Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Alors là, tu me fais mal au mon Humahumaniste31 a écrit:Marco, tu veux pas d'XL ? JE TE PARLES PU ! NA !
Tu sais bien que j'adore le modèle XL, mais aussi le SL ... et, bien entendu le TL.
J'ai écrit que je ne voulais pas d'XL ... je devais pas être bien
D'ailleurs, dans mes écrits protéiformes et contradictoires (c'est ça qui me fait mourir de rire lorsque je me relis), il doit se nicher un ramassis de c*nneries plus grosses que moi (c'est dire )
Tiens ! T'en veux une que je n'ai pas sortie ?
J'ai trouvé sur LBC Aquitaine une annonce XL à 500€ il y a quelques semaines (mois ?) et elle a traîné, traîné, traîn....
Le gazier a donc décidé de la descendre à 300€ et là, c'est pas la même limonade
Alors je me suis pris à rêver de lui échanger une XLS contre sa XL ou de vendre la XLS et d'acheter cette XL
Mais bon, mon intention est restée lettre morte parce-que mes brêles sont démontées dans mes abris avec du -8, -9°C
... donc, comme le reste, j'attendrai les températures clémentes du printemps pour me dégeler
Et puis parle-moi plus souvent mon bilout car vous me manquez cousin Rv et toi : vous ne viendriez pas du côté de Blaye chez notre RV80GS vous faire des TRD comme au good old time ?
____________________________________________________________________________________________________________________
Comme je n'ai aucune parole (du moins dans ce qui n'implique pas autrui ), après mûre réflexion, je me demande si mon idée de traïal n'est pas hasardeuse et surtout si elle va me plaire tant que ça.
J'ai consulté le Ouèbe un bon moment hier matin et de XLS trialisée, je n'ai trouvé que deux ou trois personnes qui ont tenté le coup
Ya Fred dont j'ai déjà montré les magnifiques réalisations sur base XL et TL et ya Trialxls. Mais les deux sont des épées en mécanique et ils transforment un innocent Timono en bête de guerre en trois coups de chalumeau !!!
Or, je n'ai pas les compétences de ces deux orfèvres et je n'ai pas la prétention de l'acquérir
Donc, en termes de Timono adapté pour le trial, ya pas trente-six mille soluces
=> la Honda 125 TL : complètement adaptée mais hors de prix
=> la Honda 125 SL : peu adaptée mais mieux qu'une XL et hors concours face à mon XLS ... mais hors de prix
CHI* ! C*N ! F*UTRE ! M*RDE !!!
Bon, j'en veux un Timonotrial mais je vais devoir attendre encore un pneu ... je crois
... du coup, je me demande si je ne vais pas transformer XLS78 en ... en ... XR !!!!
Heu ok, je
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
T'ain mes bilouts ! J'te fais de la provoc' à deux balles et personne ne répond
Z'êtes gelés de la calbombe ou bien
Ok, vous l'aurez voulu je prépare une sacrée surprise à ce fofo endormi comme un paresseux sur sa branche, non mais !
Z'allez voir comment je traite le problème du timonotrial ... mais pas tout de suite à cause de la température hivernale et de la mise au point de ma New-XR (faut bien que j'aie au moins un Timono qui tourne ).
Mais en mêm' temps, comme vous êtes singulièrement à l'arrêt (si, si, Môôôssieur : à l'arrêt total ), j'ai le temps de me manucurer avant d'attaquer les travaux de printemps.
Bon, comme moi z'aussi je suis à l'arrêt ... ben je vais me coucher, c'te blague !!!
Z'êtes gelés de la calbombe ou bien
Ok, vous l'aurez voulu je prépare une sacrée surprise à ce fofo endormi comme un paresseux sur sa branche, non mais !
Z'allez voir comment je traite le problème du timonotrial ... mais pas tout de suite à cause de la température hivernale et de la mise au point de ma New-XR (faut bien que j'aie au moins un Timono qui tourne ).
Mais en mêm' temps, comme vous êtes singulièrement à l'arrêt (si, si, Môôôssieur : à l'arrêt total ), j'ai le temps de me manucurer avant d'attaquer les travaux de printemps.
Bon, comme moi z'aussi je suis à l'arrêt ... ben je vais me coucher, c'te blague !!!
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Salut Marco !
Content de voir que tu as reprisla plume, euh, le clavier ! Sinon, ben , nous devons être comme le thermomètre, en baisse de forme...
Pour la réponse à la provoc, ben, j'ai été doublé pour la réponse, c'est dire...
A+,
Eldorado hibernatus (- 17 ° dans mon coin).
Content de voir que tu as repris
Pour la réponse à la provoc, ben, j'ai été doublé pour la réponse, c'est dire...
A+,
Eldorado hibernatus (- 17 ° dans mon coin).
eldorado- Nombre de messages : 14515
Date d'inscription : 03/04/2010
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
UN, pour sur on est gelés!!!!!!!
Deux, pour l'invitation sortie chez RV80GS, je l'aurais bien faite
mais pas de timono trial pour l'instant
et je suis déjà pris pour ce weekend à rallonge
aux Gault Saint Denis près de Chartres
pour une sortie foot de vieux avec mon club
avec regrets ne comptez pas sur moi
MAIS JE SUIS LA MON BILOUT
PRÊT A TE LIRE
et ici ça se réchauffe un peu -3 toute la journée
et en début de soirée on est descendu à -5
et là il fait -4, donc la nuit devrait bien se passer
bon allez au
Deux, pour l'invitation sortie chez RV80GS, je l'aurais bien faite
mais pas de timono trial pour l'instant
et je suis déjà pris pour ce weekend à rallonge
aux Gault Saint Denis près de Chartres
pour une sortie foot de vieux avec mon club
avec regrets ne comptez pas sur moi
MAIS JE SUIS LA MON BILOUT
PRÊT A TE LIRE
et ici ça se réchauffe un peu -3 toute la journée
et en début de soirée on est descendu à -5
et là il fait -4, donc la nuit devrait bien se passer
bon allez au
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sergio CBS44- Nombre de messages : 9806
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Localisation : sous le goémon
Date d'inscription : 28/11/2010
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Prêts à me lire mes bilouts
=> je devrais déjà être dans les bras de morphée car j'enclenche tôt au taf' demain matin avec gros programme (pâââs biien ça Marco )
...mais je ne résiste pas au plaisir de vous montrer une ou deux tofs de "du côté de chez mes parents", dans les côteaux entre Agenais et Villeneuvois (je vis du côté d'Agen et je travaille à Villeneuve sur Lot) :
La maison de campagne qu'on a retapée de longues années durant :
Oops on la devine à peine, nichée dans sa vallée ...
ça caillait et j'ai fait disons pas loin de deux bornes à pied dans la neige pour y accéder : j'ai eu droit au chocolat chaud
Du bon chemin de campagne enneigé "qu'on se croyait à la montagne" !
Là, j'arrivais en douce : quelle bonne surprise la visite du fiston Marco ! J'en profite à fond (sans vous dire pourquoi mais je savoure ces moments) :
Et puis le retour entre chien et loup sur le plateau et sous la lumière blafarde d'une lune jaune : un instant magique
Tout ça en rentrant du boulot entre 17h et 18h30 : elle pas belle (parfois) la vie ?
PS : c'est dans ces coins que ma Belle XLS a rugi quelques années avant que ce c*nnard de stator grille bêtement
=> je devrais déjà être dans les bras de morphée car j'enclenche tôt au taf' demain matin avec gros programme (pâââs biien ça Marco )
...mais je ne résiste pas au plaisir de vous montrer une ou deux tofs de "du côté de chez mes parents", dans les côteaux entre Agenais et Villeneuvois (je vis du côté d'Agen et je travaille à Villeneuve sur Lot) :
La maison de campagne qu'on a retapée de longues années durant :
Oops on la devine à peine, nichée dans sa vallée ...
ça caillait et j'ai fait disons pas loin de deux bornes à pied dans la neige pour y accéder : j'ai eu droit au chocolat chaud
Du bon chemin de campagne enneigé "qu'on se croyait à la montagne" !
Là, j'arrivais en douce : quelle bonne surprise la visite du fiston Marco ! J'en profite à fond (sans vous dire pourquoi mais je savoure ces moments) :
Et puis le retour entre chien et loup sur le plateau et sous la lumière blafarde d'une lune jaune : un instant magique
Tout ça en rentrant du boulot entre 17h et 18h30 : elle pas belle (parfois) la vie ?
PS : c'est dans ces coins que ma Belle XLS a rugi quelques années avant que ce c*nnard de stator grille bêtement
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Beaux paysages, belle tranche de vie. Merci pour le partage.
pit900z- Admin
- Nombre de messages : 1202
Date d'inscription : 17/10/2007
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Salut Marco.Merci pour tes photos.Ta maison de famille,me rapelle beaucoup celle de mes parents,près de Jegun (32).
rick80- Nombre de messages : 198
Date d'inscription : 05/11/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
C'est vrai qu'elles sont belles ces photos .....
Chez nous il n'y a pratiquement plus de traces de neige
Chez nous il n'y a pratiquement plus de traces de neige
- Spoiler:
- ce qui ne m'a pas empêcher de me vautrer lamentablement ce matin au taff résultat fracture du nez et 10jours d' AT
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Aaahhh ! On se réveille un pneu band of marmobilouts Maiiiis je constate avec amertume que certains vieux timonistes semblent ne pas supporter le froid car ils ne viennent plus sur le fofo (m'en fous, j'ai les noms).
Bon, comme les projets ici ont semble-t-il coulé à pic, je commence à chopper les glandes malgré la température sibérienne : gros coup de chaud sur le Lot-et-Garonne !!!
Well ! J'attends le printemps avec impatience pour retrouver le goût de la rando TT bien improbable comme au good old time
J'espère vraiment qu'il n'y a pas de c*uille dans le potage concernant le moteur
Et là, mes bilouts, je vais vous faire baver comme un élevage de gastéropodes devant un champ de laitues fraîches avec mes balades champêtres dans les serres de l'Agenais, le causse noir, la campagne gersoise (du côté de Lacaroumieux ) ou la forêt des Landes
Tiens ! Je vais vous montrer par où je passais avec ma Belle XLS ou ma Yam 175 IT en ... 1990 !!! (T'ain, ça commence à dater BERTHE !)
Vous apercevez les deux cèdres qui encadrent la statue de la Vierge sur la crête : C'est le plateau de la Rocal à Bon-Encontre.
Pour y accéder, il faut emprunter le chemin de croix qui monte jusqu'au pied de la falaise de calcaire puis la fend en diagonale pour se hisser jusqu'au plateau.
Ben le Marco, il est passé par là avec ses brêles mais attention, hein, c'était en hiver avec un chemin bien gadouilleux, bien glissouilleux, inutilisable par un pédestre.
Quoi "et toi alors ?" ? Ben moi, j'avais de beaux restes de mes arsouilles quelques dix ans plus tôt avec mes potes trailistes aussi fondus que moi (vingt ans, vous pensez bien ). Et puis un Timono bien mené, avec respect pour la poignée de gaz, ça colle au sol comme une sangsue .
Bon, ok, j'admets que j'ai quand même serré les fesses car le chemin était singulièrement étroit et ça glissait du luc un pneu trop à mon goût ... mais j'adorais ça quand même
Finalement, je pense que je ne me suis jamais aventuré sur ce sentier de chèvre avec l'IT, trop pointue avec son pot cross ... et beauuucoup trop bruyante
Bon, comme les projets ici ont semble-t-il coulé à pic, je commence à chopper les glandes malgré la température sibérienne : gros coup de chaud sur le Lot-et-Garonne !!!
Well ! J'attends le printemps avec impatience pour retrouver le goût de la rando TT bien improbable comme au good old time
J'espère vraiment qu'il n'y a pas de c*uille dans le potage concernant le moteur
Et là, mes bilouts, je vais vous faire baver comme un élevage de gastéropodes devant un champ de laitues fraîches avec mes balades champêtres dans les serres de l'Agenais, le causse noir, la campagne gersoise (du côté de Lacaroumieux ) ou la forêt des Landes
Tiens ! Je vais vous montrer par où je passais avec ma Belle XLS ou ma Yam 175 IT en ... 1990 !!! (T'ain, ça commence à dater BERTHE !)
Vous apercevez les deux cèdres qui encadrent la statue de la Vierge sur la crête : C'est le plateau de la Rocal à Bon-Encontre.
Pour y accéder, il faut emprunter le chemin de croix qui monte jusqu'au pied de la falaise de calcaire puis la fend en diagonale pour se hisser jusqu'au plateau.
Ben le Marco, il est passé par là avec ses brêles mais attention, hein, c'était en hiver avec un chemin bien gadouilleux, bien glissouilleux, inutilisable par un pédestre.
Quoi "et toi alors ?" ? Ben moi, j'avais de beaux restes de mes arsouilles quelques dix ans plus tôt avec mes potes trailistes aussi fondus que moi (vingt ans, vous pensez bien ). Et puis un Timono bien mené, avec respect pour la poignée de gaz, ça colle au sol comme une sangsue .
Bon, ok, j'admets que j'ai quand même serré les fesses car le chemin était singulièrement étroit et ça glissait du luc un pneu trop à mon goût ... mais j'adorais ça quand même
Finalement, je pense que je ne me suis jamais aventuré sur ce sentier de chèvre avec l'IT, trop pointue avec son pot cross ... et beauuucoup trop bruyante
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Tu vois mon marco
avec un XLS on fait n’importe quoi
vu sur LBC
http://www.leboncoin.fr/motos/131527857.htm?ca=18_s
un certain style, HELLS ANGELS
tu pourrais faire ça avec tes timonos , l'appel des ange à la marco
avec un XLS on fait n’importe quoi
vu sur LBC
http://www.leboncoin.fr/motos/131527857.htm?ca=18_s
un certain style, HELLS ANGELS
tu pourrais faire ça avec tes timonos , l'appel des ange à la marco
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sergio CBS44- Nombre de messages : 9806
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Date d'inscription : 28/11/2010
Souvenirs d'arsouille ^^
Tiens ! De parler d'arsouille m'en rappelle une irracontable avec mes potes fondus du caberlot.
Comme je le disais plus haut, nous avions vingt ans et encore toutes nos dents ... heu, ah non, sauf un qui s'était mangé la barre de renfort de son guidon
Vous voyez la Team Débilos riders ? Ben, c'était ça mais à la puissance dix dans la démesure de la c*nnerie dans toute sa splendeur éternelle !
Les Débilos sont organisés, EUX !
Nous à l'époque, c'était l'armée espagnole en déroute, du grand n'importe nawak qui aurait pu mal finir un nombre incalculable de fois. Mais nous étions dans la main de Dieu, faut croire
Bref, je viens de me souvenir d'une journée TT de folie sur un circuit sauvage dans les coteaux au dessus de Dausse (Lot-et-Garonne).
Bon, je vous la raconterai uniquement si vous êtes encore intéressés par mes histoires à dormir debout (mais qui sont souvent réelles à 90%)
PS : je regarde ça en attendant votre réponse mon cher Sergio (et je te dis quoi)
Comme je le disais plus haut, nous avions vingt ans et encore toutes nos dents ... heu, ah non, sauf un qui s'était mangé la barre de renfort de son guidon
Vous voyez la Team Débilos riders ? Ben, c'était ça mais à la puissance dix dans la démesure de la c*nnerie dans toute sa splendeur éternelle !
Les Débilos sont organisés, EUX !
Nous à l'époque, c'était l'armée espagnole en déroute, du grand n'importe nawak qui aurait pu mal finir un nombre incalculable de fois. Mais nous étions dans la main de Dieu, faut croire
Bref, je viens de me souvenir d'une journée TT de folie sur un circuit sauvage dans les coteaux au dessus de Dausse (Lot-et-Garonne).
Bon, je vous la raconterai uniquement si vous êtes encore intéressés par mes histoires à dormir debout (mais qui sont souvent réelles à 90%)
PS : je regarde ça en attendant votre réponse mon cher Sergio (et je te dis quoi)
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Ah oui ! Le chopper XLS sur LBC ça fait un moment qu'il y traîne cet improbable Timono (si on peut encore l'appeler comme ça ).
Si un vrai Hell's Angel tombe dessus : IL LE BRÛLE !!!
Si un vrai Hell's Angel tombe dessus : IL LE BRÛLE !!!
Marco- Nombre de messages : 4432
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Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
:affraid:L'est toujours pas vendu le ..."machin" d'inspiration chopper ,ça doit faire plus d'un an qu'il est sur LBC
S'il notait "pour pièces" ,il aurait peut être une chance de la refourguer
Marco, tu sais très bien qu'on est toujours partant pour une nouvelle narration d'une de tes aventure
Pis ça me passera le temps .....par contre je te préviens ça me fait mal quand je rigole
S'il notait "pour pièces" ,il aurait peut être une chance de la refourguer
Marco, tu sais très bien qu'on est toujours partant pour une nouvelle narration d'une de tes aventure
Pis ça me passera le temps .....par contre je te préviens ça me fait mal quand je rigole
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Bon, mon bilout, c'est pas pour dire mais je suis légèrement cramé ce soir car ... grosse journasse ... mais content.
En tant qu'élève, j'ai dû passer six "mises en situation professionnelle" (jusqu'en 2006) mais je n'en avais pas encore fait passer.
Hé ben, c'est désormais chose faite !
Bon, aucun rapport avec la choucroute mais ça fait du bien de le dire
Bref, j'ai plus assez de carburant pour raconter une histoire jusqu'à "pas d'heure"
Donc (mais où est passé Ornicar ? C't'enflure !), je plante, non, pas la tente, mais le décor, en attendant d'attaquer par la pente escarpée de la narration en fusion.
On est au tout début des eighties (ouaip mon gars, les années 80. Meuh nooon, sot, pas 1880 ) et dans le fin fond du trou du luc du sud-ouest profond dans sa campagne reculée, y avait une bande de djeuns complètement dégénérés qui tournaient au supercarburant, ce qui avait fini de griller les derniers neurones du haut.
C'est bien simple : il ne leur restait en tout et pour tout que celui du bas. Mais attention, hein, pas dans le bâton de Maréchal, non non !
Juste dans les deux orphelines entretenues par un ersatz de testostérone qui t'obligeait à commettre l'irréparable plusieurs fois par jour ...
Bon, y avait le Miguel, le plus vieux de la bande 22 balais au garrot qui traînait par terre soit dit en passant. L'était haut comme trois mollards à plat ventre le pôv' Miguel mais taillé comme un hercule, un vrai petit taureau furieux, une boule de nerf.
Et Juan alors ? Un profil d'aigle avec un pif que Cyrano lui-même n'aurait pas renié, à peine plus grand, non pardon, moins petit que son alter ego avec un noyau en plus qui faisait sa fierté.
Les deux n'arrêtaient pas de se chauffer à tous bouts de champ sur tout et n'importe quoi ... les filles par exemple. Et quoi ? L'eau de feu ?!
Heuuuu oui ... auuussi.
Mais oui bien sûr, les brêles éviiiiiidemment, quelle question !
Y avait l'EJP, pardon, le Jipé, une grande ficelle, longue comme un jour sans pain et taillé comme un cep de vigne. Ligneux, nerveux, exploseux (enfin, quand je dis exploseux, c'est une image, hein ). Le genre de gus que si tu le branches, t'as intérêt d'assurer derrière, hein, sinon tu te retrouves en calbart direct, l'équivalent du goudron et des plumes du far west.
Quoi que, en y réfléchissant un pneu, on y était dans le sud-ouest lointain ... mais moi, c'que j'en dis
Le Jipé, en y repensant, il était bien plus vieux que le Miguel, hoooo oui, bien plus vieux ... vingt trois ans, sûr !
Et c'était le mec qui te maniait un 490 YZ comme mêm' pas toi ton Timono, c'est dire un crossman qui avait pas de famille.
Si si ! Réel ! Il roulait comme un pôv' gars qui s'aime pas, mais alors pas du tout, ça non non
Et que dire du Javier, hein ? Ben rien. Ou plutôt si. T'imagines un jeune trotskyste avec sa chapka sur la tronche, le genre qui va finir instit' en attendant le grand soir (qui ne viendra jamais, par définition ...). Un esthète de la poignée de gaz, un géomètre du circuit, un calculateur de la trajectoire tendue ... mais un susceptible capable de visser "à la toque" et de te passer avec dix bornes de mieux, là où t'étais déjà limite dans ta distance de freinage. ça finissait invariablement dans les ronces et c'était vraiment rigolo, mais après qu'on se soit assurés qu'il était encore en vie, hein
Mais y avait qui d'autre ? Ah oui, bien sûr, le Sergio !!! [ petit aparté : rien à voir avec notre Sergio de cet inestimable fofo, patrimoine intemporel de la sauvegarde de l'esprit du Timono transcendental ... mais ça aurait pu, je parie]
Ce Sergio-là était monté comme une ablette surmontée par un visage d'ange mais fallait surtout pas s'y fier. Le fumier d'lapin était vicieux comme une vieille maquerelle et il te faisait des coups en douce juste pour le plaisir de toujours gagner.
C'était le spécialiste hors catégorie de la fermeture en loucedé de ton robinet des sens, pardon, d'essence, le tout sans que tu t'en aperçoive.
Un escroc, un vrai ... qui pourtant n'avait pas besoin de ça car il avait un pilotage d'une efficacité diabolique. C'est bien simple, ce que toi tu mettais un an à acquérir en suant sang et eau, lui te faisais ça naturellement à la fin de la première journée.
C'était le seul de la bande à mettre son XR en wheeling d'une main tout en tirant nonchalamment sur sa taf' de l'autre : écoeurant de facilité, j'vous dis.
Mais c'est pas tout, y avait aussi le Vicenté, une sorte de bucheron barbu comme un canadien avec des bras comme mes cuisses qui te maniait sa DTMX (le traître !!!) comme le Jipé son 490 YZ ... avec quand même une pincée de canassons en moins dans le caoutchouc !
Et au milieu de cette bande de furieux, ben y avait vôt' Marco, tout frétillant, tout neuf avec son permis A3, le gros, le toutes cylindrées, le seigneur des permis, le sésame pour les missiles ... mais il exerçait ses talents naissants sur sa Belle XLS chaussée de Michelin T61 gonflés à 1 bar comme préconisé dans sa bible, j'ai nommé Moto coincoin qu'il lisait religieusement de la première à la dernière ligne, pub comprise.
Bon, après quatre ans à terroriser l'Agenais au guidon de son satellite gorgé de chevaux, enfin je veux parler de son 103 Peug' préparé à la "one again", il en avait gardé un sens aigu de l'attaque qui l'avait fait surnommer le V2 par son moniteur de "moto-école".
C'est bien simple, il était frustré s'il ne s'était pas mis en dérive des deux roues au freinage du plateau rapide : ahhh elle faisait pas la fière la Yam 650 XJ entre ses pattes .
Brèfle, trève de plaisanteries, cette bande sentait l'huile brûlée et la poudre à canon, quand ce n'était pas la nitroglycérine
Et alors une bande c*ns ensemble, là, fallait pas s'attendre à de l'intello dans les rapports humains on retournait illico à l'âge des cavernes, les peaux de bêtes avantageusement remplacées par un jean's constellé de cambouis.
Mais la tronche de l'arsouilleur se transformait en face de néanderthal dans un mimétisme hallucinant
J'oubliais de vous dire que le Philibert, cousin du Marco, venait se frotter à ses aînés, malgré une absence de permis toutes catégories confondues, mais une générosité dans l'art subtil de l'enroulage de câble qui forçait l'admiration des brêlonistes (comme d'autres sont des virtuoses du violon !).
Bon, vous avez fait connaissance avec les oubliés du Seigneur dans la distribution de l'intelligence, il ne reste plus qu'à faire un tour de circuit pour vous situer l'unité de lieu.
To be continued
En tant qu'élève, j'ai dû passer six "mises en situation professionnelle" (jusqu'en 2006) mais je n'en avais pas encore fait passer.
Hé ben, c'est désormais chose faite !
Bon, aucun rapport avec la choucroute mais ça fait du bien de le dire
Bref, j'ai plus assez de carburant pour raconter une histoire jusqu'à "pas d'heure"
Donc (mais où est passé Ornicar ? C't'enflure !), je plante, non, pas la tente, mais le décor, en attendant d'attaquer par la pente escarpée de la narration en fusion.
On est au tout début des eighties (ouaip mon gars, les années 80. Meuh nooon, sot, pas 1880 ) et dans le fin fond du trou du luc du sud-ouest profond dans sa campagne reculée, y avait une bande de djeuns complètement dégénérés qui tournaient au supercarburant, ce qui avait fini de griller les derniers neurones du haut.
C'est bien simple : il ne leur restait en tout et pour tout que celui du bas. Mais attention, hein, pas dans le bâton de Maréchal, non non !
Juste dans les deux orphelines entretenues par un ersatz de testostérone qui t'obligeait à commettre l'irréparable plusieurs fois par jour ...
Bon, y avait le Miguel, le plus vieux de la bande 22 balais au garrot qui traînait par terre soit dit en passant. L'était haut comme trois mollards à plat ventre le pôv' Miguel mais taillé comme un hercule, un vrai petit taureau furieux, une boule de nerf.
Et Juan alors ? Un profil d'aigle avec un pif que Cyrano lui-même n'aurait pas renié, à peine plus grand, non pardon, moins petit que son alter ego avec un noyau en plus qui faisait sa fierté.
Les deux n'arrêtaient pas de se chauffer à tous bouts de champ sur tout et n'importe quoi ... les filles par exemple. Et quoi ? L'eau de feu ?!
Heuuuu oui ... auuussi.
Mais oui bien sûr, les brêles éviiiiiidemment, quelle question !
Y avait l'EJP, pardon, le Jipé, une grande ficelle, longue comme un jour sans pain et taillé comme un cep de vigne. Ligneux, nerveux, exploseux (enfin, quand je dis exploseux, c'est une image, hein ). Le genre de gus que si tu le branches, t'as intérêt d'assurer derrière, hein, sinon tu te retrouves en calbart direct, l'équivalent du goudron et des plumes du far west.
Quoi que, en y réfléchissant un pneu, on y était dans le sud-ouest lointain ... mais moi, c'que j'en dis
Le Jipé, en y repensant, il était bien plus vieux que le Miguel, hoooo oui, bien plus vieux ... vingt trois ans, sûr !
Et c'était le mec qui te maniait un 490 YZ comme mêm' pas toi ton Timono, c'est dire un crossman qui avait pas de famille.
Si si ! Réel ! Il roulait comme un pôv' gars qui s'aime pas, mais alors pas du tout, ça non non
Et que dire du Javier, hein ? Ben rien. Ou plutôt si. T'imagines un jeune trotskyste avec sa chapka sur la tronche, le genre qui va finir instit' en attendant le grand soir (qui ne viendra jamais, par définition ...). Un esthète de la poignée de gaz, un géomètre du circuit, un calculateur de la trajectoire tendue ... mais un susceptible capable de visser "à la toque" et de te passer avec dix bornes de mieux, là où t'étais déjà limite dans ta distance de freinage. ça finissait invariablement dans les ronces et c'était vraiment rigolo, mais après qu'on se soit assurés qu'il était encore en vie, hein
Mais y avait qui d'autre ? Ah oui, bien sûr, le Sergio !!! [ petit aparté : rien à voir avec notre Sergio de cet inestimable fofo, patrimoine intemporel de la sauvegarde de l'esprit du Timono transcendental ... mais ça aurait pu, je parie]
Ce Sergio-là était monté comme une ablette surmontée par un visage d'ange mais fallait surtout pas s'y fier. Le fumier d'lapin était vicieux comme une vieille maquerelle et il te faisait des coups en douce juste pour le plaisir de toujours gagner.
C'était le spécialiste hors catégorie de la fermeture en loucedé de ton robinet des sens, pardon, d'essence, le tout sans que tu t'en aperçoive.
Un escroc, un vrai ... qui pourtant n'avait pas besoin de ça car il avait un pilotage d'une efficacité diabolique. C'est bien simple, ce que toi tu mettais un an à acquérir en suant sang et eau, lui te faisais ça naturellement à la fin de la première journée.
C'était le seul de la bande à mettre son XR en wheeling d'une main tout en tirant nonchalamment sur sa taf' de l'autre : écoeurant de facilité, j'vous dis.
Mais c'est pas tout, y avait aussi le Vicenté, une sorte de bucheron barbu comme un canadien avec des bras comme mes cuisses qui te maniait sa DTMX (le traître !!!) comme le Jipé son 490 YZ ... avec quand même une pincée de canassons en moins dans le caoutchouc !
Et au milieu de cette bande de furieux, ben y avait vôt' Marco, tout frétillant, tout neuf avec son permis A3, le gros, le toutes cylindrées, le seigneur des permis, le sésame pour les missiles ... mais il exerçait ses talents naissants sur sa Belle XLS chaussée de Michelin T61 gonflés à 1 bar comme préconisé dans sa bible, j'ai nommé Moto coincoin qu'il lisait religieusement de la première à la dernière ligne, pub comprise.
Bon, après quatre ans à terroriser l'Agenais au guidon de son satellite gorgé de chevaux, enfin je veux parler de son 103 Peug' préparé à la "one again", il en avait gardé un sens aigu de l'attaque qui l'avait fait surnommer le V2 par son moniteur de "moto-école".
C'est bien simple, il était frustré s'il ne s'était pas mis en dérive des deux roues au freinage du plateau rapide : ahhh elle faisait pas la fière la Yam 650 XJ entre ses pattes .
Brèfle, trève de plaisanteries, cette bande sentait l'huile brûlée et la poudre à canon, quand ce n'était pas la nitroglycérine
Et alors une bande c*ns ensemble, là, fallait pas s'attendre à de l'intello dans les rapports humains on retournait illico à l'âge des cavernes, les peaux de bêtes avantageusement remplacées par un jean's constellé de cambouis.
Mais la tronche de l'arsouilleur se transformait en face de néanderthal dans un mimétisme hallucinant
J'oubliais de vous dire que le Philibert, cousin du Marco, venait se frotter à ses aînés, malgré une absence de permis toutes catégories confondues, mais une générosité dans l'art subtil de l'enroulage de câble qui forçait l'admiration des brêlonistes (comme d'autres sont des virtuoses du violon !).
Bon, vous avez fait connaissance avec les oubliés du Seigneur dans la distribution de l'intelligence, il ne reste plus qu'à faire un tour de circuit pour vous situer l'unité de lieu.
To be continued
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Salut Marco !
La lecture de tes récits et le post d'Anthoine-Racing m'ont inspiré une idée folle... Attention, j'ai pas dit que vous étiez givrés !
Pour en savoir plus, je vous donne rendez-vous dans la rubrique : "De tout autre chose...".
Au plaisir de vous lire et à +,
Eldorado.
La lecture de tes récits et le post d'Anthoine-Racing m'ont inspiré une idée folle... Attention, j'ai pas dit que vous étiez givrés !
Pour en savoir plus, je vous donne rendez-vous dans la rubrique : "De tout autre chose...".
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Eldorado.
eldorado- Nombre de messages : 14515
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Alors ,Marco , on attend la suite .....
On est dans l'ambiance reste plus qu'l'action
Désolé de n'avoir pas posté hier après lecture mais les cachtons m'ont mis dans l'gaz
On est dans l'ambiance reste plus qu'l'action
Désolé de n'avoir pas posté hier après lecture mais les cachtons m'ont mis dans l'gaz
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Perso, c'est peut-être parce-que je me contiens trop ?eldorado a écrit:Attention, j'ai pas dit que vous étiez givrés !
Si je te disais tout ce qui me passe par la tête, ne serait-ce qu'au sujet des Timonos, je serais pas givré ... mais carrément bon à enfermer
Cela-dit, mes lombaires ont aussi singulièrement rétréci mon champ d'action. Du coup, je rêve de refaire du TT, par exemple, mais je ne suis sûr de rien ça limite pour participer aux futures bourres (arsouilles, en patois JBT) de timonistes chauffés à blanc
Bon, trop tard encore pour rédiger la suite du début du commencement du départ de la bourre titanesque dont au sujet de laquelle je vous causais ...
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Le circuit (ouais, parce-que je suis revenu à cette bourre invraisemblable qui représenta un grand moment d'anthologie lot-et-garonnaise), le circuit disais-je, se trouvait caché dans les coteaux entre Lot et un c*n de ruisseau dont j'ai oublié le nom, mais qui alimentait un moulin où on a fait de ces fiestas (heu ... mais là je crois que je digresse un pneu ) ...
Bref, c'était un réseau de chemins de terre dans les hauts des coteaux, au milieu de haies de chênes noirs et d'autres essences de bois qu'on peut mêm' pas mettre dans un réservoir, c'te pitié.
Des buissons de genêts et des haies de ronces mais aussi des champs de chardons complètent à peu près le tableau ... et puis on va pas passer des plombes sur la végétation lot-et-garonnaise non plus
Bon, on arrive à pied d'oeuvre par une route, tout ce qu'il y a de secondaire, qui serpente et monte vers le haut du coteau à partir du pittoresque village de Dausse.
Une fois en haut, avant de basculer sur la vallée du Lot, on prend un rempaillot' qui grimpouille sur la gauche. Mais attention !!! Faut déjà avoir quelques rudiments de compétences en TT car c'est un chemin creux rempli de petits cailloux glissouillants et de poussière fine bien casse-gu*ule sous une arche de verdure formée par la voute mordorée d'arbres séculaires (t'ain c'est du puissant ce récit).
Bref, on entrait dans le vif du sujet par cet espèce de chemin creux glissant comme une plaque de verglas
Bref, c'était un réseau de chemins de terre dans les hauts des coteaux, au milieu de haies de chênes noirs et d'autres essences de bois qu'on peut mêm' pas mettre dans un réservoir, c'te pitié.
Des buissons de genêts et des haies de ronces mais aussi des champs de chardons complètent à peu près le tableau ... et puis on va pas passer des plombes sur la végétation lot-et-garonnaise non plus
Bon, on arrive à pied d'oeuvre par une route, tout ce qu'il y a de secondaire, qui serpente et monte vers le haut du coteau à partir du pittoresque village de Dausse.
Une fois en haut, avant de basculer sur la vallée du Lot, on prend un rempaillot' qui grimpouille sur la gauche. Mais attention !!! Faut déjà avoir quelques rudiments de compétences en TT car c'est un chemin creux rempli de petits cailloux glissouillants et de poussière fine bien casse-gu*ule sous une arche de verdure formée par la voute mordorée d'arbres séculaires (t'ain c'est du puissant ce récit).
Bref, on entrait dans le vif du sujet par cet espèce de chemin creux glissant comme une plaque de verglas
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
C'est bizarre de ne pas avoir de nouvelle de Marco .....
Moi qui comptais sur toi pour avoir un peu de lecture en plus ,c'est que les journées sont longue quand on ne peut rien faire
Moi qui comptais sur toi pour avoir un peu de lecture en plus ,c'est que les journées sont longue quand on ne peut rien faire
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Me voila de retour
Ce matin, j'ai un peu de temps pour moi, alors je vais essayer de faire avancer cette histoire, sorte de patchwork d'événements réellement vécus, d'autres fantasmés et d'autres encore transformés, de téléscopage de personnages rencontrés à des époques différentes dans ma vie et enfin à une invention toute personnelle : la fabrication d'un personnage à partir de la personnalité de deux ou plusieurs personnes connues.
Et oui, le Marco fait de plus en plus fort dans le "n'importe nawak"
Cela-dit, j'estime à plus de 60% la véracité du récit dont la trame se base sur certains faits et personnages réels
A tout' mes bilouts
Ce matin, j'ai un peu de temps pour moi, alors je vais essayer de faire avancer cette histoire, sorte de patchwork d'événements réellement vécus, d'autres fantasmés et d'autres encore transformés, de téléscopage de personnages rencontrés à des époques différentes dans ma vie et enfin à une invention toute personnelle : la fabrication d'un personnage à partir de la personnalité de deux ou plusieurs personnes connues.
Et oui, le Marco fait de plus en plus fort dans le "n'importe nawak"
Cela-dit, j'estime à plus de 60% la véracité du récit dont la trame se base sur certains faits et personnages réels
A tout' mes bilouts
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Le circuit : que du naturel !
Nous avions convenu du départ de "la course de la mort" (nous ne reculions devant aucune outrance langagière ) sur une portion de chemin entourée par une clairière parsemée de buissons de houx dont certains étaient fort bien placés en bordure de la piste.
Autant vous dire qu'il allait falloir jouer des coudes pour prendre la trajectoire la moins piquante !
La ligne droite du départ était fort courte car un chemin creux, étonnement semblable à ceux du bocage normand, venait couper sa coupe rectiligne et infléchir sa course sur la gauche en un pif paf bien technique.
Le Juan, pour épater le Marco, avait voulu se servir de ce chemin creux pour lui faire une surprise de derrière les fagots. Et il avait réussi au delà de toute espérance !
En fait, il voulait déboucher sur l'intersection de la piste et du chemin creux dans un wheeling parfait. Mais cela ne s'était pas passé comme il l'avait imaginé.
Emporté par sa fougue et le désir de subjuguer ses pairs, il avait été un poil trop généreux sur les gaz et l'assemblée stupéfaite l'avait vu déboucher courant à côté de la brêle en wheeling, sans lâcher le guidon siouplait, pour disparaître dans un roncier infâme dans un hurlement de moteur au rupteur !!!
Le Marco et ses potes d'arsouille, une fois la stupeur estompée, éclatèrent d'un rire sonore qui résonna longtemps jusqu'aux confins des collines environnantes.
Mais lorsque le calme revint, un silence de mort plana soudain sur le plateau battu par les vents (en fait y avait pas un pélo de zèf, mais ça fait genre pour l'intensité dramatique, tu sais, comme les Ricains qui te foutent toujours un orage au milieu d'une scène angoissante ... bref ).
Tous les protagonistes et néanmoins spectateurs de cette scène surréaliste, comme mus par un ressort invisible, se précipitèrent vers le ravin caché derrière un rideau de chênes rabougris, la peur au ventre.
Tous penchés au dessus de la barre rocheuse, ils craignaient de découvrir un horrible spectacle, lorsqu'ils entendirent une voix faible les héler derrière eux : "Sortez-moi de làààà"
C'était mon Juan, couché sous sa brêle, elle-même enchevêtrée dans un buisson de ronces qui lui avait probablement sauvé la vie : je parle du Timono, hein, pas du Juan qui l'aurait quand même lâché avant de basculer dans le vide
Quoi que ... à l'époque
Bon, y nous emboucane le Juan avec ses acrobaties ! Ok, on y revient. Montez en selle, on se finit le tour de ce circuit mythique dont j'irai faire des photos si vous me le demandez gentiment, bande de Saint Thomas
Nous avions convenu du départ de "la course de la mort" (nous ne reculions devant aucune outrance langagière ) sur une portion de chemin entourée par une clairière parsemée de buissons de houx dont certains étaient fort bien placés en bordure de la piste.
Autant vous dire qu'il allait falloir jouer des coudes pour prendre la trajectoire la moins piquante !
La ligne droite du départ était fort courte car un chemin creux, étonnement semblable à ceux du bocage normand, venait couper sa coupe rectiligne et infléchir sa course sur la gauche en un pif paf bien technique.
Le Juan, pour épater le Marco, avait voulu se servir de ce chemin creux pour lui faire une surprise de derrière les fagots. Et il avait réussi au delà de toute espérance !
En fait, il voulait déboucher sur l'intersection de la piste et du chemin creux dans un wheeling parfait. Mais cela ne s'était pas passé comme il l'avait imaginé.
Emporté par sa fougue et le désir de subjuguer ses pairs, il avait été un poil trop généreux sur les gaz et l'assemblée stupéfaite l'avait vu déboucher courant à côté de la brêle en wheeling, sans lâcher le guidon siouplait, pour disparaître dans un roncier infâme dans un hurlement de moteur au rupteur !!!
Le Marco et ses potes d'arsouille, une fois la stupeur estompée, éclatèrent d'un rire sonore qui résonna longtemps jusqu'aux confins des collines environnantes.
Mais lorsque le calme revint, un silence de mort plana soudain sur le plateau battu par les vents (en fait y avait pas un pélo de zèf, mais ça fait genre pour l'intensité dramatique, tu sais, comme les Ricains qui te foutent toujours un orage au milieu d'une scène angoissante ... bref ).
Tous les protagonistes et néanmoins spectateurs de cette scène surréaliste, comme mus par un ressort invisible, se précipitèrent vers le ravin caché derrière un rideau de chênes rabougris, la peur au ventre.
Tous penchés au dessus de la barre rocheuse, ils craignaient de découvrir un horrible spectacle, lorsqu'ils entendirent une voix faible les héler derrière eux : "Sortez-moi de làààà"
C'était mon Juan, couché sous sa brêle, elle-même enchevêtrée dans un buisson de ronces qui lui avait probablement sauvé la vie : je parle du Timono, hein, pas du Juan qui l'aurait quand même lâché avant de basculer dans le vide
Quoi que ... à l'époque
Bon, y nous emboucane le Juan avec ses acrobaties ! Ok, on y revient. Montez en selle, on se finit le tour de ce circuit mythique dont j'irai faire des photos si vous me le demandez gentiment, bande de Saint Thomas
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
AH!!!!!!!!!!!!!!
ça nous manquaient, tu connais la Normandie toi!!!
et aujourd'hui s'est la sainte pipe, et non st Thomas
qu'il faut le voir pour le croire
je suis tout ouie
ça nous manquaient, tu connais la Normandie toi!!!
et aujourd'hui s'est la sainte pipe, et non st Thomas
qu'il faut le voir pour le croire
je suis tout ouie
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sergio CBS44- Nombre de messages : 9806
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Localisation : sous le goémon
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Sapristi ! Ils veulent tout savoir sans rien payer, cette bande de chenapans !
Ok, z'avez fait chauffer les bouilloires! ça répond clair au coup de gaz ? KLONK ! On enclenche la première et ... on part sur un filet de gaz, bande de malapris !
Mais restez derrière moi juste pour mémoriser le tour , nom de D*euuuu ! Qu'est-ce qui m'a foutu une bande de nerveux pareil ?!
On va pas mettre gaz d'entrée quand même ? SI ?!! Bon, Ok vous l'aurez voulu ... mais le premier qui se vautre, tant pis pour lui, on lui roule dessus !!!
Well ! C'est partiiii !
Donc on est actuellement dans le pif à gauche qu'il ne faut pas louper sous peine de péter direct dans le tronc d'un chêne-liège (Bastogne ... ha, non ). Là y a pas d'ornière, le cehmin est plat et glissant à cause de la poussière, alors faut avoir des notions de glisse style supermot' pour les ceuss qui connaissent.
Sinon, tu peux prendre plus large sur le bas-côté gauche qui supporte une herbe moins glissante, mais tu perds ton élan et un bon paquet de bornes et t'as la rage de voir un grass-tracker te faire un intérieur imparable et ressortir comme une balle à l'accélération !
Je vous jure qu'après quelques tours, plus personne ne prenait l'option "herbe"
Ok ! T'as eu un gros coeur et t'as balancé ta brêle dans une dérive courte à gauche mais tu dois instantanément jeter ton brêlon dans le [/i]paf de droite, sans perdre l'adhérence, alors que ta roue arrière balaye la piste, pour mieux préparer la longue ligne droite de deux-cents mètres dans un faux plat descendant où t'as pas le temps de jeter un oeil sur ton compteur
ça va viiite ! et c'est d'autant plus impressionnant que le chemin est encadré par deux rangées d'arbres formant un tunnel de verdure chargé de pénombre. Ben Dame, on est dans un sous-bois !
Le moteur hurle parce-que tu n'oses pas monter une vitesse de plus. Tu dois être en quatre alors que la cinq soulagerait le moteur, mais bon, c'est aussi pour impressionner les caves qui te reniflent le fion, derrière !
Et là, mes aïeux, j'annonce freinage d'outre-tombe ! Du genre "tout à la glisse". Ouaip ! On n'est pas dans du subtil à cette vitesse car le faux plat s'est mué en descente vers la vallée. Mais toi, tu dois pas te louper dans l'embranchement sur la droite qui te renvoie dans le bois du plateau.
Le 'blème, c'est qu'il commence par une bosse où t'as pas un pélo d'adhérence
"Et, alors, comment tu fais ?" me demanderez-vous, bilouts attentifs.
Ben y a pas trente-six mille solutions mes canards (pas encore laqués) : faut aller taper contre l'ornière qui se dresse en face de tes roues et qui se trouve en contrebas d'un chêne séculaire (ça veut dire qu'il est vieux, qu'il est gros et surtout que tu peux finir décalqué dessus !!!).
Ah ben ouais ! C'est pas un circuit de mauviette que j'te présente, hein
Quoi que, au début le Marco emporté par son élan, passait devant l'embranchement dans une glisse des deux roues mais d'une vitesse ! Sans tomber certes, mais en carbonisant ses chances de bien figurer dans la course
Bon, on va dire que pour une fois, il a pas loupé son freinage (ça arrive : si, si ! ) : les roues tapent dans l'ornière, voire contre le bas du tronc (mais là, faut les avoir bien accrochées dans le bénart ) et te renvoient pile poil dans la trajo idéale qui fait rager les rageux qui jurent dans ton dos.
Et là, c'est cool si t'as réussi à garder la tête de la course (pas comme le Marco qui jardine un pneu pour revenir ) car on entre dans la zone des zigouigouis : une série de courbes qui serpentent entre les arbres et où tu peux fermer toutes les portes à des adversaires écumant de rage ... et on ne s'en est pas privés comme vous pouvez aisément l'imaginer !
Puis arrive un virage à droite où on arrive à vitesse raisonnable à cause des zigouigouis qui nous ont passablement ralentis.
Cette courbe vire sec entre deux énormes baobabs ... enfin, je veux dire plutôt "chênes archi séculaires" sur un sol humide et glissant (attention l'embrassade de tronc !) pour déboucher sur une sorte d'immense virage très ouvert (plus ouvert, ce serait une ligne droite ) avec toujours ce sol glissouillant sous les frondaisons.
En clair, t'as envie de mettre du gros gaz mais la moindre amorce de dérapage t'envoie au tas dans une glisse interminable à côté ou sous ta brêle qui te scrute avec mépris de son oeil cyclopéen !
Cette "ligne droite courbe", si vous me permettez cette expression audacieuse débouche dans le côté nord (important de le préciser pour vous situer un pneu ) de la prairie au chardons. Elle est coupée en son milieu (quelques notions de géométrie n'ont jamais fait de mal à des spécialistes de la trajectoire fine ) par un chemin de tracteur aux ornières profondes comme des canyons (enfin ... presque : je dois avoir de lointaines origines marseillaises, moi ).
Et là, t'as le choix : soit tu te prends une ornière jusqu'au bout, en serrant les miches pour le pas accrocher un bord avec un cale-pied ou une botte, car là, c'est le volume grand format assuré, soit tu prends au milieu sur les énormes mottes de terre qui se dérobent sous tes roues pour te faire dégringoler dans l'ornière de droite ou de gauche, c'est selon
Et là encore, c'est le big volume assuré !
Autant vous dire que malgré notre immense expertise, nous n'avons jamais su déterminer si c'était un secteur endurisant ou trailisant. Le seul truc de bien vrrrrai, c'est que tous on était à l'arrêt après s'être pris une bonne tôle !!!
Well ! On sort de l'ornière grâce à un secteur de dalles de rochers affleurants qui, paraoxalement, étaient bien adhérents sur le sec alors qu'ils devenaient une infâme patinoire sur le mouillé.
ça te permet de virer au plus court à ras d'un roncier piqué de gratte-cul (églantier, hein, c'est pas un gros mot ... pas le genre de la maison ) et de remettre du gaz la tête rentrée dans les épaules pour couper la ligne d'arrivée fictive en levant le bras au ciel dans un V de victoire ... avant de t'emplafonner le chêne-liège qui n'a pas bougé, LUI
[i]PS : [ non, pas Parti Socialiste : Post scriptum "après la lettre"] oui je connais la Normandie que je veux revoir mon bilout ... mais ya personne pour m'accueillir
Ok, z'avez fait chauffer les bouilloires! ça répond clair au coup de gaz ? KLONK ! On enclenche la première et ... on part sur un filet de gaz, bande de malapris !
Mais restez derrière moi juste pour mémoriser le tour , nom de D*euuuu ! Qu'est-ce qui m'a foutu une bande de nerveux pareil ?!
On va pas mettre gaz d'entrée quand même ? SI ?!! Bon, Ok vous l'aurez voulu ... mais le premier qui se vautre, tant pis pour lui, on lui roule dessus !!!
Well ! C'est partiiii !
Donc on est actuellement dans le pif à gauche qu'il ne faut pas louper sous peine de péter direct dans le tronc d'un chêne-liège (Bastogne ... ha, non ). Là y a pas d'ornière, le cehmin est plat et glissant à cause de la poussière, alors faut avoir des notions de glisse style supermot' pour les ceuss qui connaissent.
Sinon, tu peux prendre plus large sur le bas-côté gauche qui supporte une herbe moins glissante, mais tu perds ton élan et un bon paquet de bornes et t'as la rage de voir un grass-tracker te faire un intérieur imparable et ressortir comme une balle à l'accélération !
Je vous jure qu'après quelques tours, plus personne ne prenait l'option "herbe"
Ok ! T'as eu un gros coeur et t'as balancé ta brêle dans une dérive courte à gauche mais tu dois instantanément jeter ton brêlon dans le [/i]paf de droite, sans perdre l'adhérence, alors que ta roue arrière balaye la piste, pour mieux préparer la longue ligne droite de deux-cents mètres dans un faux plat descendant où t'as pas le temps de jeter un oeil sur ton compteur
ça va viiite ! et c'est d'autant plus impressionnant que le chemin est encadré par deux rangées d'arbres formant un tunnel de verdure chargé de pénombre. Ben Dame, on est dans un sous-bois !
Le moteur hurle parce-que tu n'oses pas monter une vitesse de plus. Tu dois être en quatre alors que la cinq soulagerait le moteur, mais bon, c'est aussi pour impressionner les caves qui te reniflent le fion, derrière !
Et là, mes aïeux, j'annonce freinage d'outre-tombe ! Du genre "tout à la glisse". Ouaip ! On n'est pas dans du subtil à cette vitesse car le faux plat s'est mué en descente vers la vallée. Mais toi, tu dois pas te louper dans l'embranchement sur la droite qui te renvoie dans le bois du plateau.
Le 'blème, c'est qu'il commence par une bosse où t'as pas un pélo d'adhérence
"Et, alors, comment tu fais ?" me demanderez-vous, bilouts attentifs.
Ben y a pas trente-six mille solutions mes canards (pas encore laqués) : faut aller taper contre l'ornière qui se dresse en face de tes roues et qui se trouve en contrebas d'un chêne séculaire (ça veut dire qu'il est vieux, qu'il est gros et surtout que tu peux finir décalqué dessus !!!).
Ah ben ouais ! C'est pas un circuit de mauviette que j'te présente, hein
Quoi que, au début le Marco emporté par son élan, passait devant l'embranchement dans une glisse des deux roues mais d'une vitesse ! Sans tomber certes, mais en carbonisant ses chances de bien figurer dans la course
Bon, on va dire que pour une fois, il a pas loupé son freinage (ça arrive : si, si ! ) : les roues tapent dans l'ornière, voire contre le bas du tronc (mais là, faut les avoir bien accrochées dans le bénart ) et te renvoient pile poil dans la trajo idéale qui fait rager les rageux qui jurent dans ton dos.
Et là, c'est cool si t'as réussi à garder la tête de la course (pas comme le Marco qui jardine un pneu pour revenir ) car on entre dans la zone des zigouigouis : une série de courbes qui serpentent entre les arbres et où tu peux fermer toutes les portes à des adversaires écumant de rage ... et on ne s'en est pas privés comme vous pouvez aisément l'imaginer !
Puis arrive un virage à droite où on arrive à vitesse raisonnable à cause des zigouigouis qui nous ont passablement ralentis.
Cette courbe vire sec entre deux énormes baobabs ... enfin, je veux dire plutôt "chênes archi séculaires" sur un sol humide et glissant (attention l'embrassade de tronc !) pour déboucher sur une sorte d'immense virage très ouvert (plus ouvert, ce serait une ligne droite ) avec toujours ce sol glissouillant sous les frondaisons.
En clair, t'as envie de mettre du gros gaz mais la moindre amorce de dérapage t'envoie au tas dans une glisse interminable à côté ou sous ta brêle qui te scrute avec mépris de son oeil cyclopéen !
Cette "ligne droite courbe", si vous me permettez cette expression audacieuse débouche dans le côté nord (important de le préciser pour vous situer un pneu ) de la prairie au chardons. Elle est coupée en son milieu (quelques notions de géométrie n'ont jamais fait de mal à des spécialistes de la trajectoire fine ) par un chemin de tracteur aux ornières profondes comme des canyons (enfin ... presque : je dois avoir de lointaines origines marseillaises, moi ).
Et là, t'as le choix : soit tu te prends une ornière jusqu'au bout, en serrant les miches pour le pas accrocher un bord avec un cale-pied ou une botte, car là, c'est le volume grand format assuré, soit tu prends au milieu sur les énormes mottes de terre qui se dérobent sous tes roues pour te faire dégringoler dans l'ornière de droite ou de gauche, c'est selon
Et là encore, c'est le big volume assuré !
Autant vous dire que malgré notre immense expertise, nous n'avons jamais su déterminer si c'était un secteur endurisant ou trailisant. Le seul truc de bien vrrrrai, c'est que tous on était à l'arrêt après s'être pris une bonne tôle !!!
Well ! On sort de l'ornière grâce à un secteur de dalles de rochers affleurants qui, paraoxalement, étaient bien adhérents sur le sec alors qu'ils devenaient une infâme patinoire sur le mouillé.
ça te permet de virer au plus court à ras d'un roncier piqué de gratte-cul (églantier, hein, c'est pas un gros mot ... pas le genre de la maison ) et de remettre du gaz la tête rentrée dans les épaules pour couper la ligne d'arrivée fictive en levant le bras au ciel dans un V de victoire ... avant de t'emplafonner le chêne-liège qui n'a pas bougé, LUI
[i]PS : [ non, pas Parti Socialiste : Post scriptum "après la lettre"] oui je connais la Normandie que je veux revoir mon bilout ... mais ya personne pour m'accueillir
Marco- Nombre de messages : 4432
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Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
Bon, là, petit intermède musical : les anecdotes d'avant la course.
ça se passe un WE précédant celui de cette rencontre. Le Miguel était venu, non pas avec un Timono mais au guidon de sa Honda 250 XLR rutilante dans sa livrée blanche et rouge, mais si, vous savez, le modèle avec le phare rond et le frein avant à tambour.
C'est celle qui a démodé le modèle XLS et sa roue de charrette de 23 pouces ...
Bref, le Marco était sur la ligne de départ à deviser avec le Juan, moteurs éteints et le Miguel faisait ronfler sa grosse gamelle dans les sous-bois.
On entendait les grognements réjouissants des montées en régime et les protestations du quatre-coups au rétrogradage.
Le Juan était en train d'expliquer à notre Marco ce qu'il avait essayé de lui montrer depuis le chemin creux pour sortir en wheeling (avant de disparaître dans les ronces) lorsqu'il s'interrompit net au milieu d'une phrase ...
Les deux compères se regardèrent et blêmirent aussitôt : on n'entendait plus le grondement caractéristique du gromono !
Mus par un ressort invisible, ils coupèrent à travers champ vers le dernier endroit où ils avaient entendu le son du mono.
De loin ce qu'ils aperçurent leur glaça le sang.
La moto était comme posée contre le tronc d'un gros chêne et le Miguel se trouvait encore dessus, la tête casquée pendant au dessus de la plaque-phare couverte de sang. Certainement une hémorragie consécutive au choc violent contre le tronc de l'arbre.
Les deux compères, dévastés, se rapprochèrent avec effroi de leur infortuné compagnon dans la pénombre des futaies muets de peur devant ce spectacle ....
Mais que ? C'est pas du sang, ça ! C'est de la salive ! Il a tout simplement bavé sur la plaque-phare noire et dans l'ombre de la forêt, de loin on aurait dit du sang !!!
Le Juan essaie de relever son pote en l'interpelant et celui-ci sort de sa léthargie et grogne un truc qu'on comprend pas mais qui doit vouloir dire : "Lâche-moi, j'ai mal !"
En fait, quelques dizaines de minutes plus tard, le Miguel ayant retrouvé presque tous ses esprits, expliqua à ses deux amis qu'il était parti ... sans ouvrir son robinet d'essence !!!
Et dans la "grande courbe droite", alors qu'il essayait de contrôler sa dérive sur un filet de gaz, le carbu s'est mis au chômage faute de super dans le cornet, ce qui a incité le moteur à couper brutalement et à bloquer de facto la roue arrière via la chaîne de transmission tout ce qu'il y a de plus secondaire (z'avez vu le souci du détail ? Z'en foutez ?! Ha bon ?).
Bref, la moto était allée heurter le pauvre chêne qui ne demandait pourtant rien à personne et sous la violence du choc, le buste de notre Miguel était parti à la rencontre de la barre de renfort du guidon. Il avait aussitôt perdu connaissance et la suite, ben vous la connaissez !
OUUUUFFFF !!!
ça se passe un WE précédant celui de cette rencontre. Le Miguel était venu, non pas avec un Timono mais au guidon de sa Honda 250 XLR rutilante dans sa livrée blanche et rouge, mais si, vous savez, le modèle avec le phare rond et le frein avant à tambour.
C'est celle qui a démodé le modèle XLS et sa roue de charrette de 23 pouces ...
Bref, le Marco était sur la ligne de départ à deviser avec le Juan, moteurs éteints et le Miguel faisait ronfler sa grosse gamelle dans les sous-bois.
On entendait les grognements réjouissants des montées en régime et les protestations du quatre-coups au rétrogradage.
Le Juan était en train d'expliquer à notre Marco ce qu'il avait essayé de lui montrer depuis le chemin creux pour sortir en wheeling (avant de disparaître dans les ronces) lorsqu'il s'interrompit net au milieu d'une phrase ...
Les deux compères se regardèrent et blêmirent aussitôt : on n'entendait plus le grondement caractéristique du gromono !
Mus par un ressort invisible, ils coupèrent à travers champ vers le dernier endroit où ils avaient entendu le son du mono.
De loin ce qu'ils aperçurent leur glaça le sang.
La moto était comme posée contre le tronc d'un gros chêne et le Miguel se trouvait encore dessus, la tête casquée pendant au dessus de la plaque-phare couverte de sang. Certainement une hémorragie consécutive au choc violent contre le tronc de l'arbre.
Les deux compères, dévastés, se rapprochèrent avec effroi de leur infortuné compagnon dans la pénombre des futaies muets de peur devant ce spectacle ....
Mais que ? C'est pas du sang, ça ! C'est de la salive ! Il a tout simplement bavé sur la plaque-phare noire et dans l'ombre de la forêt, de loin on aurait dit du sang !!!
Le Juan essaie de relever son pote en l'interpelant et celui-ci sort de sa léthargie et grogne un truc qu'on comprend pas mais qui doit vouloir dire : "Lâche-moi, j'ai mal !"
En fait, quelques dizaines de minutes plus tard, le Miguel ayant retrouvé presque tous ses esprits, expliqua à ses deux amis qu'il était parti ... sans ouvrir son robinet d'essence !!!
Et dans la "grande courbe droite", alors qu'il essayait de contrôler sa dérive sur un filet de gaz, le carbu s'est mis au chômage faute de super dans le cornet, ce qui a incité le moteur à couper brutalement et à bloquer de facto la roue arrière via la chaîne de transmission tout ce qu'il y a de plus secondaire (z'avez vu le souci du détail ? Z'en foutez ?! Ha bon ?).
Bref, la moto était allée heurter le pauvre chêne qui ne demandait pourtant rien à personne et sous la violence du choc, le buste de notre Miguel était parti à la rencontre de la barre de renfort du guidon. Il avait aussitôt perdu connaissance et la suite, ben vous la connaissez !
OUUUUFFFF !!!
Marco- Nombre de messages : 4432
Localisation : GASCOGNE !
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR
sur ce fofo il doit bien avoir un Normand
qui comprendra ton message
pour ma part,si un jour tu veux venir au pays des bigorneaux ,
je me ferai un plaisir de te recevoir ,mais il faut le prévoir a long terme
car il y a de la demande, mais si un jour tu te perds dans le coin au mois août j'y serai
un petit message avant pour programmer un apéro et les fruits de mer, qui vont bien
se serait avec plaisir, mais sans nos timonos car l'été s'est inroulable , trop de monde
qui comprendra ton message
pour ma part,si un jour tu veux venir au pays des bigorneaux ,
je me ferai un plaisir de te recevoir ,mais il faut le prévoir a long terme
car il y a de la demande, mais si un jour tu te perds dans le coin au mois août j'y serai
un petit message avant pour programmer un apéro et les fruits de mer, qui vont bien
se serait avec plaisir, mais sans nos timonos car l'été s'est inroulable , trop de monde
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sergio CBS44- Nombre de messages : 9806
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Localisation : sous le goémon
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