Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR

Veuillez nous excuser pour l'interruption de l'écrit, totalement indépendant de notre volonté ... mais là, on se remet immédiatement dans le bain ! Ajustez vos lunettes (ou masque), serrez la jugulaire car va y en avoir besoin !!!

Bon, si on récapitule un pneu, on a notre Sergio qui est allé péter (c'est une image, hein) dans les ronces alors que sa XR barre le passage pour les idiots qui se pressent derrière , on a c't'abruti de Vicenté (mon pote Vincent le rastacouère) qui vient de se faire un double salto suivi d'une magnifique triple boucle piquée pour rejoindre son adversaire du moment dans l'adversité qu'il a lui-même provoquée comme un grand.

Mais derrière, hein, derrière mes bilouts effrayés : que se passe-t-il ?
Et bien, c'est bien simple, on peut résumer le sentiment du moment par un SAUVE QUI PEUT !!!!!!!!!!!!!! général
Le Miguel a empoigné son levier de frein avant et il tente désespérément de le fusionner avec le guidon. Mais l'excellent Dunlop K550, solidaire jusqu'à la muerte avec son poteau de derrière se met à glisser de conserve avec icelui, transformant instantanément le tank XXXLr en un redoutable projectile ... droit sur la copulation involontaire de la Yam et de la Honda (ce qui donnera un résultat tératogène quelques neuf mois plus tard , mais bon, là on s'éloigne du sujet).

Impact dans une sec........... BAOOOOUMMM !! La XLR est stoppée net dans son élan et décide de s'entasser amoureusement avec les deux premières brêles. Notre Miguel, pour sa part, expérimente le vol plané à l'horizontale avec une science et une maîtrise qui force l'admiration !
On dirait une grosse flèche taillée dans un tronc d'arbre : il plane au dessus des bécanes et atterrit sur le groin de l'autre côté avant de s'empéguer direct le chêne (qui n'a toujours pas b... enfin z'm'avez compris) fort heureusement en fin de course, sinon l'impact eut été plus violent

Mais, et le Juan dans tout ça ? Ben notre suceur de roue était bien posté derrière son dieu volant, ce qui fait qu'il n'a rien compris ! Mais alors rien de rien !
Lorsque le Miguel a bloqué ses roues, lui est venu péter direct dans le pneu arrière de la 250 avec disons-le franchement, deux conséquences immédiates :
une poussée supplémentaire pour cette pôôôvre XLR et son cavalier
une dérobade de la roue avant pour la ch'tite XLS avec plantage dans les règles de l'art, embrassade de Gaïa (la terre, notre mère à tous) :
"tu n'es que poussière et à la poussière tu retourneras" ben ça y est, le Juan, il a enfin compris cette phrase apprise jadis lors de son catéchisme
Put*in, oui, là il y est bien retourné à la poussière ! Il en a même bouffé après l'avoir mordue, c'te sal*perie de poussière !

Mais attendez, c'est pas fini ! Encore derrière, ya le Javier qui, ayant laissé un peu de distance de sécurité, peut encore éviter le carton.
Et il ne s'en prive pas en bloquant sa roue arrière et en amorçant une dérive qui lui fait décrire un arc de cercle parfait.
Du fait de la vitesse élevée, il sent confusément qu'il ne peut éviter la gauffre, alors il couche sa brêle et va la faire mourir contre le luc de l'infortuné Juan qui croyait, le naïf, que c'était terminé

Et le Jipé alors ? Ben ce gazier, on n'a pas prêté cas aux conséquences du premier trike pour lui, mais lui OUI !
On se souvient que notre Vicenté avait décrit une diagonale parfaite, malheureusement stoppée par une chicane brêlifère ...
Sa DT s'était aussitôt encastrée dans la XR en levant le luc sous le choc et en rebondissant un pélo en arrière.
Cela avait suffi pour choper le bout du bout de la roue avant de la Mimixe du Jipé qui, déséquilibré (il aurait fallu l'enfermer âââvant, moi je dis) s'était couché sur le flanc droit et était allé à son tour tenter vainement de déplacer le chêne qui était en train, dans son for intérieur, de les traiter tous de glands !

Et PAAAF ! Un Jipé bien sonné !

Dîtes, il en manque pas un à l'appel ? Et le Marco alors, il sent le gasoil ?
Ben non, il pue plutôt les gaz d'échappement de ses petits camarades Parce-qu'ils ont envoyé sévère les gonziers ... avant de se tôler
Et notre gascon, il avait instantanément expérimenté une nouvelle fragrance, un parfum léger et suave qu'il aurait baptisé, parait-il, "la synthèse du super", terme pour le moins abscons que je laisse le loisir aux timonistes chevronnés d'expliquer à notre jeunesse triomphante qui croit déjà tout connaître

Mais, tel le facteur de Tati (Jacques pour les intimes), notre Marco n'eut qu'un tout petit coup de frein à donner pour modifier sa trajectoire initiale et slalomer entre les corps et les machines pour se taper tranquilou ... LE FAMEUX HOLESHOT !!!
Ya pas d'justice dans ce bas-monde, j'vous l'dis moi
C'est un pied-tendre, un rookie, un "bleu-bite" quoi, qui remporte l'objet de toutes les convoitises au guidon d'une 125 XLS tout ce qu'il y a de plus basique, sans aucune préparation sinon des réglages standard que n'importe qui peut effectuer armé de la revue technique

Les brêles factory overtapées ou préparées aux petits oignons gisent à terre quand elles ne font pas montagne en un tas grotesque !

Mais notre gascon ne s'arrête pas là ! ça non. Ou plutôt si, il s'arrête en un quart de tour paisible pour admirer le carnage. Puis il toise ses petits camarades de jeu avec l'arrogance de celui qui est passé à travers les mailles du filet et il repart dans la longue ligne droite en pente à un rythme de sénateur extrêmement vexant pour tous ces hommes à terre

Il ne lui restait que quelques trois-cents mètres avant le virage en dévers à droite lorsqu'il entendit dans son dos la meute hurlante des moteurs au rupteur se rapprocher à une vitesse hallucinante.
Les blessés de guerre, mus par une force surnaturelle, n'avaient pas pris le temps de compter leurs abattis et ils avaient immédiatement sauté en selle dans un désordre indescriptible qui aurait pu faire penser à une deuxième couche en termes de strike. Mais, inexplicablement, ils avaient sans doute inconsciemment scellé une pax romana qui leur avait permis de rouler en paquet dans une harmonie firsant la perfection.
Ils voulaient tout simplement punir le bleu qui leur avait gravement manqué de respect ...

Bon, Ok, j'avais développé une longue réponse à mon cher Spider, mais je viens de l'effacer car à la relecture, il s'avère qu'elle dévoilait trop de choses pour être publiée.
Alors, je te réponds de manière lapidaire cette fois-ci : oui mon bilout, tu as raison, il faut que je fonce !
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Cet aprem, je suis seul chez moi, alors je vais en profiter pour finir cette histoire de "l'arsouille de Dausse" car le plus intéressant a désormais été publié (le Holeshot).
Pour le récit de la course sur circuit de vitesse, je crois que je vais m'abstenir : et d'une parce-que j'ai le sentiment de patiner dans mes écrits et que je recommence à chercher mon style, et de deux parce-que je dois me lancer rapidement dans mes chroniques villageoise malgré des miquettes qui ne me lâchent pas
Je pense publier provisoirement ces chroniques sur mon blog (qui est actuellement en jachère) en y intégrant les histoires de ce sujet dans un espace à part ... ou en les transformant, je ne sais pas encore
Il est fort probable que cette histoire soit la dernière que je publie dans un forum, après celles du forum de la Honda XL (ne recherchez pas mes histoires là-bas car il semblerait qu'elles aient été effacées par un "ami qui me veut du bien" ... dommage).
Je vais sans doute me recentrer sur mes "rénovations" XLS80 (la Belle XLS de mes vingt ans) et XR81 (New-XR basque) dans ce sujet afin de remettre de l'ordre dans mes affaires.
Il ne sera probablement plus question de "resto' de ouf" (à moins d'un de ces coups de théâtre que la vie nous réserve parfois ) mais bien de remontage propre et simple (pour une fois ).

Ok, on attaque la dernière ligne droite de ce dernier récit. Pour les bilouts qui ont apprécié mes traits de plume, ils pourront aller rêver sur mon blog


Le Marco commençait à avoir sérieusement chaud aux miches ! Il faut dire que la meute hurlante se rapprochait de son fondement à une vitesse supersonique et qu'il savait qu'elle n'allait pas lui faire de cadeau
Il décida la noble tactique de la fuite en avant, en vissant comme un damné (ou un condamné, c'est selon ...) en déboulant dans cette pente avec le sentiment étrange qu'il se trainait lamentablement.

Derrière, la chasse s'était organisée dans un désordre indescriptible mais paradoxalement très efficace puisqu'aucun des protagonistes n'avait encore ne serait-ce qu'effleuré ses voisins immédiats.
Et à ce rythme d'enfer, le lettrage HONDA du luc de la selle du Marco commençait à être dangereusement lisible

Celui-ci, emporté par son élan, s'aperçut avec effroi que l'embranchement du chemin de droite (aucune allusion politique dans tout cela ) se présentait à quelques dizaines de m.... ben non, pas à quelques dizaines, même pas à quelques mètres car il passa devant dans une glissade dont la vitesse était accentuée par la pente et la pellicule de gadoue qui recouvrait le chemin à cet endroit ombragé et frais.
BEEEEEEEEERTHEEEUUUX !!! Encore loupé, eut-il le temps de penser avant d'amorcer le demi-tour du désespoir, tout à la glisse siouplait !

Et ce qu'il vit le plongea dans une mélancolie dont il aurait beaucoup de mal à s'en remettre.
Le Jipé, fort de son talent de crossman était arrivé en glisse comme lui, mais la comparaison s'arrêtait malheureusement là car il lui montra comment on balance avec autorité une brêle chaussée de pneus cross (traître !) dans un dévers glissouillant comme du verglas et comment prendre appui contre un tronc d'arbre pour rebondir sur la bonne trajectoire.

Le Sergio arriva avec seulement quelques mètres de retard et il accomplit les mêmes gestes techniques que le Jipé avec la même efficacité ... un vrai caméléon çui-là !
Moins rapide certes, mais profitant à plein de la rondeur et de la souplesse de son moulin kité, le Javier, toujours aussi sobre dans ses gestes, prit une option différente en virant en douceur au plus court pour se remettre très vite en ligne ... et ouvrir comme un ravagé !!!

Le Vicenté en avait profité pour prendre l'ornière extérieure en plaquant ses roues sur le bord extérieur et il n'avait pas eu besoin de se servir du tronc d'arbre. Du coup, il était resté sur la bonne trajo' et avait ouvert les gaz en même temps que le Javier : ils étaient maintenant côte-à-côte avec exactement la même vitesse ...

Encore derrière se déroulait une scène tragi-comique car le Miguel venait de comprendre que son pachyderme chaussé de pneus trails ne pouvait pas rivaliser avec les autres moustiques dans les portions techniques et on l'entendait pester et jurer comme un charretier, ce qui n'était pas son habitude.
Mais là où le tableau devenait carrément surréaliste, c'est que le Juan continuait à lui sucer les tétons, pardon, les tétines, heu bref, les crampons, n'osant pas le doubler dans le dévers de peur que le Miguel ne le prenne très mal.

Cruel dilemme. Etre ou ne pas être ? Le larguer ou le suivre ? Notre pauvre Juan n'arrivait tout simplement pas à prendre une décision lourde de conséquences.
Soit il se fâchait avec son pote, décidément très ombrageux dans la pénombre du sous-bois, mais il avait une chance de montrer à toute cette racaille l'étendue de son supposé pilotage, soit il le suivait docilement et il savait qu'il était grillé pour des générations de motards par des adversaires aussi féroces avec la langue qu'avec une poignée de gaz

Mais qui en a profité pour revenir à sa hauteur ? Ben le Marco en personne, pardi !
Celui-ci était reparti le couteau entre les ratounes et il avait jeté aux orties ses derniers complexes vu que s'il avait loupé le dévers une fois de plus, il pouvait se targuer d'avoir réalisé le holeshot de sa vie ... même s'il avait pour cela bénéficié de circonstances de course que l'on ne peut mêm' pas qualifier d'exceptionnelles tellement elles furent incroyables.
Mais le Marco n'en avait cure : il le tenait enfin son haut fait d'arme !

Le Jipé était sorti des zigouigouis avec un poil d'avance sur le Sergio et il avait aussitôt amorcé une glisse d'une beauté insoupçonnable dans la grande courbe gadouilleuse.
Le Sergio ne fut pas en reste et il imita à la perfection son maître en patinant comme le Candeloro de la grande époque, sauf que lui contrôlait sa brêle "à la poignée" avec un art consommé.

Le problème vint du fait qu'il se croyait bien calé dans le fauteuil du Dauphin lorsqu'il vit avec fureur la roue avant du Javier pointer le bout de son nez à l'extérieur, la brêle dans un angle impossible défiant à la fois les lois de la glisse, celles de la pesanteur mais aussi de la force centripète !
En fait, ce nain de Javier était en cata complète et il serait les miches tel un condamné à mort montant à l'échafaud car il ne contrôlait plus rien, pas même ses sphincters, c'est dire ... (PROOOUUT !).

Pire encore, le Vicenté s'était jeté lui à l'intérieur et il promettait au Sergio de lui servir d'appui en cas de glissade exagérée.
Et c'est ainsi que l'on put assister à un spectacle hallucinant de trois brêles presque à l'équerre, de front, comme de vulgaires pilotes d'usine ricains sur une course de short-track !!!

La course serait courte avec un seul tour au compteur, mais quel tour animé ma Doué !
Derrière mais trop loin pour rattraper tout ce beau monde, un drame se nouait. Le Marco s'était placé en embuscade et il avait porté l'estocade dans le virage à angle droit de la sortie des zigouigouis.
Il s'était payé le luxe insolant de faire un exter d'école au pauvre Miguel et il avait amorcé la glisse de la grande courbe sans se retourner.

Mais le Juan, piqué au vif, ne l'avait pas entendu de cette oreille et il avait largué son modèle pour se pendre aux basques du Marco auquel il se promettait de faire payer son insolence.
Et à son tour il s'était lancé dans une glisse interminable après un ch'tit coup de frein arrière pour la déclencher et placer sa brêle sur une trajectoire idéale. Ah ça, il était plus fort en géométrie sur la selle d'une moto que sur les bancs de l'école çui-là encore !

Le souci, c'est que le Miguel ne voulait pas finir dernier et qu'il n'avait pas trente-six mille soluces : il fallait qu'il trouve la vitesse de glisse idéale pour ramarrer ces deux corniauds et leur faire la nique. Et c'est ce qu'il tenta avec l'énergie du désespoir.
Ben, contre toute attente, il réussit dans son entreprise périlleuse et il ne tarda pas à rattraper les deux brêles qu'il avait en point de mire ... sauf qu'il n'y avait pas la place pour passer et qu'il était hors de question de freiner à cet endroit glissant à souhait !

Chauuud devant !!! ... mais qui était placé à l'extérieur de la courbe, je vous le donne en mille : ce pauvre Juan décidément bien mal inspiré.
Parce-que le Miguel, c'était pas une mob qu'il avait entre les cannes, hein, plutôt un trente-huit tonnes qui, emporté par son poids, s'était calé lui aussi à l'extérieur de la courbe !
Et PAAAF ! same player shoots again : la roue avant de la grosse XLR vint buter contre la roue arrière de la XLS du Juan avec pour conséquence immédiate, pour ne pas dire la sanction, un saucissonnage grand siècle pour les deux cavaliers dont les brêles se couchèrent instantanément dans la gadoue pour filer droit dans le fossé rempli d'eau entre deux arbres au tronc menaçant !

Pour ces deux-là, la messe était dite, ils ne finiraient pas la course ...

UN GRAND MERCI
MON BILOUT
c'est un honneur d'avoir les félicitations de l'artiste
mais se serai plutôt à nous de te remercier, pour tes oeuvres
toujours aussi délectable, qui nous font rêver un tantinet
le plaisir de voyager en virtuel sur des machines encore plus délirante
les une des autres, et les bargeots qui y participent sont toujours bien choisi

MERCI MON MARCO

Comme le dit si bien Sergio ,c'est à nous de te remercier pour ces histoires
Bon !Bin! IL n'y a plus qu'à retrouver l'adresse du blog dans mes favoris , c'est que j'en ai un stock

salut spider c'est ça que tu cherche:
http://marco47.over-blog.com/article-marco-l-agenes-conteur-de-lacaroumieux-98527201.html

Merki Sergio mais je l'avais retrouvé (dans mon bordel)

tiens marco toi qui cherche des pièces
bon je l'avoue un peu loin,mais pas cher
http://www.leboncoin.fr/motos/290413596.htm?ca=18_s

spider a écrit:Merki Sergio mais je l'avais retrouvé (dans mon bordel)

il y a de la bonne lecture la aussi, n'est ce pas

Yo mes bilouts

J'ai "copié/collé" mes histoires d'ici sur mon blog : pour ceux qui n'auraient pas tout lu

EH ou ils sont tous ceux du SUD OUEST
Il est vrai qu'il y a bien longtemps qu'ils ont fait parler d'eux
tu s'est bientôt moi aussi je risque de disparaître du fofo
je dois reprendre normalement mon taff le 6 avril
et partant toute la semaine vous me verrez que le weekend
donc j'en profite pour rallier toute la Bretagne à ma cause.
Sympas ton blog

sergio CBS44 a écrit:Sympa ton blog

Merci mon bilout : je pense le faire évoluer vers des histoires se rapprochant de plus en plus de mon futur style "chroniques villageoises" ... en attendant de créer un véritable site dédié au village mythique de Lacaroumieux (mais pas avant plusieurs mois).

En attendant, j'ai des brêles et des vélos à remonter => les Timonos, ce sera ici

'nne nuit

Le Marco est sur le reposoir de ce temps
dis donc mon bilout
tu n'as jamais pensé, à incorporer une timono topless
dans tes histoire de timonos
[img][/img]
sa pourrai avoir de la gueule, bien raconté
enfin se n'est qu'une idée, histoire de t'inspirer
au plaisir, sergio

Bon y a t'il un dessinateur de BD
pour illustrer les belles histoires El Marco, à lacaroumieux
moi je ne suis pas assez doué pour lui faire des planches entière
un petit crobart de temps en temps
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il y a peut être une personne du fofo, qui a peut être un talant caché
si c'est le cas prendre directement contact avec l'intéressé
allez on a tellement envie de voir le marco en bandes dessinées
merci à vous pour votre démarche
sergio

[img][/img]
il est mieux centré
et non mon eldo je ne suis pas assez doué pour faire des planches entière
en donnant une âme de vie au dessin
pour la couleur je ne suis aussi pas doué,
j'ai remarqué que tous les dessins que je ne fais pas en noir et blanc
sont encore plus ratés
non non il faut un vrai pros du crayon

ça lui va bien le béret au Marco
la je crois qu'il ne va pas être contant
il va revenir , tout rouge, la tête dans les épaules
je ferais mieux de faire attention à mon matricule

Je comprends mieux son absence
il aura une surpris quand il reviendra nous voir
bon allez
et à demain, les fidèles timonomaniac

Bon pas très concluant , les couleurs
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Tiens ça sa devrai lui donner, l'inspiration
un air de déjà vue

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Yo band of bilouts

J'édite pour faire passer le message à notre Sergio du 44e Etat des Etats-Unis de notre doulce France que je pense qu'avec de l'entraînement, il réussirait aussi bien dans la BD que dans tout ce qu'il a entrepris avec succès auparavant

TU ME FAIS PLAISIR DE REVOIR TA TROMBINETTE
je crayonnais avec un vague souvenir d'un lointain avatar
d'ou les bacchantes et le béret
contant de te savoir rentré
alors pas trop en colère , je t'ai pourris ton post avec mes esquisses

Non, cher Sergio, pas en colère du tout, car vos échanges Eldo' et toi participent de l'esprit "décalé" du fofo.