où on n'en faisait plus à cause de la révolution technique dans l'art de la guerre apportée par les canons !!!
Ce château, qui n'avait en plus aucun intérêt stratégique, n'a donc jamais été assiégé que par des hordes sauvages de touristes assoiffés de ... culture.
Mais revenons à nos Timonos
Nous nous sommes arrêtés à la terrasse d'un troquet, au bord d'un lavoir ancestral pour réhydrater mon gosiers asséchés et reprendre des forces car pas loin de 80 bornes de TT ça t'essore ton bonhomme !
La suite bientôt ... je parlerai de la visite de la princesse aux orties enchantées qui clôturera cet aventure picaresque que je dédis à mon Spider pour son annif
En fait, j'idéalise tellement une restauration de moto que j'en reste bloqué. C'est sans doute pour cela que depuis trois ans, je démonte, nettoie avec frénésie, ponce, gratte, trempe, polis, "polishe", peins (à la bombe aérosol ) et que dans la foulée je redémonte, stocke, réfléchis en boucle, recherche désespérément (sur LBC), cède à titre gracieux, rachète le même modèle, etc ...
Mon fantasme de "resto' de ouf", je le vois malheureusement se réaliser sur d'autres meules, dans d'autres mains autrement plus expertes que les miennes (pitin ! On est revenu au bon vieux temps de Caliméro, là ).
DONC ! Ben en ce début 2012, foin de bonnes résolutions : faut que je me secoue la paillasse !
Je vais donc tenter de me concentrer sur ma New-XR pour la faire tourner tout simplement afin qu'elle soit prête pour le printemps (pile poil en même temps que mes lombaires "réparées) et ... et ............ eeet : cela me laisserait le temps, tout le temps de voir comment réaliser cette fameuse resto' de ouf" sur ma Belle XLS.
Je vous avouerais que je compte sur mes amis timonistes de ce forum et sur ceux des autres forums de Timono pour m'accompagner et m'aider dans ce projet
La date-butoir pour une brêle magnifique qui tourne comme une montre-suisse ?
Disons mi-septembre 2013 car le samedi 28/09/2013, j'ai quand même l'intention de monter sur la capitale de la Gaule (même si, dans un coup de blues de circonstances, je croyais avoir renoncé à cet improbable défi).
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Bon, en attendant, une ch'tite histoire vécue par le Marco en 1991 ou 1992 (j'ai la mémoire qui flanche, je n'm'souviens plus trrrès bien) :
C'est parti :
J'avais renoué avec un pote motard un peu falourd et nous avions d'abord recommencé à rouler ensemble à vélo, lui sur son Peugeot de Bourgeois à la robe blanc nacré, moi sur le Gitane de mes quinze ans et cela nous avait donné l'envie de refaire du deux-roues ... à moteur.
Ce gus-là, quand je repense à lui, j'ai des sentiments contrastés car il m'a autant porté chance que malheur.
J'ai vécu grâce à lui de grands moments de moto mais j'en ai aussi bavé car son entourage était assez "toxique".
Lui, c'était plutôt le ravi de la crèche qui ne voyait le mal nulle part alors que son père, par exemple, portait une magnifique ramure qu'un cerf dominant de la forêt de Fontainebleau n'aurait pas reniée ...
Bref, une crevette qui faisait un demi-quintal tout mouillé et son mètre-soixante les bras levés mais qui avait un coup de gaz redoutable et cette faculté incroyable de débrancher son cerveau dès qu'il mettait le luc sur une selle en skaï
La vision d'un nez long en lame de couteau qui dépassait de son intégral m'est revenue lorsque j'ai vu le dessin des tronches du Joe bar team : on peut croire que le dessinateur avait croisé cet olibrius
Mais je l'aimais bien ce gazier car il faisait partie de ces mecs improbables qui pouvaient transformer sans le vouloir une journée banale en événement exceptionnel !
Nous décidons, allez savoir pourquoi, de refaire un périple qu'il avait effectué un ou deux ans auparavant (chinois : ça, c'est fait) en compagnie de son beauf' et d'autres enduristes complètement fondus (cela aura une influence indirecte sur notre journée ).
Ma Belle XLS était assurée et j'avais gardé mes petits gants en cuir gagnés à une loterie dans un bouclard de moto de Bordeaux - Bastide, du temps où j'étais étudiant, mais aussi mon casque intégral "enduro replica" (homologué : pour les âmes sensibles) acheté à la même époque à Auchan-Lac (je l'ai toujours ! ), mes bottes d'enduro Stil'Martin (je me souviens plus du nom du bouclard moto, trop loin pour mon zaïzaï, mais le patron barbu était un fou de trial, de brêles italiennes et de vieilles anglaises qui puaient bon l'huile )
Bref, avec un vieux jeans bien graissé par mes entretiens mécaniques et le fameux blouson qui servit de "frein" dans une aventure ultérieure (racontée un pneu plus haut dans ce remarquable sujet ) pour m'éviter le grand saut, j'étais paré à virer ... dans le n'importe nawak comme d'hab'
Mais mon collègue n'était pas en reste ! Comme je n'étais pas particulièrement amoureux de lui, je ne me souviens pas de sa tenue.
Juste qu'il avait pu récupérer ses bottes d'enduro (aux semelles crantées, par opposition aux semelles lisses des cross pour mieux glisser), de merveilleuses Soubirac au cuir solide et épais.
Il pestait contre son beauf', le beau Maxou à qui, entre parenthèses parce-qu'il y a prescription, j'aurais bien piqué la copine quelques années plus tôt si je n'avais pas fait la rencontre de ma vie du côté de Casteljaloux (Aïe, chérie, pas sur la tête ! Tu sais bien qu'il n'y a que Toi, voyons ).
Le Maxou était un bellâtre au corps musclé par du body-building, qui roulait en Golf GTI tunée (de tuning) comme une vieille pùùùte et pratiquait l'enduro à un excellent niveau régional.
Bien sûr, il nous prenait de très haut, son beauf' et moi. Et il lui avait emprunté ses Soubirac pour aller faire une rando, mais il les avait laissées humides et boueuses dans un grenier sans aucun égard pour leur propriétaire
JJ (mon pote au nez de Cléopâtre) avait récupéré ses bottes dans un sale état, avec de surcroît une souris crevée dans l'une d'icelle.
Il avait passé une demie-journée à remettre en état ses grolles et les avait abondamment lubrifiées à la graisse de phoque malgré son hétérosexualité autoproclamée
Mais un petit détail assombrissait déjà notre projet de balade : JJ n'avait plus de meule !
Pas d'panique ! Son beauf' Maxou le magnifique allait pouvoir se dédouaner pour les bottes "pourries".
C'est ainsi que JJ se retrouva au guidon d'une 125 DTMX qui avait permis à Maxou de faire ses premières armes en enduro quelques années auparavant (non Môôôssieur, je ne la referai pas ).
Pour la rendre discrète, il avait bourré le silencieux de paille de fer style tampon Jex et ma foi, cela s'avéra efficace ... trop même, mais j'extrapole
Moi, de mon côté, j'avais un problème récurrent de ralenti à 2.000 trs/min passés qui posaient quelques pitits prroblèms dans le trialisant.
Mais bon, on est des tafi*les ou bien
Nous voila partis gaillardement vers de nouvelles aventures depuis mon logement de Bon-Encontre, plein Nord ("Le Nord, toujours le Nord" aurait dit le professeur Tournesol).
Plein nord ?!!! Ben là on commence fort dans le n'importe nawak car pour attaquer le coteau et sa falaise de calcaire blanc, il faut emprunter ni plus ni moins que le chemin de croix jalonné de calvaires, source de nombreux pélerinages chrétiens.
Que le Seigneur tout-puissant nous vienne en aide et qu'il ne nous foute pas entre les pattes l'un de ces pèlerins sur ce chemin étroit tout juste pavé de bonnes intentions fort louables !
Petit aparté : un an plus tôt, un pèlerin qui faisait route par le chemin de Saint Jacques de Compostelle, avait voulu monter jusqu'à la statue monumentale de la Vierge du coteau. Pour ce faire, il avait emprunté ce fameux chemin de croix et il fut mal récompensé de ses dévotions car il glissa, tomba et se fit une double fracture ouverte de la jambe.
Il dut ramper sur les coudes pour cherche de l'aide à la première maison : un calvaire à l'envers
Et oui, ce chemin était un poil technique mais pour les trialistes du dimanche que nous fûmes, ce n'était pas vraiment un écueil et nous arrivâmes (z'avez vu comment je manie les temps ) sur le plateau de la Rocal qui domine majestueusement la vallée de Garonne.
Mais comme JJ n'en avait rien à secouer et que le temps nous était compté, nous mîmes gaz (expression Marcolienne) sur le chemin de tracteur en bonne vielle terre garonnaise ... avec ses ornières en prime.
On passe par des chemins coupant les coteaux du bon-encontrais que je ne connaissais même pas et on s'enquille la fameuse montée impossible de Saint Amans. Celle-là est intéressante à plus d'un titre : si tu te loupes, t'atterris direct dans le cimetière
Mais au dessus du boulevard des allongés, ya une petite plateforme d'herbe verte sous l'ombre complice de beaux noyers et parfois, dans le temps, de fort belles nymphes en tenue d'Eve perfectionnaient leur bronzage : fallait avoir l'oeil vif et rapide comme l'éclair pour se le rincer car on déboulait sévère pour prendre l'élan nécessaire à la grimpette ... de la côte, qu'est-ce que vous allez imaginer ?!!
Bref, avec ces c*nneries, j'vais pas avoir assez d'élan et je pédale de manière grotesque avec l'énergie du désespoir pour tenter d'atteindre le sommet au milieu des rochers et des racines traîtresses OUUUUUFFF a y est
On serpente au milieu de chênes majestueux en longeant une barre rocheuse que je n'oserais sauter puis on bifurque vers une sorte de chemin bordé d'immenses cèdres qui dut accéder à un château sans doute disparu, quand je manque de m'empèguer mon collègue qui a planté brutalement sans aucune raison valable.
Ha ? Ben si : il est paumé ça commence bien
Et là, il prononce les mots que je redoutais secrètement qu'il prononçât : "Heuuu .... je crois qu'il faut descendre par là pour reprendre la bonne route "
Enf*iré va ! Le "par là", c'est une pente de fou, un pré en pente raide utilisé par des chèvre (là, c'était nous en l'occurrence) mais pas par des vaches, pas folles pour deux sous à l'époque !
Misère de ma vie ! Avec mon pseudo ralenti, j'ai pas un pélo de frein moteur moi
Mais quand faut y aller, faut y aller ... surtout que l'autre artiste, il t'as dévalé tout ça en sifflotant grâce à sa technique de trialiste et les capacités TT de la DTMX.
GOSH ! J'y vais .... j'y vaiiis ... j'yyyyyyyy vaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! J'm'y mets
T'ain ! La belle tôle avec glissade interminable et plantage de bâton, pardon, de guidon avec figure de toupie magnifique.
Mais l'honneur est sauf : personne ne m'a vu (à part toi quelques vingt ans plus tard alors là aussi ya prescription )
Je descends tant bien que mal jusqu'à ... quoiiii ?! Une haie ?!!
Et je retrouve mon JJ en contrebas d'un ensemble fossé / talus, sur le BON chemin. Oui mais moi, j'y suis pas encore : faut que je descende dans ce fossé en rappel et que je remonte deux mètres plus haut pour atteindre le chemin
Et là, en plus, ya cet ahuri qui m'attend et qui ne comprend pas mon hésitation.
Mais moi, je sais que si je me sers du frein moteur, ce dernier va s'emballer et je vais m'empaler direct dans le talus.
Ok ! Opération de la dernière chance : je me fous au point mort, moteur éteint et je dévale la pente en roue libre au fond du fossé je tire sur le guidon comme un désespéré et je remonte de l'autre côté comme une balle pour empoigner les freins et tout bloquer avant de traverser le chemin et me gaufrer dans je ne sais quoi de l'autre côté
Ben ça a marché ! Sauf que l'autre JJ m'a balancé le genre de réflexion énervante qui te donne l'envie de lui faire boire le contenu de son réservoir !!!
- " Pourquoi t'es descendu moteur éteint ?! C'est hyper dangereux !"
- "Ta gue*le et roule !!!"
Nous voila repartis sur des chemins de tracteur, au milieu de bois profonds, de vignes caillouteuses, de chemins creux formant des tunnels de verdure. Les kilomètres défilent dans des décors de rêve, on est bien, la rando est super sympa ...
Bientôt, nous reprenons la route quelques kilomètres pour traverser le Lot par un pont suspendu surplombant une gorge étroite et nous nous enfonçons au milieu d'un labyrinthe de genêts bien piquants ... que t'as pas envie d'expérimenter un "tout droit" dans le coin !
La terre est devenue carrément rouge sang et les châtaigniers, innombrables, ont remplacé les chênes noirs. On est dans les prémices du Périgord ...
"A m'ent donné", on se retrouve dans une forêt touffue qui sent la mousse et l'humidité et le chemin se transforme subitement ou plutôt il laisse place au lit d'un ruisseau, presque un torrent tant il est pavé de rochers noirs et luisants. Et c'est là dedans qu'on doit jardiner !
Clocloc, clocloc, clococ : je dois réviser mes notions succintes de trial pour franchir une à une toutes ces pierres casse-gue*les ... et tout ça, en descente biiiiien sûûûr
M'en fous ! J'm'en sors pas si mal finalement : on dirait presque (de loin dans le brouillard à la tombée de la nuit) un trialiste, ma foi.
Soudain, le rideau d'arbres se déchire et une vision majestueuse s'offre à mes yeux ébahis !
Un château médiéval trône sur une colline, entouré par un village en pierres du plus bel effet
C'est le célèbre (dans le coin ) château de Bonaguil, édifié par les soins d'un fou complet, le noble Bérenger de Roquefeuille.
Cet énergumène avait fait le c*n à la Cour de François Premier qui l'avait envoyé méditer dans ce coin paumé d'Aquitaine.
L'autre, ne sachant pas quoi faire de ses dix doigts, s'est mis en tête de fabriquer un château-fort à l'époque où on n'en faisait plus à cause de la révolution technique dans l'art de la guerre apportée par les canons !!!
Ce château, qui n'avait en plus aucun intérêt stratégique, n'a donc jamais été assiégé que par des hordes sauvages de touristes assoiffés de ... culture.
Mais revenons à nos Timonos
Nous nous sommes arrêtés à la terrasse d'un troquet, au bord d'un lavoir ancestral pour réhydrater mon gosiers asséchés et reprendre des forces car pas loin de 80 bornes de TT ça t'essore ton bonhomme !
La suite bientôt ... je parlerai de la visite de la princesse aux orties enchantées qui clôturera cet aventure picaresque que je dédis à mon Spider pour son annif
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Oops ! Je dédie et non "je dédis" car je ne me dédis (se dédire) pas du tout
En mêm' temps, c'est ça de "taper au kilomètre" : on fait pas mal de boulettes mais bon, c'est du brut de décoffrage, du démoulé à chaud, du tombé du nid, quoi
Bon, c'est pas tout ça, mais faut terminer ce que j'ai fort imprudemment commencé, nom d'un bilout esseulé dans un monde cruel ...
L'histoire est pratiquement terminée mais je dois vous narrer l'épisode de "la princesse aux orties magiques" qui représente un flash back dans ce flash back. Enfin, vous verrez ce que je veux dire par là, du moins ceux qui ont encore le courage insensé de lire ma prose bien absconse aux yeux des profanes
Bref, on reprend nos brêles encore fumantes et on tire un bout droit plein pot les gamelles pour ne pas nous refroidir.
Mais je dois avouer que nous devons aussitôt sauter sur nos ralentisseurs (nos freins, quoi) car un tracteur barre toute la largeur du chemin et le paysan nous scrute d'un oeil goguenard à travers son vieux rétroviseur cassé.
Nous roulons au pas derrière l'autochtone, comme si nous allions enterrer nos illusions au rythme lent de l'engin agricole ...
Il tourne enfin vers sa ferme et nous mettons aussitôt gaz car ses molosses, surgis du fond de la cour, voudraient bien goûter à notre viande !
Après une course-poursuite de quelques centaines de mètres, nous pouvons couper et souffler un pneu ...
Quelques kilomètres plus loin, nous roulons au pas le long de la clôture d'une habitation lorsque son propriétaire qui binait dans son jardin potager nous insulte copieusement. Nous comprenons à travers ses éructations haineuses qu'il n'apprécie pas particulièrement les jeunes, en particulier juchés sur des motos bruyantes !
Bruyantes ?! Un Timono au ralenti et une DTMX bourrée de paille de fer ne font pas plus de bruit qu'un pet de lapin.
Je pense plutôt que notre présence fait sur ce brave homme l'effet d'une muleta sur le taureau dans l'arène !
To be continued (en fait, je vais me sustenter un peu )
En mêm' temps, c'est ça de "taper au kilomètre" : on fait pas mal de boulettes mais bon, c'est du brut de décoffrage, du démoulé à chaud, du tombé du nid, quoi
Bon, c'est pas tout ça, mais faut terminer ce que j'ai fort imprudemment commencé, nom d'un bilout esseulé dans un monde cruel ...
L'histoire est pratiquement terminée mais je dois vous narrer l'épisode de "la princesse aux orties magiques" qui représente un flash back dans ce flash back. Enfin, vous verrez ce que je veux dire par là, du moins ceux qui ont encore le courage insensé de lire ma prose bien absconse aux yeux des profanes
Bref, on reprend nos brêles encore fumantes et on tire un bout droit plein pot les gamelles pour ne pas nous refroidir.
Mais je dois avouer que nous devons aussitôt sauter sur nos ralentisseurs (nos freins, quoi) car un tracteur barre toute la largeur du chemin et le paysan nous scrute d'un oeil goguenard à travers son vieux rétroviseur cassé.
Nous roulons au pas derrière l'autochtone, comme si nous allions enterrer nos illusions au rythme lent de l'engin agricole ...
Il tourne enfin vers sa ferme et nous mettons aussitôt gaz car ses molosses, surgis du fond de la cour, voudraient bien goûter à notre viande !
Après une course-poursuite de quelques centaines de mètres, nous pouvons couper et souffler un pneu ...
Quelques kilomètres plus loin, nous roulons au pas le long de la clôture d'une habitation lorsque son propriétaire qui binait dans son jardin potager nous insulte copieusement. Nous comprenons à travers ses éructations haineuses qu'il n'apprécie pas particulièrement les jeunes, en particulier juchés sur des motos bruyantes !
Bruyantes ?! Un Timono au ralenti et une DTMX bourrée de paille de fer ne font pas plus de bruit qu'un pet de lapin.
Je pense plutôt que notre présence fait sur ce brave homme l'effet d'une muleta sur le taureau dans l'arène !
To be continued (en fait, je vais me sustenter un peu )
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
... d'ailleurs, nous trouvons bientôt une côte au revêtement de boue liquide bouffeuse de chevaux.
Je passe devant sur un filet de gaz, profitant de la souplesse légendaire du moteur de mon ch'tit quatre-coups alors que ce cher JJ patine dans la gadoue au rythme lent d'un paresseux sortant d'une sieste digestive.
Il faut bien vous avouer, chers lecteurs assidus, que la paille de fer entassée en force dans la cartouche du DTMX a transformé le moteur d'icelle en lavement innommable ! Un cinquante japonais férocement bridé à 45 km/h par ce qui n'est pas encore la DRIRE (les mines, quoi) serait plus puissant que ce saucisson à roulettes : merci Maxou
Bref, si vous nous aviez vus patiner comme des Candeloro sous Temesta, vous eussiez ri de bon coeur : je n'ai jamais monté une côte aussi lentement de ma vie, comme dans un ralenti de cinéma ... comique !
Un peu plus loin, nous croisons un engin moderne à deux roues à la puissance animale démoniaque, un VTT, quoi, que nous saluons en le croisant au ralenti ...
... et encore un peu plus loin, nous coupons carrément notre moteur devant une apparition lumineuse, le rayon de soleil de notre journée.
Une magnifique cavalière nous croise avec le port altier d'une princesse. Seul un hochement furtif de sa bombe (son casque, quoi) nous indique qu'elle apprécie notre geste. Mais le regard ne nous est pas destiné, il est déjà loin devant, dans sa chevauchée fantastique ...
Bon, allez, on s'arrache et pour nous refroidir cette fois, nous tordons le caoutchouc et avalons les quelques kilomètres qui nous séparent du château de Biron, en Dordogne.
Nous voila arrivés à destination ! Ce château, je l'ai visité quelques années plus tôt grâce à une guide dont j'avais fait la connaissance ...
C'est elle la princesse !
Bon, Ok, elle n'avait pas vraiiiment le look d'une princesse classique, mais c'est pour l'histoire saugrenue suivante :
Cette gente dame cultivait son jardin avec des plantes, hum, qui avaient le pouvoir de détendre l'atmosphère, si vous voyez ce que je veux dire
Elle avait une femme de ménage, une brave paysanne du coin qui ne savait pas quoi faire pour lui rendre service.
Un soir, notre chère princesse rentra au bercail et la bonne vint à sa rencontre, fière de son travail. Il faut dire qu'elle avait mis le paquet et que la maison reluisait du sol au plafond.
Elle avait même eu le temps de s'occuper du jardin, c'est dire :
- " Je vous ai fauché les mauvaises herbes dans le jardin ... même les orties le long du mur."
Notre princesse indienne (elle devait venir tout droit de Katmandou) n'a rien mangé ce soir-là !
Je passe devant sur un filet de gaz, profitant de la souplesse légendaire du moteur de mon ch'tit quatre-coups alors que ce cher JJ patine dans la gadoue au rythme lent d'un paresseux sortant d'une sieste digestive.
Il faut bien vous avouer, chers lecteurs assidus, que la paille de fer entassée en force dans la cartouche du DTMX a transformé le moteur d'icelle en lavement innommable ! Un cinquante japonais férocement bridé à 45 km/h par ce qui n'est pas encore la DRIRE (les mines, quoi) serait plus puissant que ce saucisson à roulettes : merci Maxou
Bref, si vous nous aviez vus patiner comme des Candeloro sous Temesta, vous eussiez ri de bon coeur : je n'ai jamais monté une côte aussi lentement de ma vie, comme dans un ralenti de cinéma ... comique !
Un peu plus loin, nous croisons un engin moderne à deux roues à la puissance animale démoniaque, un VTT, quoi, que nous saluons en le croisant au ralenti ...
... et encore un peu plus loin, nous coupons carrément notre moteur devant une apparition lumineuse, le rayon de soleil de notre journée.
Une magnifique cavalière nous croise avec le port altier d'une princesse. Seul un hochement furtif de sa bombe (son casque, quoi) nous indique qu'elle apprécie notre geste. Mais le regard ne nous est pas destiné, il est déjà loin devant, dans sa chevauchée fantastique ...
Bon, allez, on s'arrache et pour nous refroidir cette fois, nous tordons le caoutchouc et avalons les quelques kilomètres qui nous séparent du château de Biron, en Dordogne.
Nous voila arrivés à destination ! Ce château, je l'ai visité quelques années plus tôt grâce à une guide dont j'avais fait la connaissance ...
C'est elle la princesse !
Bon, Ok, elle n'avait pas vraiiiment le look d'une princesse classique, mais c'est pour l'histoire saugrenue suivante :
Cette gente dame cultivait son jardin avec des plantes, hum, qui avaient le pouvoir de détendre l'atmosphère, si vous voyez ce que je veux dire
Elle avait une femme de ménage, une brave paysanne du coin qui ne savait pas quoi faire pour lui rendre service.
Un soir, notre chère princesse rentra au bercail et la bonne vint à sa rencontre, fière de son travail. Il faut dire qu'elle avait mis le paquet et que la maison reluisait du sol au plafond.
Elle avait même eu le temps de s'occuper du jardin, c'est dire :
- " Je vous ai fauché les mauvaises herbes dans le jardin ... même les orties le long du mur."
Notre princesse indienne (elle devait venir tout droit de Katmandou) n'a rien mangé ce soir-là !
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Bon, pas de réactions bilouts blasés par la life ... pas grave au vu du compteur de visites de ce sujet de plus en plus "hors sujet"
z'êtes une bande de coquinous qui viennent lire mes élucubrations comme des ados qui se cachent dans leur chambre pour feuilleter fiévreusement Playboy
Ok, c'est loin d'être de la grande littérature, hein mais c'est pas le but non plus. J'ai pas besoin de me la panouiller pour voir si je l'ai plus grosse que le voisin (j'veux parler de la tête, biiiiien sûûûr).
Enfant, j'étais un BD-vore et j'adorais Astérix, Tintin, Lucky Luke, Spirou, Gaston Lagaffe, etc ...
Pour moi, le trio magique de l'époque, c'était Goscini, Uderzo (pour les dessins, je tiens à le préciser) et Morris.
Pour le graphisme, en revanche, c'est Franquin qui l'emportait d'une courte tête : j'aurais tant aimé posséder ce coup de crayon magique
Mais le monde de la BD est impitoyable et j'ai des potes avec un talent fou qui n'ont jamais percé alors qu'ils me faisaient des crobars hallucinants ... sur commande siouplait !
Me concernant, bien que me situant dans la dernière catégorie de la division la plus inférieure, je m'amuse à essayer trèèès modestement, je l'avoue de réinventer un style BD dans la prose de mes histoires vécues ... ou pas (comme ils disent maintenant).
Notre forum adoré étant, il faut le reconnaître, relativement confidentiel (remarque, ça m'arrange parce-qu'il n'y a pas de risque de prise de melon et de tentative de putsch pour ramasser les miettes d'une gloire factice), je n'ai pas ou peu de retours, ce qui fait que je navigue à vue sans savoir vraiment si mes écrits sont réellement intéressants.
Bon, d'accord, c'est du brut de décoffrage, hein, sans une seule retouche car je joue au one shot pour éviter de vouloir fignoler, modifier, remplacer ... pour finalement ne pas oser publier. J'ai ainsi déchiré un nombre incalculable de manuscrits avant de prendre la décision kamikase de me lancer dans le vide en me servant du relatif (très relatif ) anonymat du Ouèbe.
Et puis, vous me supportez parce-que, même si j'admire les spécialistes de la mécanique, de la peinture, du tuning, etc ... je me ferais vite chi*r à ne parler que de réparations et de restaurations, hein, honnêtement.
D'ailleurs, ya un paquet de gus qui ont fait un tour sur ce site pour se renseigner, parfois dire deux mots de leur brêle et repartir comme ils étaient venus
On ne peut pas leur en tenir rigueur, hein, ils ont trouvé ce qu'ils étaient venus chercher, après tout ...
Moi, c'est ce schéma-là qui me guidait lors de l'été 2008. Je voulais reprendre la moto après un retour plus ou moins loupé dans le tir à l'arc et j'avais envie de refaire du TT en loisir.
Je cherchais sur le Net ... d'abord une Suzuki 175 PE (on est loin de nos Timonos ) et, devant les prix "prohibitifs" sur "Hibéï", j'ai pensé me rabattre sur un trail 250.
Courant juillet (2008), j'avais trouvé un super coup du côté de Toulouse, à moins de 100 bornes de chez moi, avec un lot de trois Yamaha 250 XT pour 600€.
Mais j'ai tergiversé trop longtemps, le temps de trouver les fonds (hééé oui, j'en fais partie moi z'aussi ) et un moyen de transport, le lot était parti.
Tout-à-coup, l'illumination ! Bon sûr, mais c'est bien sang ! Ma 125 XLS était immobilisée depuis 2002 bâchée dans la grange de mes parents.
Honnêtement, mon Timono à l'époque représentait un second (voire troisième) choix après un enduro ou un gromono trail
Mais j'ai redécouvert la brêle de mes vingt printemps et je me suis enthousiasmé à l'idée (mon cher Johnny, ça aussi, c'est fait) de la restaurer.
C'est en cherchant un renseignement sur ce satané stator que je suis tombé sur un forum spécifique et que j'y suis resté pour l'ambiance extraordinaire qui y régnait. Sinon, j'aurais pris mes renseignements, remonté ma brêle et quitté le Ouèbe ...
Ne pouvant pas y revenir (y a désormais un cerbère à l'entrée ), je me demande toujours si "les bonnes histoires de l'Onc' Marco" y sont encore dans la rubrique Bistrot ... ne serait-ce que pour vérifier si j'ai évolué dans ma technique BD, ou si c'est aussi primaire (mêm' pas phosphatant )
z'êtes une bande de coquinous qui viennent lire mes élucubrations comme des ados qui se cachent dans leur chambre pour feuilleter fiévreusement Playboy
Ok, c'est loin d'être de la grande littérature, hein mais c'est pas le but non plus. J'ai pas besoin de me la panouiller pour voir si je l'ai plus grosse que le voisin (j'veux parler de la tête, biiiiien sûûûr).
Enfant, j'étais un BD-vore et j'adorais Astérix, Tintin, Lucky Luke, Spirou, Gaston Lagaffe, etc ...
Pour moi, le trio magique de l'époque, c'était Goscini, Uderzo (pour les dessins, je tiens à le préciser) et Morris.
Pour le graphisme, en revanche, c'est Franquin qui l'emportait d'une courte tête : j'aurais tant aimé posséder ce coup de crayon magique
Mais le monde de la BD est impitoyable et j'ai des potes avec un talent fou qui n'ont jamais percé alors qu'ils me faisaient des crobars hallucinants ... sur commande siouplait !
Me concernant, bien que me situant dans la dernière catégorie de la division la plus inférieure, je m'amuse à essayer trèèès modestement, je l'avoue de réinventer un style BD dans la prose de mes histoires vécues ... ou pas (comme ils disent maintenant).
Notre forum adoré étant, il faut le reconnaître, relativement confidentiel (remarque, ça m'arrange parce-qu'il n'y a pas de risque de prise de melon et de tentative de putsch pour ramasser les miettes d'une gloire factice), je n'ai pas ou peu de retours, ce qui fait que je navigue à vue sans savoir vraiment si mes écrits sont réellement intéressants.
Bon, d'accord, c'est du brut de décoffrage, hein, sans une seule retouche car je joue au one shot pour éviter de vouloir fignoler, modifier, remplacer ... pour finalement ne pas oser publier. J'ai ainsi déchiré un nombre incalculable de manuscrits avant de prendre la décision kamikase de me lancer dans le vide en me servant du relatif (très relatif ) anonymat du Ouèbe.
Et puis, vous me supportez parce-que, même si j'admire les spécialistes de la mécanique, de la peinture, du tuning, etc ... je me ferais vite chi*r à ne parler que de réparations et de restaurations, hein, honnêtement.
D'ailleurs, ya un paquet de gus qui ont fait un tour sur ce site pour se renseigner, parfois dire deux mots de leur brêle et repartir comme ils étaient venus
On ne peut pas leur en tenir rigueur, hein, ils ont trouvé ce qu'ils étaient venus chercher, après tout ...
Moi, c'est ce schéma-là qui me guidait lors de l'été 2008. Je voulais reprendre la moto après un retour plus ou moins loupé dans le tir à l'arc et j'avais envie de refaire du TT en loisir.
Je cherchais sur le Net ... d'abord une Suzuki 175 PE (on est loin de nos Timonos ) et, devant les prix "prohibitifs" sur "Hibéï", j'ai pensé me rabattre sur un trail 250.
Courant juillet (2008), j'avais trouvé un super coup du côté de Toulouse, à moins de 100 bornes de chez moi, avec un lot de trois Yamaha 250 XT pour 600€.
Mais j'ai tergiversé trop longtemps, le temps de trouver les fonds (hééé oui, j'en fais partie moi z'aussi ) et un moyen de transport, le lot était parti.
Tout-à-coup, l'illumination ! Bon sûr, mais c'est bien sang ! Ma 125 XLS était immobilisée depuis 2002 bâchée dans la grange de mes parents.
Honnêtement, mon Timono à l'époque représentait un second (voire troisième) choix après un enduro ou un gromono trail
Mais j'ai redécouvert la brêle de mes vingt printemps et je me suis enthousiasmé à l'idée (mon cher Johnny, ça aussi, c'est fait) de la restaurer.
C'est en cherchant un renseignement sur ce satané stator que je suis tombé sur un forum spécifique et que j'y suis resté pour l'ambiance extraordinaire qui y régnait. Sinon, j'aurais pris mes renseignements, remonté ma brêle et quitté le Ouèbe ...
Ne pouvant pas y revenir (y a désormais un cerbère à l'entrée ), je me demande toujours si "les bonnes histoires de l'Onc' Marco" y sont encore dans la rubrique Bistrot ... ne serait-ce que pour vérifier si j'ai évolué dans ma technique BD, ou si c'est aussi primaire (mêm' pas phosphatant )
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Au fait ! C'est encore môa
Je parlais des bottes enduro Soubirac de mon pote JJ : ben j'en ai trouvé sur LBC en pointure 39 (j'fais mini du 42), alors j'ai enregistré la tof' pour vous les montrer :
Les siennes étaient encore plus anciennes avec des renforts plus conséquents, des fers devant les orteils et les protèges-tibias étaient verts.
Je kiffais grâââve ses bottes à la finition et la solidité au dessus de la moyenne à l'époque
Je parlais des bottes enduro Soubirac de mon pote JJ : ben j'en ai trouvé sur LBC en pointure 39 (j'fais mini du 42), alors j'ai enregistré la tof' pour vous les montrer :
Les siennes étaient encore plus anciennes avec des renforts plus conséquents, des fers devant les orteils et les protèges-tibias étaient verts.
Je kiffais grâââve ses bottes à la finition et la solidité au dessus de la moyenne à l'époque
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Rôoooooh ! C'est pas parce qu'on ne poste pas de réponse qu'on ne suis pas
Je pense qu'il va falloir que tu fasses un poste juste pour les histoires de l'Onc' Marco
Et j'ai rechercher sur l'ancien fofo pas retrouvé
Oublies pas de le(me) signaler si tu refais un poste pour tes narrations ! Bah! oui !J'veux pas louper ça
Je pense qu'il va falloir que tu fasses un poste juste pour les histoires de l'Onc' Marco
Et j'ai rechercher sur l'ancien fofo pas retrouvé
Oublies pas de le(me) signaler si tu refais un poste pour tes narrations ! Bah! oui !J'veux pas louper ça
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Non, cher ami timoniste et fidèle, je ne créerai pas de post dédié pour mes histoires aussi sautes que grenues car je me suis réuni et après un débat houleux, j'ai pris la décision commune et irrévocable de m'exiler dans ce sujet et de n'en point sortirspider a écrit:Oublies pas de le(me) signaler si tu refais un poste pour tes narrations ! Bah! oui !J'veux pas louper ça
Passeront ceux qui voudront et puis c'est marre
Oui, je fais ma crise d'ado boutonneux et je roumègue comme une vieille paysanne au coin de l'âtre
Mais puisque personne ne m'aime (ça c'est mon côté parano ), ben je m'enferme dans ma chambre pour bouder, na ... non : NA !
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
tu as bien vu la fréquentation de ce sujet .....Marco a écrit:....
j'ai pris la décision commune et irrévocable de m'exiler dans ce sujet et de n'en point sortir
Passeront ceux qui voudront et puis c'est marre
.....
Pis faut aussi tenir compte de la fréquentation de ce fofo ,pas très prolixe ce dernier temps
Mais bon ,je continue à y venir régulièrement pour te lire
Allez arrêtes de bouder
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Ben non, je boude mêm' pas c'est pour faire genre j'sais bien qu'après les fêtes, faut digérer pas mal de choses et qu'à part el Spider vif comme l'éclair, les autres timonistes sont en mode tafi*le
Bon, plus sérieusement, je vais tenter une descente en force dans mon abri n°1, histoire de voir si je peux faire péter cette énigmatique New-XR
On se tient au jus (enfin, avec mégaSpider, parce-que les autres j'veux pas dire mais ça pionce dur [mode provoc' à deux balles ]
Bon, plus sérieusement, je vais tenter une descente en force dans mon abri n°1, histoire de voir si je peux faire péter cette énigmatique New-XR
On se tient au jus (enfin, avec mégaSpider, parce-que les autres j'veux pas dire mais ça pionce dur [mode provoc' à deux balles ]
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
- " Bonjour M. le Comte ! "
- " Bonjour el Marco "
[ Ben ouais, je développe mon côté schyzo ]
- " Vous savez pas la meilleure ? " (là je parle au célèbre Comte Thierry d'Armagnac que certains bilouts ont bien connu avant qu'il soit démasqué et qu'il retourne dans les limbes)
- " Non, mon brave, je ne le connais point. "
- " Ben, j'ai trouvé un nouveau Timono pour barouder sur les chemins de notre doulce France et pour parcourir le vaste monde ! "
- " Diantre ! Que me dégoisez-vous là ? Auriez vous abusé de quelque boisson frelatée ?! "
- " Non, non, votre seigneurie, j'ai bien trouvé chaussure, pardon, botte à mon pied ! "
La preuve en images :
- " Bonjour el Marco "
[ Ben ouais, je développe mon côté schyzo ]
- " Vous savez pas la meilleure ? " (là je parle au célèbre Comte Thierry d'Armagnac que certains bilouts ont bien connu avant qu'il soit démasqué et qu'il retourne dans les limbes)
- " Non, mon brave, je ne le connais point. "
- " Ben, j'ai trouvé un nouveau Timono pour barouder sur les chemins de notre doulce France et pour parcourir le vaste monde ! "
- " Diantre ! Que me dégoisez-vous là ? Auriez vous abusé de quelque boisson frelatée ?! "
- " Non, non, votre seigneurie, j'ai bien trouvé chaussure, pardon, botte à mon pied ! "
La preuve en images :
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
M'étonne même pô ,c'est un Mosellan ,celui là confond même trail et custom
Par contre il a pas intérêt à mettre ses binouzes du coté droit (c'est pô bon quand c'est chaud) mais plutôt des petits pâté lorrain....
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Salut mon Marco et bonne année 2012!!!
vicente- Nombre de messages : 528
Age : 53
Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Bonne année à toi aussi ainsi qu'à toute ta petite famille cher Vicente
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Marco a écrit:Ben non, je boude mêm' pas c'est pour faire genre j'sais bien qu'après les fêtes, faut digérer pas mal de choses et qu'à part el Spider vif comme l'éclair, les autres timonistes sont en mode tafi*le
Bon, plus sérieusement, je vais tenter une descente en force dans mon abri n°1, histoire de voir si je peux faire péter cette énigmatique New-XR
On se tient au jus (enfin, avec mégaSpider, parce-que les autres j'veux pas dire mais ça pionce dur [mode provoc' à deux balles ]
1/ je suis pas une tafiole
2/ tu tient au jus tous le monde! (je lis toujours, depuis n'importe quel appareil (téléphone, tablette, Pc...) mais ne répond pas tout le temps par manque de temps (je suis encore lycéen...j'ai des devoirs à faire )
3/ il est ce nouveau post NewXR? Hum?
4/ ta provoque à 2€ à marchée...
Lag404
lag404- Nombre de messages : 226
Age : 30
Localisation : MARCK (Calais) 62730
Date d'inscription : 13/11/2011
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
+1 avec lag404, cher Marco!
En ce qui me concerne, je te lis même sur un vieux portable pentium mmx cadencé à 166mhz avec 2Go de DD avec windaube 98se connecté en wifi(pas de prise lan dessus) quand madame monopolise le pc moderne!
On peux pas se passer de ce que tu écris.
En ce qui me concerne, je te lis même sur un vieux portable pentium mmx cadencé à 166mhz avec 2Go de DD avec windaube 98se connecté en wifi(pas de prise lan dessus) quand madame monopolise le pc moderne!
On peux pas se passer de ce que tu écris.
vicente- Nombre de messages : 528
Age : 53
Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
J'aime bien provoquer mon monde de temps en temps mes bilouts ... sauf que c'est acide mais pas méchant !
Faut pas prendre ce que j'écris au pied de la lettre, hein ! Ch'uis moi, en mode "parano" pour à peu près un à deux mois (j'aime pas janvier, j'sais pas pourquoi screugneugneu !).
Ici, je vise des bilouts qui ne passent plus sur ce fofo et ça me broute ... mais je sais que ce faisant je suis forcément injuste car il est quasi-certain qu'ils ont de très bonnes raisons de ne plus se connecter.
Moi-même, je suis resté de longs mois sans passer sur le fofo avant de revenir en force vous casser les c... pieds
Pour New-XR, j'attends que le temps soit plus clément (soit deux ou trois mois ) car je n'ai plus envie de mécaniquer dans le froid (en fait, la tafi*le dans l'histoire, c'est bien moi ... et je l'assume).
En attendant, j'ai recommencé à rouler ... mais à vélo !
Bon, mais là où j'ai avancé, paradoxalement, c'est virtuellement sur la restauration de ma Belle XLS (héééé ouiii ) car son futur look est clair dans ma tête, à l'exception notable du garde-boue avant que je ne parviens pas à déterminer : ras-de-roue ou cross ?
Mais pour les couleurs, je pense ne pas être loin d'un bel équilibre esthétique
Alors Ok, il va peut-être falloir que je fasse une pause dans ma participation à ce fofo comme je l'ai fait depuis maintenant un bon trimestre sur le forum de vieux vélos.
Je reviendrai avec des nouvelles concernant par exemple le rangement de mon abri n°1 qui est devenu de nouveau un capharnaüm
avec des pièces de Timonos dans tous les sens ... ah oui : et de vélos aussi
@ peluche mes bilouts
PS : remarquez, ch'uis foutu de repasser demain parce-que j'ai une histoire qui me trotte dans la tête => Ok, je ...
Faut pas prendre ce que j'écris au pied de la lettre, hein ! Ch'uis moi, en mode "parano" pour à peu près un à deux mois (j'aime pas janvier, j'sais pas pourquoi screugneugneu !).
Ici, je vise des bilouts qui ne passent plus sur ce fofo et ça me broute ... mais je sais que ce faisant je suis forcément injuste car il est quasi-certain qu'ils ont de très bonnes raisons de ne plus se connecter.
Moi-même, je suis resté de longs mois sans passer sur le fofo avant de revenir en force vous casser les c... pieds
Pour New-XR, j'attends que le temps soit plus clément (soit deux ou trois mois ) car je n'ai plus envie de mécaniquer dans le froid (en fait, la tafi*le dans l'histoire, c'est bien moi ... et je l'assume).
En attendant, j'ai recommencé à rouler ... mais à vélo !
Bon, mais là où j'ai avancé, paradoxalement, c'est virtuellement sur la restauration de ma Belle XLS (héééé ouiii ) car son futur look est clair dans ma tête, à l'exception notable du garde-boue avant que je ne parviens pas à déterminer : ras-de-roue ou cross ?
Mais pour les couleurs, je pense ne pas être loin d'un bel équilibre esthétique
Alors Ok, il va peut-être falloir que je fasse une pause dans ma participation à ce fofo comme je l'ai fait depuis maintenant un bon trimestre sur le forum de vieux vélos.
Je reviendrai avec des nouvelles concernant par exemple le rangement de mon abri n°1 qui est devenu de nouveau un capharnaüm
avec des pièces de Timonos dans tous les sens ... ah oui : et de vélos aussi
@ peluche mes bilouts
PS : remarquez, ch'uis foutu de repasser demain parce-que j'ai une histoire qui me trotte dans la tête => Ok, je ...
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
salut mon Marco, et oui on ai là ,tiens j'ai retrouvé dans une boite à chaussure de maman une photo de la belle qui a finie sa vie sur les flans d'une 304 break ( voir post de l'année passée), je n'en retrouve pas d'autre , mais elle me manque quand même
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la photo n'est pas nette elle est de 1978, j'en ai une aussi de ma soeur qui déjà en 1957 aimais la moto mais un autre genre une pigeot 175cc , je m'en r'appel très bien elle a finie sa vie dans le jardin de mon oncle qui n'avait pas le permis à l'époque pour la conduire ;
[img][/img]
une bien belle machine, peut être qu'un jour je me laisserais aller sur ce genre de machine, qui n'est pas pour les tafi.....l tu m'auras compris
salutation sergio
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la photo n'est pas nette elle est de 1978, j'en ai une aussi de ma soeur qui déjà en 1957 aimais la moto mais un autre genre une pigeot 175cc , je m'en r'appel très bien elle a finie sa vie dans le jardin de mon oncle qui n'avait pas le permis à l'époque pour la conduire ;
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une bien belle machine, peut être qu'un jour je me laisserais aller sur ce genre de machine, qui n'est pas pour les tafi.....l tu m'auras compris
salutation sergio
_________________
sergio CBS44- Nombre de messages : 9806
Age : 64
Localisation : sous le goémon
Date d'inscription : 28/11/2010
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Tu veux dire "pour les tafi*les qui écrivent beaucoup mais ne restaurent toujours pas" ? C'est de bonne guerre mon bilout
Tiens ! Une historiette rapide :
J'étais étudiant bordelais à l'époque et j'allais voir mon père à Casteljaloux (47). Ce dernier avait un "beau-père"de circonstance, un ancien charron à la retraite qui avait dans son atelier une brêle sublime sous une bâche huilée.
Il la sortait de sa léthargie tous les mois en la démarrant et la faisant chauffer : quel doux bruit de mono quatre-temps
C'était une Motobécane 175 cc, l'équivalent de la célèbre D45 et elle était dans un état de fraîcheur remarquable. Fallait voir la peinture d'origine
Voyant que j'étais fort ému devant cette superbe machine, précurseur de nos Timonos, le papy ne demanda inocemment si elle me plaisait
Autant demander à un aveugle s'il voudrait voir !!!
Alors, il eut ce mot qui me fusilla : "Je te la vends mille francs" soit 150€ : un collector état neuf
Marché conclu !
Ben non mon père qui d'habitude n'entend et ne voit rien, cette fois-là (funeste) je ne sais trop comment, entendit à vingt mètres de distance notre conversation et m'interdit formellement d'acheter cette sublime brêle. Il finançait mes études, alors je n'avais pas voix au chapitre
Le plus rigolo, c'est que quelques années plus tard, c'est un voisin à lui qui l'a acquise pour une bouchée de pain, puis qui l'a mise en vente vingt ans plus tard 2.500€ (je ne sais pas s'il a trouvé un acquéreur à ce prix pour le moins prohibitif )
Mais c'est surtout l'état "collection", d'origine, sans retouche qui était très émouvant.
Moi aussi mon Sergio, j'aimerais toujours en posséder une, 125 ou 175, Peugeot, Terrot ou Motobécane (enfin, une Française des 50's)
Tiens ! Une historiette rapide :
J'étais étudiant bordelais à l'époque et j'allais voir mon père à Casteljaloux (47). Ce dernier avait un "beau-père"de circonstance, un ancien charron à la retraite qui avait dans son atelier une brêle sublime sous une bâche huilée.
Il la sortait de sa léthargie tous les mois en la démarrant et la faisant chauffer : quel doux bruit de mono quatre-temps
C'était une Motobécane 175 cc, l'équivalent de la célèbre D45 et elle était dans un état de fraîcheur remarquable. Fallait voir la peinture d'origine
Voyant que j'étais fort ému devant cette superbe machine, précurseur de nos Timonos, le papy ne demanda inocemment si elle me plaisait
Autant demander à un aveugle s'il voudrait voir !!!
Alors, il eut ce mot qui me fusilla : "Je te la vends mille francs" soit 150€ : un collector état neuf
Marché conclu !
Ben non mon père qui d'habitude n'entend et ne voit rien, cette fois-là (funeste) je ne sais trop comment, entendit à vingt mètres de distance notre conversation et m'interdit formellement d'acheter cette sublime brêle. Il finançait mes études, alors je n'avais pas voix au chapitre
Le plus rigolo, c'est que quelques années plus tard, c'est un voisin à lui qui l'a acquise pour une bouchée de pain, puis qui l'a mise en vente vingt ans plus tard 2.500€ (je ne sais pas s'il a trouvé un acquéreur à ce prix pour le moins prohibitif )
Mais c'est surtout l'état "collection", d'origine, sans retouche qui était très émouvant.
Moi aussi mon Sergio, j'aimerais toujours en posséder une, 125 ou 175, Peugeot, Terrot ou Motobécane (enfin, une Française des 50's)
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Tiens, je crois que c'est celle-là
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Bon, je crois bien que c'est cette brêle que j'ai loupée :
Cela-dit, maintenant, je suis attiré par les "entretubes" avec des pièces en cuivre dedans, magnifiques
Cela-dit, maintenant, je suis attiré par les "entretubes" avec des pièces en cuivre dedans, magnifiques
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
J'aime beaucoup ces motos d'après-guerre sans chrome tape à l’œil mais avec une peinture désuète des plus exquises .
vicente- Nombre de messages : 528
Age : 53
Date d'inscription : 16/01/2007
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Moi z'aussi mon bilout ... mais avant j'ai deux, non Berthe ! Trois Timonos à remonter, quelques vélos également.
Enfin, pas aujourd'hui parce-que là, je dois partir taffer
Bon dimanche à tous
Enfin, pas aujourd'hui parce-que là, je dois partir taffer
Bon dimanche à tous
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
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