Marco et ses Vélhondas 125 XLS/XR

Bon, c'est pas tout ça, mais va falloir remettre du charbon dans la soute, si on veut y arriver

... quand soudain une sorte de bulldozer se faufile, ils ne savent toujours pas comment, entre les deux apprentis motards et leur plante un freinage monstrueux d'efficacité et un changement de direction de toute beauté au ras du chêne centenaire, en prenant appui de la roue arrière sur une longue racine, grosse comme un python repus (OUFFF !)

Les deux jobards en oublient leur querelle et leur pilotage au passage, loupent leur freinage en beauté, tombent dans une glissade interminable qui s'achève en un enchevêtrement grotesque de Timonos/timonistes/Détémerdistes scotchés au pied du tronc de l'arbre immense.
Vexés, ils se relèvent prestement et se séparent à grands coups de lattes affectueuses dans les miches de "ce sombre c*nnard qui m'empêche de repartir"

Et ça repart trèèès fort effectivement. Nos duettistes sont remontés comme des coucous helvètes et ils envoient du bois comme si leur vie en dépendait. Les cailloux giclent derrière eux comme une pluie d'étoiles criblant la nature bienveillante
(mais qui n'en pense pas moins ).
Une sorte de toboggan d'argile se présente devant leur roue avant pleine de crampons : ils n'hésitent pas une seule seconde à plonger dedans comme des cormorans au milieu d'un banc de sardines et ils soudent jusqu'au dernier millimètre de câble pour tirer la quintessence de la puissance de leur moulin.

Un long hurlement accompagne leur envol dans la pente et va mourir dans un chuintement asthmatique jusque là-haut, tout là-haut ...
Derrière cette colline de glaise, le chemin serpente dans un noir de four au milieu d'un bois de bouleaux au tronc blanc ...
[à suivre]

Mais ou va t-il chercher, tous ça, incroyable ce délire

... ben, pour tout vous avouer, j'ai moi l'impression de patauger dans la semoule et de ne pas trouver de fil conducteur à cette histoire.

En fait, je ne sais fout..., fichtre pas qui peut bien être le gazier au gros cube et ce qu'il vient faire dans la baston.
Donc, ma période de taf' tombe à pic pour que je fasse une pause (un long WE) pour revenir avec des idées neuves

@ peluche

Pour te dire la vérité, je n'ai pas compris moi aussi pourquoi ce type a débarqué, dans cette baston de djeuns boutonneux d'acné purulent, qui suint sous la jugulaire du casque, on connait même pas la marque du vélo, on sait juste qu'il va fort bien avec un gros cube.
Alors del marco remonte sur ton fidel tripotmoilemono et reprend le fil ou l'ornière de la Détémerdix et bouffe lui les tétines non d'un chien de poubelle !!!!!!!!
A demain mon bilout

C'est vrai que j'ai pô compris ce qu'il venait foutre là le gros cube

Ben ... on sait pas d'où il vient mais on est sûr qu'il va revenir

à suiiiivre ...

Et si ont imposaient des mots des phrases, pour te stimuler les neurones, cela pourrait être sympas .
Exemple ( le vieux soleil entouré de nuages s'abritait à l’Horizon, l'odeur de la fin de cette journée d’automne se faisait sentir) ou bien ( les abeilles étaient déjà toutes rentrées, restaient que quelques moustiques déjà en goupil )
ou celle ci ( il fendait l'azur, excité de quelques coquillardes de sales ride et de mauvaises langues).
Enfin un peu d'inspiration quoi!!!!!!!!!!!!!!!

Tu vas finir par en raconter toi aussi des histoires de Timonos, toi

J'suis sûr que t'en as un paquet en stock ... comme beaucoup de bilouts de ce fofo et d'ailleurs, j'en suis persuadé.
Certains n'osent peut-être pas se lancer, mais qu'ils sachent que moi, j'ai mis plus de vingt ans OUI, OUI !!! pour oser "m'exposer sur la place publique" : avant, j'écrivais sur du papier et le lendemain, je déchirais tout

Maintenant, m'en fous : je me fais plaisir et si ça plaît à d'autres, ça me fait très plaisir mais je ne cherche plus à me faire aimer à tous prix je m'amuse, je suis plus léger

Bon, je vous lèche parce-que c'est l'heure d'aller me bouger le fion sur le vélo de ma douce. Je dois me remettre en forme (de quoi ?) pour l'été prochain et je suis à des années-lumières de ma forme de l'été 2010.
Il me faudra bien six gros mois d'efforts quotidiens pour retrouver une condition physique convenable et franchir quelques cols pyrénéens

Alors ... à tout', peut-être

... d'ailleurs, si je ne suis pas trop fatigué ce soir, je sens qu'il va y avoir une suite fort prenante si j'en crois Dame Timonette, ma muse

Chouette on aura (peut être) un peu de lecture
Les sont prêt ,on n'attend plus que ça

Yo mon Spider

Bon, là je vais aller manger un bout parce-que je suis revenu légèrement froissé de ma virée à vélo et très en colère contre ces espèces de parasites qui paradoxalement n'en sont plus quand on est dedans. Quelle sale engeance
Mais bon, le positif dans l'histoire, c'est que j'ai pu faire de la récupération active pendant une heure : ça va finir par payer

Allez, tout-à-l'heure, j'essaie de faire avancer cette histoire (dans le bois des gamellés ) ...

En raconté , je ne pense pas les quelques phrases je dirais même mieux c'est quelques vers, ne sont pas de moi , je les aient pompés quelque par, je n'ai pas la science infuse pour des loufoqueries de la sorte, je donnais simplement des idées, il est vrais que je vais y réfléchir, l'histoire d"un Espagneul Breton le Sergio en SL candy
avant son accident pourrait faire une histoire , on a déjà la fin, ou elle finie sa vie dans une 305 Break vert armée
je me met au crayon dés que possible, après ce weekend , car dimanche je fais la 13ème PUCES de voitures et motos ancienne de NANTES à la BEAUJOIRE, ou normalement je dois rencontrer Brev vapeur.
donc la suite dimanche ou lundi
affût tes crayons mon bilout, et a plus tard.

ça marche mon ami du sud-ouest (ben ouais : le sud ... espagnol et l'ouest ... de la France, non ? T'as vu comment je retourne les choses à mon avantage

Marco a écrit:Avant de repartir dans des aventures picaresques (ou timonesques : on s'y perd à cause du Marco (non, pas celui de l'histoire, l'autre, le ravagé du Timono en pièces ), je tiens à vous prouver hic et nunc ("Ici et maintenant" nous aurait dit Tonton) que l'on peut adapter un gros bidon sur le cadre de la plus aboutie des trails de la Création, j'ai nommé La Honda 125 XLS (quoi, "légèrement provoquant" ? ) :

Alors mes bilouts, ça vous la coupe, hein ?!

Je vais débuter la révision de mon Timono (j'ai reçu mes joints et mon embrayage), j'en profiterai pour monter "à blanc" mon résé de 21 litres, histoire de rigoler
J'ai commander mes pièces chez motoshop06. Boite sérieuse, livraison rapide, et en plus il m'a remboursé une partie des frais de port!

Bon, on en était où ? Ah oui ! Le gromono s'est évanoui dans la pluie et le froid alors que les deux jouvenceaux vont entrer dans le bois des gamellés. Cette petite forêt renferme bien des secrets lourds comme une tribu de Guzzi à moteur en fonte ... ou de Harley ? Va savoir ...

Le petit Fredo (un mètre cinquante-cinq les bras levés, autant dire la taille jockey) était d'une force peu commune et il maniait sa DT comme une vulgaire mobylette. Mais il avait du mal à discerner le relief, ce qui, avouez-le, pouvait représenter un handicap rédhibitoire en TT, nein ?
Mais il compensait cette faiblesse par une attaque de tous les instants qui confinait parfois au suicide motardifère (un mélange savant de "motard" et de "mortifère").
Il fallait voir son Détémerdix se tortiller dans tous les sens, voltiger de racines en rochers, partir dans de longues glissades rattrapées de justesse par une main de fer dans un gantelet d'acier chromo.
Ce gouyat avait les glaouis en airain et il envoyait du gaz comme un pétomane digérait un cassoulet de Castelnaudary : avec force vents violents.

Face à lui, le Marco se dressait de toute sa hauteur. Autant le Fredo était massif, râblé, taillé dans le chêne, autant son adversaire ressemblait à une grande ficelle longue comme un jour sans pain.
Le pauvret n'était pas bien doté par mère nature, ressemblant plus à un chat d'hiver si maigre que ses côtes semblaient tenir l'édifice de son squelette.
Mais contre toute vraisemblance, il possédait une force peu commune, pareille à celle de ces ceps de vignes que l'on croit mourants mais qui donnent des grappes de raisins charnues eaux grains prêts à éclater.

Mais sa puissance musculaire n'était pourtant pas suffisante pour maintenir son Timono sur le droit chemin ... de croix constellé d'ornières, de cailloux, de racines et de tous ces put*ins d'obstacles chi*nts qui font les délices de l'enduriste chevronné.
Il compensait sa faiblesse par une habileté diabolique qui lui donnait un avantage sur les balourds trop généreux sur la poignée des gaz, un temps festif.

Le décor est planté, maintenant enfonçons-nous avec nos deux malandrins dans le bois des trépassés (une légende à la onc raconte qu'une course de chars gaulois s'est terminée tragiquement au fond d'un ravin, mais c'est que des c*nneries, tout ça !) que les essoreurs de poignée du coin avait rebaptisé en bois des gamellés car un paquet d'entre eux s'étaient piteusement répandus dans ce triangle des bermudes de la moto.
Il faut dire que ça glissouillait dur dans une ambiance humide et grassouilleuse et une clarté semblable à celle qu'il y règne dans ton fion, c'est dire

Comment envoyer la purée dans ces conditions plus que précaire d'adhérence aux abonnés absents ?
C'est la redoutable équation que devaient résoudre derechef nos deux impétrants pour sortir indemnes de ce bois maudit.
Mais foin de diatribes aussi oiseuses que superfétatoires, ouvrons grande la porte des gaz (appelons-la boisseau et n'en parlons plus) et enfonçons-nous hardiment à la suite de nos trompe-la-mort.

Vous savez quoi ? Ben la lumière issue d'un allumage en 6 volts c'est vraiiiment de la grosse daube. Envoyer du pâté dans ces conditions relève carrément de la haine de la vie-même.
Et pourtant ...
Pourquoi ces deux abrutis se sont-ils mis à souder comme des damnés de la terre ? Nul ne le sut mais le bois pua la synthèse et l'huile de moteur brûlée quelques heures durant.

Le Fredo ouvrit les hostilités par un block-pass de toute beauté qui obligea le Marco de couper les gaz brutalement et de faire un tout droit jusque dans des fougères accueillantes. Mais une accélération aussi brutale alliée à un blocage judicieux de la roue arrière le replaça instantanément dans le bon axe et il en remit une pincée, juste ce qu'il faut pour labourer le sous-bois sur une ch'tite centaine de mètres avant de retrouver la trace de ce corniaud !

L'autre ingrat ne l'avait pas attendu et il roulait à un train d'enfer quelques coudées devant. Le problème, c'est que son petit feu TY formait un point de repère lumineux fort acceptable pour un Marco en fureur qui revenait sur lui comme une balle malgré une séance de tortillade de croupion digne du podium d'un défilé de mode.
ça tangottait dur au fond de ce bois, ça rebondissait dans tous les sens, mais personne n'aurait laissé sa place pour un empire.

Et le timoniste avait de nouveau cramponné le deuxtempiste et il lui léchait amoureusement le troufignon à la recherche d'un paradis perdu.
Par trois fois, le premier avait cru trouver la faille et glissé sa roue avant dans la porte entrouverte, trois fois la porte avait été claquée avec autorité par le petit taureau furieux qui ne cédait pas un pouce de terrain.
Mais la chance allait tourner.

Un chaos de blocs de pierres granitiques bien moussues se présenta bientôt devant les pneus horrifiés par tant de pièges tendus par cette sal*pe de Dame nature !
Fallait bien jouer à saute-mouton "qui a la pelade" dans ce dédale infini, sacrebleu !!!
Le Marco eut bien compté porter l'estocade sur un terrain a priori favorable à la souplesse de son moteur quatre -temps, trois mouvements, mais le blaireau ne l'entendait pas de cette oreille (peut-être de l'autre ?).

Profitant de l'avantage conjugué du poids presque plume de sa machine et de ses suspattes d'enfer, il prit le parti de faire confiance à ses pneus ritals et, transformé en cabrit, il se mit à rebondir de manière surnaturelle d'un rocher à l'autre comme une vulgaire boule de flipper.
Médusé devant ce spectacle tout bonnement incroyable, le Marco manqua se vautrer sur une dalle de granit barbue comme un Chabal.
Mais il se reprit aussitôt pour trouver la trajo idéale qui lui permettrait de reprendre le dessus.

Une sorte de rigole creusée par le temps pouvait lui donner ce satané coup de pouce du destin. Mais celui-ci est traître, chacun ne le sait que trop bien !
Une sorte d'algue gluante tapissait le fond de ce ruisseau et ça patinait pire qu'une séance du Sénat (là, c'est juste pour rire, hein, ne me taxez pas d'antiparlementarisme primaire car n'oubliez pas que nous sommes au fond d'un bois tout pourri avec une adhérence itou et que c'est vraiiiment pas le moment de faire de la politique !)

Donc, entre un Timono qui patinait gravos et un Dé.. merdix qui rebondissait un peu partout, on n'était pas encore sortis du bois, tel le loup de la fable (qui s'en fout parce-qu'il est actuellement aux Bahamas, un cocktail à la patte ... héééé oui, les temps changent ma bonn' dame)
Et si ! La fin du bois s'annonçait avec vigueur : "Je suis la fin du bois !!!" (ouch ! z'ont pas pris des produits frelatés nos deux andouilles ?)

Soudain (mais oui, j'aim' bien la relance de mon suspense à deux balles), les deux adversaires, courtois le reste du temps, mais qui là venaient de souder à en péter le câble d'accélérateur, sentirent le sol se dérober sous leurs pieds, heu non, sous leurs pneus
Quelle était cette diablerie ?
Heu, juste que le chemin plongeait presque à pic dès la sortie du bois et sans crier "gare !!!"

Du coup, nos motards émérites (sic) expérimentent le vol du bourdon version grosse bouse : ça vole de traviole pour s'écraser lamentablement quelques dizaines de mètres plus bas.
Mais vous savez ce que c'est quand deux êtres (vous manquent et tout est dépeuplé ... ah Berthe, DSL, c'est pas ça ) dans la main de Dieu s'arsouillent comme des porcs, ils trouvent des ressources insoupçonnées.

Et là, ils réalisent un acte fou alors qu'ils sont proches de s'écraser : ils se toisent avec intensité pour deviner qui va s'exploser et qui va s'en sortir nickel !
Le vol des bécanes est parfait, même Houston n'en revient pas alors que nous avons un gros problème quand même : l'atterrissage !
Peu importe. Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse des sens. Des sens ou d'essence ? Là, tout de suite, on s'en balance un peu ...
Quoi que ... en l'air ?

Bon, y vont redescendre ou bien ?
Et ben oui mon canard, ils retombent. Et même plutôt bien dans un ensemble parfait.
Mais l'atterrissage est très mouvementé, c'est le moins qu'on puisse dire car au pied de cette descente qui veut garder à tous prix son côté sauvage (elle a écrit à Eva Joly en personne) il s'est formé une sorte de baignoire boueuse qui va tenir lieu de piste d'atterrissage, ou plutôt d'amerrissage pour être plus raccord ...

Et là mes aïeux : la plantade monstrueuse !!! les deux brêles, dans un ballet parfait, atteignent la surface miroitante de la flaque qui s'écarte dans une gigantesque colonne ou corolle (on s'y perd) d'eau.
Mais c'est pas tout !
Les deux projectiles motorisés entrent dans la baignoire naturelle comme deux suppositoires en quête de travail

à suivre car je ne parviens plus à me concentrer

PS : ça marche mon Knight => curieux de voir ça

Et j'ai comme une vague idée d'où proviennent certains petits cailloux dont cette homérique fable est parsemée...
Comme nous tous, j'ai hâte de connaître la suite !

A+,
Eldorado.

Moi aussi ,j'attends la suite .....
Mais là il est l'heure de ranger la charcutaille ....

Salut Marco et les Monomaniaques de cette nouvelle année!

Ça m'a fait vachement plaisir de voir que ma présence vous a autant manqué que les histoires d'Onc' Marco m'ont manqué!

Ensuite, un grand Merci à toi mon Bilout pour avoir pensé à moi avec cette annonce sur Nimes qui est toujours en ligne! Le hic, comme d'hab, manque de moyens... Sinon ça vaudrait le coups de l'acheter, faire un échange des amortos et la revendre le même prix. Ya juste les 12€ de CG à payer et 500€ à sortir...

Enfin bref, me voici de retour, en pleine préparation du timono pour l'hivernale Guzziste mi-fevrier!

Allez à plus les amis!

Ritonus84 a écrit:Ça m'a fait vachement plaisir de voir que ma présence vous a autant manqué que les histoires d'Onc' Marco m'ont manqué !

Ben ouais ! Tu ne croyais quand même pas qu'on t'avait oublié
D'ailleurs, y en a d'autres qui ne donnent pas signe de vie et c'est pas bien : ils ne verront pas la fin de cette histoire de "tripes au soleil" dédiée à Eldo' (qui lui est actif sur le fofo ), NA !!!

Avant de dormir (car je suis un pneu crevé ) : z'avez vu mon nouvel avatar ?

Appelez-moi désormais : BORDELIX LE GAULOIS

Aujourd'hui, avant de partir taffer un poil (j'ai pas enviiiiiie ), je tiens à vous faire un ch'tit coucou sympa, mais pas que ...

J'ai lancé une petite provocation qui se voulait plus amusante voire stimulante qu'autre chose dans le sujet répartition géographique des forumeurs : ben faut prendre du recul et ne pas prendre au pied de la lettre ce que j'écris ... encore moins l'interpréter et déborder.
J'aime provoquer, certes, mais amicalement et sans arrière-pensée malsaine. Mais parfois, j'avoue que je me prends les pieds dans le tapis

Donc, si des bilouts ont mal pris mon "pseudo régionalisme", je tiens à leur présenter mes excuses : je voyais ça plutôt dans un esprit "Joe bar team" ("On va tous les pourriiiiiiiiir !!!") que dans une quelconque appartenance à un terroir (qui est, comme chacun le sait le meilleur endroit du monde, éééééééééévidemment).
J'aime mon coin, mon bilout, mais j'aime aussi le tien

Sur ce, bonne journée à tous et à bientôt pour la suite de l'arsouille entre Fredo et Marco, enfin, l'Autre Marco, hein

Ne t'inquiète pas mon Marco, je suis comme toi et en aucunement froissé, je voyais ça dans le même esprit que toi, j'adore chambrer les gens et même des fois avec un esprit sadique et aime faire monter la mayo
Bonne journée, car pour moi je vais aux VAILLANTES PETARELLES DE L'OUEST, 13 ème puces de Nantes, je vous en ferais un petit reportage.
Bonne journée
Sergio

" Comment ça va mes bilouts ? "
" Comme un lundi ... "

Bon, hier j'ai emmené un résidant marcher dans un village lot-et-garonnais, une superbe bastide du XIIIème siècle (1269, ça ne nous rajeunit pas) et en la visitant, nous sommes tombés sur un vieux garage-souvenir peuplé de MGB, de Sunbeam, de dodoches, de vieilles mobs, de "pisse-feu" (on dirait "cinquante à boîte" de nos jours), d'Aronde, de vieux karts, de voitures à pédales des 50's, 60's, de bidons d'huile collectors, d'affiches, de présentoirs, d'outils, de machines, de ..., de .... la folie

Bref, le genre de fouillis que t'aimerais avoir dans ton garage Ah Berthe ! T'as pas de garage ? Moi non plus mon bilout

J'ai ptêt un' tit' idée sur la question ... mais j'en reparle ... bientôt
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Bueno ! Je voulais finir l'histoire d'Eldo ce matin, mais d'une chose à l'autre ... je n'ai plus le temps
Ce soir si je ne suis pas trop fracassé (car cet aprem de repos est consacré à ma première longue sortie de vélo : je vais essayer trois heures de pédalage ... mais à l'allure hallucinante d'un escargot de Bourgogne ) ...

sergio CBS44 a écrit: je vais aux VAILLANTES PETARELLES DE L'OUEST, 13 ème puces de Nantes, je vous en ferai un petit reportage.

ça marche mon bilout : on attend